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À travers l'étude des politiques publiques menées à Foix, Pamiers, Auch et Figeac, quatre chercheuses analysent comment se fabrique la notion de « bien vivre » dans ces agglomérations de petite taille.
En visite à Nevers, lundi 20 février, la ministre Dominique Faure a donné le coup d'envoi au nouveau dispositif de requalification des entrées de villes. Déjà 45 villes du programme Action cœur de villes se sont portées volontaires. Elles bénéficieront d'un "soutien méthodologique, technique et financier". Elles auront ainsi un accès privilégié à un nouveau fonds de requalification commerciale qui sera doté de 24 millions d'euros. La Banque des Territoires mobilisera de son côté 15 millions d'euros pour aider une trentaine de territoires pilotes à "repenser leurs entrées de ville afin de les embellir.
Le Plan jeunes prévoit la création de 100 000 missions supplémentaires en service civique pour 2020-2021. Alors que les besoins de proximité de la population s'accroissent avec la pandémie, les collectivités pourraient bénéficier d'un apport de bras volontaires rapidement.
Une étude de la Scet, filiale de la Caisse des Dépôts, intitulée "Revitalisation des centres-villes : l'impact de la crise Covid-19" s'intéresse aux conséquences de la pandémie sur les centres des villes moyennes.
Parfois accusé d'être responsable de la « fin de la politique d’aménagement du territoire » (lire Maire info du 10 janvier), le gouvernement réplique et vante, au contraire, les mérites de sa politique. Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, et Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement, ont annoncé, hier, que « plus d’un milliard d’euros » sont « déjà engagés [par l’État et les financeurs du programme] » pour les 222 villes de 15 000 à 100 000 habitants bénéficiaires du plan Action cœur de ville (Aurillac, Blois, Rochefort, Briançon, Bourgoin-Jallieu…). Dont l’un des objectifs est d’attirer des habitants et des commerces dans les cœurs de ville désertés.
Dans « Les Filles de Romorantin », la journaliste Nassira El Moaddem, ex-directrice du « Bondy Blog », dessine le portrait Romorantin, la ville où elle a grandi. Une ville de Loir-et-Cher en déclin économique et social.
Plusieurs associations d'élus locaux remettront courant mars un rapport au préfet coordonnateur du plan Action coeur de ville sur la manière d'associer les universités à la revitalisation des villes moyennes. De son côté, le Cnam annonce le déploiement en trois ans d'une centaine de centres de formation relais dans les villes moyennes.
Jacques Mézard était à Beauvais le 30 novembre dernier pour évoquer le futur plan national en faveur des villes moyennes. Aucune annonce concrète mais des pistes qui s'affinent pour une mise e
Et dire que les villes moyennes étaient si florissantes! De beaux bâtiments publics, un vaste marché et de grandes maisons bourgeoises. Un mariage réussi entre le passé et la modernité. Une économie dynamique et une confiance inébranlable en l’avenir. C’était il y a cinquante ans. Une éternité. Aujourd’hui, la crise des villes moyennes est devenue telle que les géographes Daniel Béhar et Philippe Estèbe n’hésitent plus à parler «d’espaces en voie de disparition». Il est vrai que le ciel de ces communes n’a pas arrêté de s’assombrir depuis les années 70: fermeture de la «grande entreprise du coin», mise à l'écart du maillage TGV, tribunaux, casernes et hôpitaux rayés de la carte par la RGPP...
Les maires de petites villes réunis à Annonay pour leurs Assises ont réclamé ce vendredi 13 juin "un contrat triennal" avec l'Etat pour "retrouver la stabilité et la visibilité" sur leurs ressources financières. Dans sa résolution finale, l'Association des petites villes, tout en se disant "consciente de la nécessaire réduction des déficits publics", "considère que le chiffre de 11 milliards d'euros de baisse des dotations sur trois ans" pour l'ensemble des collectivités, de 2015 à 2017, "est excessif et doit impérativement être ramené à un niveau plus raisonnable". Elle demande que la réduction des dotations "soit modulée" en fonction des communes et s'accompagne de "la conclusion d'un véritable contrat triennal entre le gouvernement et les collectivités locales, permettant aux élus locaux de retrouver la stabilité et la visibilité nécessaires au pilotage des politiques publiques locales".
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Action Logement a dressé lundi 24 avril un bilan de la première phase du programme Action Cœur de Ville engagé en 2018. Période au cours de laquelle 25.220 logements ont été financés par Action Logement, générant un investissement total de 3,8 milliards d’euros dans les 235 villes concernées.
À la demande du groupe Les Républicains, le Sénat a débattu hier autour de l'enjeu crucial de la revitalisation des centres-villes et centres-bourgs. L'occasion de faire un premier bilan de la politique du gouvernement depuis le lancement du programme « Action coeur de ville » en 2018.
"La ministre de la Cohésion des territoires, Jacqueline Gourault, se rend à Barentin (Seine-Maritime) ce jeudi 1er octobre pour le lancement du programme de revitalisation des villes de moins de 20.000 habitants "Petites Villes de demain". Ce programme bénéficiera d'un budget de 3 milliards d'euros (hors plan de relance) sur la durée du mandat municipal. Un millier de "territoires" seront désignés d'ici la fin de l'année de manière à sortir les projets au plus vite et contribuer à l'effort de relance."
Durant son allocution le 29 juin 2020 lors de la réception des 150 conventionnels de la Convention sur le climat, le président Emmanuel Macron a fait valoir le dispositif « Action Cœur de ville » qui « vise à redonner vie aux villes moyennes, aux places de villages en rénovant les logements, souvent les commerces ». Action Cœur de Ville ? Qu’est-ce que c’est ? Comment ça marche ? Est-ce que ça marche ? Le CUEJ a mené l’enquête.
La culture sous toutes ses formes peut être un vecteur pour revitaliser les centres des villes moyennes. Celles-ci disposent d’atouts importants, comme leur patrimoine. Ces initiatives profiteront aux habitants, qui auront un meilleur accès à la culture, mais aussi aux visiteurs, avec des retombées pour les commerçants. La Banque des territoires finance des aides en ingénierie. Les communes cherchent à développer des synergies locales et des partenariats privés.
Quelle est la nature de la crise qui touche les villes moyennes et comment y faire face ? Malgré ses effets de levier sur la revitalisation du commerce, de l’habitat et des espaces publics, ce plan demeure handicapé par l’inertie des modes de penser et de mettre en œuvre l’action publique territoriale.
Les centres des villes petites et moyennes connaissent souvent des dynamiques sociodémographiques défavorables. À partir du cas de Châtellerault, dont le cœur historique paupérisé a été récemment classé en quartier prioritaire de la politique de la ville, Mikaël Dupuy Le Bourdellès souligne les impensés et les paradoxes de l’action publique dans ces quartiers, entre injonctions nationales et stratégies locales de revalorisation.
L'objectif du plan, a résumé Jacques Mézard, est de "conforter l'attractivité des villes moyennes en donnant la priorité à la requalification des centres anciens dégradés". Avec un démarrage rapide "pour obtenir dès 2018 des premiers résultats concrets".
La Fédération des villes moyennes est devenue le 19 juin 2014 « Villes de France ». Objectif : rassembler toutes les municipalités qui ne relèvent ni des métropoles et des espaces ruraux. Entretien avec la nouvelle présidente du groupement, la sénatrice maire (UMP) de Beauvais, Caroline Cayeux.
Tandis que le fait métropolitain est au centre des débats, Christophe Demazière s’interroge sur le regard porté par la recherche urbaine sur les villes moyennes. Parce que souvent considérées en creux des grandes villes, leur intérêt scientifique est, d’après lui, sous-estimé. Leur étude permet pourtant d’enrichir les théories du développement des territoires.
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