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Le réseau repart donc à la bataille médiatique pour rallier les moins informés à sa cause en lançant une campagne de communication. Car les répercussions de ces réductions budgétaires n'auront rien de théorique : elles se traduiront par une dégradation de l'accompagnement des jeunes, préviennent les acteurs du réseau.
Comment la précarité influence-t-elle l’éducation ? En quoi la monoparentalité accentue-t-elle la fragilité scolaire ? L’enquête de l’Afev montre le besoin grandissant de certaines familles pour suivre les devoirs et accéder aux loisirs.
ARTICLE RÉSERVÉ AUX ABONNÉS Dans l'attente d'une éventuelle mesure nationale, les initiatives locales fleurissent pour alléger l'addition de la rentrée scolaire pour les familles.
Les 18 et 19 juin 2024, lors de la rencontre nationale des "Villes amies des enfants", des élus, agents des collectivités territoriales et bénévoles du réseau Unicef France se sont réunis à Lille pour échanger et trouver des solutions concrètes permettant de lutter contre la pauvreté infantile qui touche près de 3 millions d'enfants en France.
La consultation menée par le premier syndicat étudiant, la Fage, auprès de quelque 7.500 jeunes au dernier trimestre 2023 alerte sur les difficultés majeures que rencontrent les étudiants pour se loger, s'alimenter et remet en cause, selon le syndicat "les rêves d'un enseignement supérieur accessible à toutes et tous".
"France Stratégie publie les résultats de la recherche menée par le Crédoc à la demande du comité d’évaluation de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté 2018-2022 sur les besoins des familles en situation de pauvreté en matière d’accueil du jeune enfant et d’aide à la parentalité."
Dans un contexte de hausse des prix généralisée, la situation se détériore pour les foyers les plus modestes. C’est ce que détaille le 16e baromètre sur la pauvreté et la précarité que vient de dévoiler le Secours populaire français. Cette année, 500 enfants de 8 à 14 ans ont également été interrogés sur le sujet.
Les étudiants sont de plus en plus nombreux à avoir recours à des aides alimentaires. Alors que la crise du Covid-19 s’intensifie en fin d’année, de nouveaux profils d’étudiants tombent dans la précarité dans le silence. Une situation qui alerte les associations solidaires. Reportage.
La dernière édition du "baromètre d'opinion" de la Drees témoigne du niveau de préoccupation des Français par rapport au chômage et à la pauvreté entre 2020 et 2021. L'inquiétude porte davantage sur l'avenir que sur le présent. Et varie naturellement selon les catégories de populations. Avec un "sentiment de pauvreté" particulièrement fort chez les jeunes. Les indépendants disent aussi leurs difficultés.
Le comité d'évaluation de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté 2018-2022 a remis un rapport d'étape. Tout en regrettant de ne pouvoir s'appuyer que sur des informations parcellaires empêchant un vrai suivi de la mise en oeuvre du plan, ce rapport considère que "la grande majorité des mesures ont été lancées, même s'il y a des retards sur certaines, en partie liés à la crise". Il formule une dizaine de recommandations, dont la mise en place d'un "système d'aide pour les jeunes de 18 à 24 ans les plus démunis".
L'association d’élus appelle l’État à accélérer son action en faveur des étudiants et de tous les jeunes, aussi bien dans les domaines de la santé et de la restauration que sur les fronts de la formation de l’emploi.
L’augmentation et la sanctuarisation des fonds sociaux préconisées par Jean-Paul Delahaye dans le rapport Grande pauvreté et réussite scolaire restent plus que jamais d’actualité". N Elimas a annoncé récemment vouloir revoir ces fonds. Mais dans quel sens ?
Alors que les étudiants devront encore attendre au moins plusieurs semaines la réouverture des universités, Etre et savoir s’interroge sur le destin d’une génération… Les jeunes seront-t-ils durablement marqués par la pandémie et ses effets sur l’organisation de la société
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L’Unicef exhorte le gouvernement à « agir d’urgence pour protéger les droits des enfants ».
Sans surprise, c’est en Île-de-France que la situation reste la plus tendue alors que le nombre de personnes en famille sans solutions d’hébergement a augmenté en Auvergne-Rhône-Alpes, Grand Est, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d'Azur, mais aussi dans les territoires ultramarins.
A la veille de la rentrée scolaire, l’Unicef France et la Fédération des acteurs de la solidarité ont recensé plus de 2.000 enfants contraints de passer la nuit dans la rue faute de places d’hébergement d’urgence pour eux et leur famille.
Margot Delon, sociologue et chargée de recherche au CNRS, est auteure de l'ouvrage "Enfants des bidonvilles - Une autre histoire des inégalités urbaines" (Éditions La Dispute). Son étude du devenir des enfants des bidonvilles et cités de transit de l'après-guerre en France questionne les politiques publiques menées en direction de ces populations précaires.
Le taux de chômage dans les quartiers dits « prioritaires »1 de la politique de la ville (QPV) - 18,6 % - est plus de deux fois supérieur à celui des quartiers environnants2 (8,5 %), selon les données 2018 de l'Observatoire national de la politique de la ville (ONPV)3. Chez les jeunes actifs de moins de 30 ans, le taux est de 30,4 %, deux fois plus que dans les autres quartiers.
Accès réservé aux abonné·e·s La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) vient de publier une étude sur la pauvreté des jeunes de 18 à 24 ans. Les auteurs tentent de "cerner les caractéristiques des populations juvéniles les plus vulnérables et d’éclairer ainsi l’élaboration des stratégies de lutte contre la pauvreté". Lire l'étude de la DREES
Le ministère du Travail a publié une circulaire visant à assurer "la mise en œuvre territoriale" du contrat d’engagement jeune.
L’expérience étudiante a été profondément bouleversée par la crise sanitaire et les confinements successifs. Les pertes d’emplois, la continuité pédagogique à distance, la fermeture des lieux de socialisation et l’incertitude de l’avenir ont largement contribué à générer un climat anxiogène qui a eu des répercussions sur la santé mentale des jeunes. Les étudiants ont vécu des situations de confinement variées. Les inégalités que l’on constatait avant le confinement se sont accentuées durant cette période. Les conditions de vie se sont détériorées pour les étudiants qui étaient initialement les plus précaires.
Les métropoles veulent s’attaquer à l’épineux sujet de la pauvreté des jeunes… à condition que l’État les accompagne. L’association France urbaine propose quatre scénarios qui seraient chacun expérimentés par trois métropoles, au bénéfice de 1.000 jeunes par territoire. Du "coup de pouce financier" assorti d’un "panier de services" à l’ouverture du revenu de solidarité active aux moins de 25 ans, en passant par l’installation d’un "droit universel d’accompagnement vers l’emploi" et la mise en œuvre effective de la garantie jeunes, les quatre options permettraient, selon l’association d’élus, de tester une diversité d’approches et de procéder à des analyses comparatives. Les élus de France urbaine attendent la réponse de l’État, qui est invité à financer le volet "allocation" de la démarche, et assurent que tout cela se fera en bonne intelligence avec les départements.
ACCÈS RÉSERVÉ AUX ABONNÉS La Métropole de Lyon va mettre en place un revenu de base pour les jeunes en situation de précarité à partir du 1er juin. Une enveloppe de 10 millions d’euros est consacrée à cette expérimentation.
Accès réservé aux abonnés - Une étude de l’Institut national d’études démographiques revient sur le vécu des enfants de 8-9 ans pendant le premier confinement, au printemps 2020. S’ils se sont globalement bien adaptés, le confinement a creusé les inégalités.
Une étude de l’Ined parue ce jeudi a décortiqué le quotidien des enfants de 8-9 ans pendant le premier confinement, au printemps 2020...
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