Longtemps éclipsée par la pollution extérieure, la qualité de l'air intérieur préoccupe désormais les autorités. Il était temps !
Entre le travail, l’école, le logement, les transports en commun, nous passons plus de 80 % de notre temps dans des espaces clos où l’air intérieur se révèle jusqu’à huit fois plus pollué qu’à l’extérieur.
Maux de tête récurrents, excès de fatigue, irritation des yeux, du nez, de la gorge et de la peau, vertiges ou allergies comme l’asthme, ces symptômes ne surgissent pas de nulle part et peuvent trouver une explication toute rationnelle dans l’environnement immédiat. S’il y a 20 ans, le professionnel de santé n’y songeait presque jamais, depuis, il a pris conscience des méfaits de ce phénomène.
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