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La collecte de lait de vache a progressé en février. Pas les prix…
« En février 2024, la collecte de lait de vache augmente de 4% par rapport à février 2023, de 0,5% si l’on tient compte de l’effet année bissextile, après le faible niveau observé en février 2023 », indique le ministère de l’agriculture dans une publication Agreste du 15 avril.
« La part du lait bio recule de 0,3 point sur un an et s’élève à 5% de la collecte totale, tandis que celle du lait AOP/IGP atteint 16,1%. »
« A 463 euros les 1 000 litres en février 2024, le prix du lait conventionnel de vache à teneurs réelles recule de 7,1% par rapport au niveau élevé de février 2023. Le prix du lait bio est également en retrait et s’établit à 517 euros les 1 000 litres. »
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Données annuelles de collecte et de production de la branche, et sur le champ des entreprises de 20 salariés ou plus, les données de fabrication et de production vendue…
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52% des exploitations laitières disposent de stabulation libre pour les vaches, 41% de box ou logettes et seulement 7% de stabulation entravée. La traite se fait essentiellement à la main dans des salles fixes dédiées, mais la traite mobile ou à l’étable se pratique dans 7% des cas. À l’opposé, 7% des éleveurs ont investi dans des robots de traite et jusqu’à 18% dans les plus grands élevages…
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En France, la collecte a progressé jusqu’en 2014, avant de se stabiliser entre 2016 et 2020, pour mieux chuter ensuite…
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Sur un an, le repli de la collecte de lait de vache s’accentue en novembre (- 4,8%), après - 4,4% en octobre. En cumul depuis le début de l’année, la baisse atteint 2,9%. Dans l’Union européenne, la collecte recule de 1,7% en octobre…
Le prix à teneurs réelles du lait conventionnel recule de 3,6% sur an, tandis que celui du lait bio progresse de 3,4%...
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Sur un an, le repli de la collecte de lait de vache se poursuit à un rythme élevé pour le deuxième mois consécutif : - 4,5% en octobre, après - 4,8% le mois précédent. En cumul depuis le début de l’année, la baisse atteint 2,7%...
Dans l’Union européenne, la collecte baisse de 1% en septembre. Le prix à teneurs réelles du lait conventionnel recule de 2,8% sur an, tandis que celui du lait bio progresse de 3,6%...
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Productions et transformations laitières en 2022 en Centre Val de Loire
En Centre-Val de Loire, 679 exploitations vendent leur lait de vache à l’industrie laitière. Sur les 422 millions de litres produits en région, 416 millions sont destinés aux acteurs de la transformation laitière…
La production de lait de vache est livrée dans 16 établissements dont 5 seulement ont leur siège en région. 63% du volume produit sur le territoire est valorisé par des entreprises de la région, 69% du lait collecté par les entreprises régionales est produit dans d’autres régions, dont la moitié en provenance des Pays de la Loire…
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Le prix du lait conventionnel à teneurs réelles s’est établi à 464,5€ en septembre (+ 0,1% sur un an), après 461,9€ en août (+ 3,4%). Le lait bio s’est négocié 533,9€ (+ 1,4% sur un an) après 529€ en août (+ 4,6 %)…
En cumul depuis le début de l’année 2023, le prix du lait conventionnel (471,5€) progresse de 9,3% sur un an, celui du lait bio (503€) de 6,4%...
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En 2020, 50 000 exploitations ayant au moins 10 vaches laitières élèvent un total de 3,5 millions de vaches. Malgré la réduction du nombre d’exploitations d’un tiers en 10 ans, le cheptel ne baisse que de 6%, la taille moyenne des troupeaux augmentant de 20 têtes. Les grands troupeaux, d’au moins 100 vaches, se généralisent ; ils détiennent plus du tiers des vaches...
• Concentration des élevages dans le croissant laitier du Nord-ouest • Près de 10 % des élevages laitiers sont certifiés bio ou en conversion
• Les grands troupeaux laitiers plus souvent dans les bâtiments avec logettes
• Un élevage davantage herbager dans les zones de montagne • Des exploitations très autonomes en fourrages, beaucoup moins en concentrés
• 5,7% des exploitations laitières transforment leur lait à la ferme contre 3,5% en 2010
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La collecte de lait de vache se replie sur un an, elle est continue depuis le début de l’année et atteint - 2,3 % en cumul annuel. En juillet, la collecte de lait recule dans tous les bassins, hormis en Normandie où elle augmente légèrement (+ 0,7 %).
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7 800, c’est le nombre d’éleveurs d’herbivores pratiquant la transhumance vers des zones pastorales collectives en 2020 en France métropolitaine. La transhumance collective concerne ainsi plus d’un million d’ovins et près de 171 000 bovins…
Les 1 200 surfaces pastorales collectives s’étendent sur 530 000 ha de superficie admissible. Cela correspond à la superficie moyenne d’un département, celle du Lot-et-Garonne par exemple…
Les massifs pyrénéens et alpins concentrent l’essentiel des surfaces collectives, soit 91 %. Les seules Pyrénées en rassemblent 50 %. Le département des Hautes-Alpes occupe la première place et devance celui des Hautes-Pyrénées…
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En avril 2023, le prix d’achat des intrants baisse sous l’effet de la baisse du prix des engrais (-7,0 % sur un mois) et de l’énergie (-4,1 %). Le prix de l’ensemble des intrants reste cependant élevé, supérieur de près de 25 % à la moyenne des prix d’avril 2018 à 2022, et légèrement inférieur au niveau du début de la guerre en Ukraine (-1,0 % par rapport à avril 2022).
La production d’aliments composés pour animaux de ferme est en baisse sur un an (-2,8 %), dans un contexte où le prix des aliments pour animaux reste élevé. En avril 2023, selon des données provisoires, le cumul des livraisons d’engrais azotés pour la campagne 2022-2023 serait en très forte baisse sur un an (-32,1 %). La diminution serait encore plus marquée pour les engrais phosphatés et les engrais potassiques (-46,3 et -48,6 %).
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Tableaux, cartes et graphiques présentent les chiffres essentiels sur l’agriculture, la forêt, la pêche et les industries agroalimentaires en France et dans les DOM…
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Analyse des principaux déterminants de l'emploi dans le secteur de la production laitière française, sur un large échantillon de 50 087 exploitations produisant du lait de vache sur l'année 2014.
L'analyse confirme un surcroît d’emploi dans les systèmes centrés sur la valorisation de l’herbe, effet d'autant plus fort que l'on se trouve en agriculture biologique. Certaines indications géographiques entraînent aussi un important surcroît d'emplois dans ces zones rurales…
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En janvier 2024, la collecte de lait est proche de celle de janvier dernier, mais en retrait par rapport à la moyenne 2019-2023. Sur l’ensemble de l’année 2023, la collecte est en retrait de 2,7% par rapport à 2022…
Le prix à teneurs réelles du lait conventionnel recule de 6,7% sur an à 467€, tandis que celui du lait bio progresse légèrement (+ 0,3%), à 532€ pour 1 000 litres…
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En décembre 2023, la collecte de lait de vache reste en retrait de la moyenne 2018-2022. En cumul sur l’année, la baisse atteint 2,7% par rapport à 2022…
A 467 euros en décembre 2023, le prix du lait conventionnel à teneurs réelles recule de 6,1% par rapport au niveau élevé de décembre 2022. En revanche, le prix du lait bio progresse encore de 2,7% et s’établit à 547 euros…
Les fabrications de produits laitiers sont majoritairement en recul, à l’exception notable des poudres de lait écrémé et de la poudre de lactosérum. Parmi les fabrications de fromages, celles des pâtes pressées sont en net retrait, à l’image de l’emmental et du comté.
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Données annuelles de collecte et de production de la branche, et données de fabrication et de production vendue sur le champ des entreprises de 20 salariés ou plus…
46 262 producteurs de lait de vache et 23,424 milliards de litres commercialisés (-0,7%), soit 506 000 litres/éleveur en moyenne.
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Le prix moyen du lait bio à teneurs réelles s’est établi à 551,4 € en octobre. Un niveau jamais atteint, même en 2022. Il progresse de 2,8% sur un mois (536,2 € en septembre) et de 3,6% sur un an (532,3 € en octobre 2022)…
Le prix du lait de vache conventionnel à teneurs réelles s’est établi à 470,7 € en octobre. C’est plus qu’en septembre (465,4 €) mais moins qu’en octobre 2022 (484,3 €).
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Avec 1 628 millions de litres, elles dépassent de 9,34 millions celles de 2021 (+ 0,6%) alors qu’elles ont baissé de 0,8% sur l’ensemble du territoire national (23 424 millions de litres). Pour la première fois, les livraisons moyennes de lait dépassent les 400 000 litres par exploitation en Bourgogne-Franche-Comté, mais sont encore bien loin des 506 000 litres de la moyenne nationale.
La hausse du prix du lait conventionnel entamée en début d’année 2021 s’est poursuivie et accentuée en 2022. Grâce à elle et malgré la poursuite de la hausse des coûts de production, la marge brute des exploitations laitières conventionnelles s’est nettement améliorée cette année…
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La France est le 2e pays producteur laitier en Europe, derrière l’Allemagne. L’élevage bovin laitier concerne 50 000 exploitations agricoles en métropole en 2020, soit un peu plus d’une ferme sur huit…
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Le recours au maïs fourrage est hétérogène selon les régions. Dans les zones de montagne où des AOC sont très fortement présentes (Savoie, massif du Jura), les systèmes herbagers se maintiennent voire se développent. En Auvergne, la proportion des exploitations ayant fortement recours au maïs reste faible ; le maïs progresse néanmoins, la part des herbagers purs diminuant. Dans le reste du croissant laitier, les exploitations ayant recours au maïs gagnent du terrain, en particulier en Bretagne et Normandie.
Le travail reste essentiellement familial, mais le salariat progresse. Au global, le troupeau laitier s’est réduit de 6% en 10 ans, quand l’emploi a diminué de 26%. Ainsi, en 2010, un ETP s’occupait en moyenne de 24 vaches laitières, contre 31 en 2020…
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Agreste : Les prix du lait bio progressent davantage que ceux du conventionnel sur un an
En août 2023, les prix du lait bio augmentent de 4,2%, contre + 3,4% pour le conventionnel. L’indice du prix du lait AOP/IGP de juillet 2023 reste à un niveau élevé, en hausse de 6,7% sur un an, contre + 2,4% pour le lait conventionnel…
La part du lait bio s’établit à 5,2% de la collecte totale en août, contre 5,1% en août 2022. La part du lait AOP/IGP est en retrait de 1,4 point par rapport à l’an passé, avec 14,8% de la collecte totale…
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Les prix des engrais et de l'énergie demeurent en forte baisse sur un an (-32,9 % et 12,8 %) mais restent élevés ; celui des aliments pour animaux est en baisse plus modérée (vaches laitières -3,8%). Le prix des intrants baisse quelle que soit l’orientation de la production…
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Synthèse conjoncturelle Agreste : En 2022, des prix du lait record
En 2022, la production de lait recule en France sous l’effet d’une hausse des coûts de production et d’une baisse de la production d’herbe liée à la sécheresse.
Face à des disponibilités limitées en France et dans le monde, la plupart des fabrications de produits laitiers reculent et leurs prix s‘accroissent. Dans ce contexte, les prix du lait payés aux producteurs atteignent des niveaux inégalés, compensant en moyenne l’augmentation du coût des intrants.
L’excédent commercial français se détériore sous l’effet d’une forte hausse des importations, en particulier de beurre et de fromages.
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Le recul de la collecte de lait de vache se poursuit dans la plupart des bassins laitiers. Les prix du lait bio sont légèrement inférieurs à ceux du lait conventionnel. Quel que soit le type de lait, les prix demeurent supérieurs à ceux de l’an dernier, mais continuent de se replier sur un mois…
Sur un an, toutes les fabrications de fromages sont orientées à la baisse, en particulier celles des fromages à pâte pressée non cuite. La plupart des autres fabrications de produits laitiers reculent aussi…
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