Le Conseil constitutionnel s'est prononcé vendredi sur les deux QPC soulevées par Sephora, relatives au travail de nuit et au travail dominical. Une action des syndicats contre l'autorisation préfectorale d'ouvrir le dimanche ne suspendra plus l'autorisation d'ouverture. Quant au travail de nuit, les Sages confirment qu'il doit rester exceptionnel et encadré par la loi.
Vendredi, le Conseil constitutionnel s'est prononcé sur les deux questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) soulevées par Sephora relatives au travail de nuit et au travail dominical. Les Sages, qui devaient initialement se prononcer mi-mars, auront finalement épuisé presque intégralement le délai de trois mois que leur accorde la loi pour statuer. À l'issue de ce temps de réflexion supplémentaire, personne, employeur comme organisations syndicales, ne sort totalement gagnant.