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Savoie 1920. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, le voyage de deux veuves, Blanca et sa belle-fille Pauline, raconté par la voix de l’orphelin qui les accompagne. Anthony Pastor s’appropri...
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Une vision futuriste de la Ville Lumière, avec une sélection de dessins d’architectes et de projets d’urbanisme, réalisée par François Schuiten et le scénariste Benoît Peeters.
Susceptible d’intéresser ceux qui souhaitent connaître les origines de la Grande Guerre et surtout qui aimeraient en savoir davantage sur le fondateur de l’ancien parti socialiste, cette bande dessinée, quant à elle, est pédagogique, et offre une esquisse de l’extraordinaire figure française qu’était Jean Jaurès. Un dossier instructif de quelques pages écrit par Vincent Duclert conclut l'album, enrichi d'illustrations de l'époque. Rey Macutay (dessinateur), Jean-David Morvan, Frédérique Voulyzé (scénaristes) et Vincent Duclert retracent les dernières semaines de l'homme politique.
Via HG Académie de Rennes
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La Revue dessinée (magazine trimestriel qui propose des reportages, des documentaires et des chroniques en bande dessinée) propose à ses lecteurs de découvrir sur son site Internet le témoignage dessiné de Didier Kassaï (illustrateur, caricaturiste, auteur de BD et aquarelliste centrafricain) sur la guerre qui se déroule en Centrafrique, et plus particulièrement à Bangui, la capitale, où il réside. Sur le site de La Revue dessinée, la bande dessinée est accompagnée d’un dossier présentant quelques enjeux de la République centrafricaine. Par Bénédicte Tratnjek.
Via HG Académie de Rennes
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Ce texte est un extrait du compte-rendu du Café géographique de Paris du 28 janvier 2014 où Aymeric Landot et Bénéd...
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Bonne année à tous ! Après quelques dates à Paris, Toulouse et Marseille, nous voici de retour avec un mix d'une heure de disques cap-verdiens, numérisés à la maison et mixés par mon ami Comodo, gr...
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Les aventures de cette fillette révoltée, publiées entre 1964 et 1973, ont été l'un des « comic strips » les plus diffusés au monde. Entretien, par courriel, avec son créateur.
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Le 9ème ème art est partout : Astérix entre ces jours-ci à la BNF (1), Gotlib sera bientôt au MAHJ (2) , la libération de la France en planches et en bulles est en cours d’installation au Musée de la résistance de Champigny-sur-Marne, la presse magazine...
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De « Murena » aux « Mystères de la République », les bulles prennent l'histoire à bras-le-corps. C'est l'immense mérite de la profusion de titres et d'innovations dans la BD historique, un genre en pleine explosion.
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[...] Les mers et les océans sont parfois un espace-scène au cœur de l’intrigue (Coke en stock, Le Trésor de Rackham le Rouge), parfois un espace-support permettant la circulation des personnages (L’île noire, Tintin en Amérique). Les couvertures des albums sont déjà autant d’indices précieux sur le rôle des espaces maritimes dans l’album : le voyage et l’enquête de Tintin se déroulent sous la mer dans Le Trésor de Rackham le Rouge, le naufrage est au cœur de Coke en stock, la mer permet à Tintin d’atteindre L’île noire. Plusieurs thèmes de la maritimité [1] traversent les albums d’Hergé : la navigation (représentée par le capitaine Haddock, bien que celui-ci sera un capitaine dépourvu de bateau et rapidement ancré dans son rôle de châtelain très terrien) et les navires dans toute leur diversité (yachts, paquebots, navires marchands, etc.), la plongée et les sous-marins, les “gens de la mer” [2] et leurs habitudes (symbolisées par l’alcoolisme du capitaine Haddock, mais qui se reflètent aussi dans les superstitions des marins), les ports comme espaces-escales des marins, etc. [...]
Via Géographie de la Ville en Guerre, Bénédicte TRATNJEK
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Il était une fois Saša Marković « Mikrob », le pape de l’underground serbe... Bandes dessinées en Serbie : Aleksandar Zograf, vestiges du réel et hallucinations hypnagogiques Histoire : des Brigades (...)
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Cinq ans après le premier tome de "Notre Mère la Guerre", Kris termine sa série sur la Grande Guerre avec un cinquième ouvrage, intitulé "Chroniques". Non sans émotion, l'auteur fait ses adieux à des héros qui ont séduit des milliers de lecteurs.
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Historien, principalement connu pour ses travaux sur les politiques culturelles, le fascisme, le corps, les mythologies contemporaines ou encore l’histoire culturelle , Pascal Ory est aussi un fin connaisseur du monde de la bande dessinée. D’abord passionné et l’un des rares historiens écrivant sur la bande dessinée dans les années 1970, il a ensuite endossé le rôle de critique pour les magazines Lire et L’Histoire, avant de devenir président du Jury du Prix Château de Cheverny de la Bande Dessinée Historique des Rendez-vous de Blois. Son intérêt pour le sujet l’a amené à observer de l’intérieur le processus de légitimation de la bande dessinée qui a mené les cases et les bulles de la marginalité à une certaine reconnaissance artistique. L’imposant ouvrage qu’il a co-dirigé avec Laurent Martin et Sylvain Venayre, L'art de la bande dessinée, paru l’an passé aux prestigieuses éditions Citadelles & Mazenod, est là pour en attester. Devenue sûre d’elle-même, elle peut aujourd’hui aborder sans peine et avec brio des sujets historiques. Malgré tout elle n’a pas conquis sa pleine autonomie en tant qu’art. Elle demeure encore marginale à l’université et résolument à la porte des départements d’histoire de l’art. C’est avec son regard d’historien du culturel que Pascal Ory nous parle aujourd’hui de cette histoire complexe et encore en plein devenir. Nonfiction.fr – Quand avez-vous commencé à vous intéresser à la Bande-Dessinée ? Pascal Ory – Je n’aime pas vraiment me mettre en avant mais mon cas est peut être représentatif d’une certaine génération qui a grandi avec la bande dessinée. J’ai eu la chance en tant que baby boomer, enfant des trente glorieuses, d’assister à l’apogée de la bande dessinée pour la jeunesse et en particulier celle de l’école belge. Pour des raisons personnelles, et freudiennes probablement, j’étais plus du côté Tintin que Spirou. Je suis passé presque naturellement de l’école franco-belge à Pilote, dont j’ai été lecteur dès son lancement en 1959. À l’origine, ce magazine avait été créé pour amener l’école belge en France, tâche qui fût confié à un Belge, Jean-Michel Charlier, et un Français, René Goscinny. Progressivement, tous deux ont dépassé ce projet, tant et si bien que Pilote est devenu dix ans plus tard, en 1969, l’endroit où tout se passait dans le monde de la bande dessinée francophone. Tous y ont été : Brétécher, même Tardi... Bilal était un jeune lecteur... J’ai accompagné ce mouvement et comme il se doit j’ai abandonné la bande dessinée en devenant grand, puisque la bande dessinée était associé à la jeunesse. Mais au même moment une bande dessinée pour adulte a commencé à émerger. J’ai donc pu conserver un lien avec elle, même distendu. Ce qui m’a empêché de m’en éloigner définitivement a été l’arrivée de la revue (À suivre). J’ai été, là aussi, abonné dès le premier numéro, en 1978. Ces années 1970 sont vraiment centrales dans l’histoire de la bande dessinée. C’est à ce moment qu’elle se révolte ouvertement contre les règles et les cases auxquelles on la réduit. En quelques années, elle s’autorise à dépasser son lectorat attitré, la jeunesse, et à s’ouvrir aux adultes. Ce qui se produit alors est relatif au processus de légitimation de la bande dessinée qu’il faut observer sur un temps plus long. Il est d’ailleurs parallèle, ou en tout cas contemporain, à d’autres processus de légitimation culturelle. Ce mouvement remonte, au moins, au romantisme qui a rendu culturellement respectable des formes culturelles qui ne l’étaient pas jusque-là. Ça commence avec les arts et traditions populaires, puis on l’observe de manière très nette au XXe siècle pour le cinématographe, pour les arts du cirque, dits arts de la piste, et l’émergence de genres spécifiques comme le jazz ou le design. Tous, ou presque, partent avec un déficit de légitimité avant de s’imposer progressivement. C’est aussi le cas de la bande dessinée. Elle a d’abord conquis un espace critique dans des revues dès les années 1960 puis un espace d’exposition temporaire avec, en particulier, la fameuse et fondatrice exposition Bande dessinée et figurations narratives qui s’est tenue au musée des Arts décoratifs en 1967. Cet espace d’exposition est progressivement devenu permanent avec la création de quelques musées consacrés. Le plus célèbre étant celui d’Angoulême qui n’a été inauguré qu’en 2008 soit quarante ans plus tard . Sa fondation a d’ailleurs soulevé la question de la création d’une muséographie ad hoc. L’original en bande dessinée étant alors un travail préparatoire destiné à faire œuvre dans sa réplication mécanique et non pas une œuvre prête à être présentée telle qu’elle. Les festivals participent aussi significativement à ce processus de légitimation. Le phénomène est pour majorité italien ou français. Le festival d’Angoulême s’est construit sur la crise du festival de Lucques/Lucca, référence de l’époque, qui lui-même avait été organisé lors de sa première édition à Bordighera, ville à la frontière entre la France et l’Italie, à côté de Vintimille. C’est très significatif. Il y a aussi eu des médiateurs communs en particulier Claude Moliterni qui a été un des cofondateurs du festival d’Angoulême. Un certain nombre de dessinateurs de bande dessinée italiens ont dû leur légitimité à la France. À commencer par Hugo Pratt qui ne bénéficiait pas d’une reconnaissance particulière dans l’Italie des années 1960. Son succès doit beaucoup à Moliterni, entre autres, qui l’a fait connaître en France et notamment à son passage dans (À suivre) qui l’installe comme une référence. Par ailleurs, la presse généraliste a commencé à ouvrir ses colonnes à la critique de bande dessinée de manière un petit peu plus suivie à partir des années 1980. Yves-Marie Labé a grandement contribué, à la suite de Thierry Groensteen, à la conversion du Monde mais lui-même se disait isolé sur ce sujet. L’étape suivante a été l’entrée de la bande dessinée en tant que telle dans les pages des grands hebdos ou des quotidiens légitimes. 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Et si les historiens et les dessinateurs faisaient équipe ? Pour faire fonctionner ce couple, on peut choisir d'illustrer l'« Histoire ». On peut (...)
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La bande dessinée : un outil didactique pour enseigner l’histoire, Luc Guay, professeur titulaire, didactique de l’histoire et éducation à la citoyenneté, Université de Sherbrooke, Dominic Charrette, bédéiste et diplômé de la maîtrise en histoire de l’Université de Sherbrooke
Qu’est-ce qui fait qu’un cours d’histoire puisse être considéré comme efficace ? Des auteurs, tant américains que québécois se sont penchés sur cette question, et ce, bien avant l’entrée en vigueur du « renouveau pédagogique » : dans les années 1990, Downey et Levstick (1991) ainsi que Martineau (1997) ont montré que la discipline qui était considérée comme la moins intéressante à étudier était… l’histoire ! Dans notre thèse de doctorat (2002),nous avons poussé l’analyse en nous interrogeant sur la matière où les élèves obtenaient les résultats les moins élevés, et devinez quoi ? C’est en histoire que les résultats sont les plus bas ! http://sphq.recitus.qc.ca/spip.php?article1653
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Dans une autre vie, Norédine Allam était une star de la BD en France et en Europe. On s’arrachait ses talents, de la maison d’édition Dargaud aux studios Astérix. Jusqu’au lancement de la BD « islamique » Muslim’ Show. Si elle rencontre un succès certain dans une trentaine de pays, elle est boudée en France. Interview. De l’Indonésie au Qatar en passant par le Pakistan et les Émirats arabes unis, la bande dessinée Muslim’ Show, qui raconte avec humour le quotidien des Français de confession musulmane (...)
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