Masterclass passionnante de #RaymondDepardon, maître de la #photographie sur la chaîne YouTube de #FranceCulture (mise en ligne le 18.06.2018) - 66 mn #photo #apprendredesmaîtres #modestiedesgénies #art #culture
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Masterclass passionnante de #RaymondDepardon, maître de la #photographie sur la chaîne YouTube de #FranceCulture (mise en ligne le 18.06.2018) - 66 mn #photo #apprendredesmaîtres #modestiedesgénies #art #culture No comment yet.
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La fabrique de l'ennemi par le #cinéma #US avec #PierreConesa - #Hollywood #propagande #softpower - France Culture Le cinéma est-il la continuation de la guerre par d'autres moyens ? La Grande table reçoit Pierre Conesa, ancien haut fonctionnaire au ministère de la Défense, spécialiste des questions stratégiques internationales "C’est le cinéma qui fait le récit national américain. Ce récit fait comme nous avec Michelet : le pays est une image d’une réalisation divine sur terre et donc l’autre, ne peut être qu’un envieux, un ennemi, une menace, un porteur de vice"
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Et si #Molière n'était pas l'auteur de ses pièces (L'ombre d'un doute) #Corneille #théatre #culture Ajoutée le 31 août 2017 Dans la mémoire collective, Molière est considéré comme l'un des plus brillants auteurs de théâtre. Pourtant, en 1919, Pierre Louÿs, poète et érudit, provoque un véritable scandale en affirmant que les plus grandes pièces de Molière auraient été écrites par Corneille. A sa suite, nombre d'historiens et de chercheurs ont nourri cette thèse. En effet, en 1658, Jean-Baptiste Poquelin, alias Molière, est passé par Rouen, où il a vécu à quelques mètres du grand Corneille. Retiré depuis six ans du monde du théâtre, Corneille aurait conclu un pacte avec Molière : écrire des comédies de moeurs osées que sa troupe, protégée par le Roi, pouvait mettre en scène. Au début des années 2000, un logiciel informatique analyse les textes des deux hommes de lettres : les résultats dénotent des similitudes.
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Il existe encore une émission qui ne prend pas les gens pour des imbéciles. Mensuelle, passe très tard , profitez-en, l'émission "Hier, Aujourd'hui , demain" ne devrait pas longtemps Taddeï est, hélas, lentement mais sûrement, poussé vers la sortie Il le sait et fait diffuser l'émission sur YouTube AVANT la diffusion sur France 2 C'est un punk Taddeï
Hier, aujourd'hui, demain n°7 - avril 2017 #culture #FrédéricTaddeï #idées 103 mn Ajoutée le 6 avr. 2017 Hier, aujourd'hui, demain - Elections : sommes-nous libres de nos choix ?
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L'homme de ma vie: #MarcLadreitdeLacharrière -Le billet d' #AudreyVernon #Fitch #Prédateur #Culture #Philantrhopie Ajoutée le 12 janv. 2017 Hier soir c’était un des plus beau jour de ma vie, j’ai joué sur la scène de la mythique salle Pleyel. Elle appartient depuis peu, au milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière, 722ème fortune mondiale. C’est le nouveau le roi de « l’entertainment », c’est comme ça qu’il appelle le théâtre.
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Visite de #Carouge avec dessinateur #Poussin - #Genève #tourisme #culture #dessin #Wolinski #Reiser #Yéniches Audio RTS 56 mn Le dessinateur Poussin vit à Carouge depuis sa naissance. Il raconte son histoire et celle de la cité sarde en parcourant les rues, les cours, les terrasses.
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#RobertDoisneau - interview 51 mn 1974 - RTBF - Michèle Cédric #photographie #photo #photographe #art #culture
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Madame Bovary au tribunal / France Inter 55 mn #censure #littérature #GustaveFlaubert #Histoire #Justice #Culture
Aujourd’hui c’est l’histoire du procès Flaubert que Stéphanie Duncan vous raconte . L’incroyable procès qu’en 1857 la justice aux ordres de Napoléon III intenta à l’auteur de Madame Bovary, ce roman iconoclaste, toujours moderne… Portrait d’une femme sensuelle, Emma Bovary, rêveuse et mal mariée, adultère, et qui n’éprouve pas l’ombre d’un sentiment de culpabilité. Je vous annonce que demain 24 janvier 1857, j’honore de ma présence le banc des escrocs ; 6ème chambre correctionnelle, 10 heures du matin. Les dames sont admises. Une tenue décente et de bon goût est de rigueur. » écrit la veille du procès le jeune écrivain, pourfendeur féroce des médiocrités de la vie bourgeoise. Le ton est railleur, mais Flaubert n’en mène pas large, poursuivi qu’il est pour outrage à la morale publique et religieuse. Prison, amende, interdiction de son premier roman... Il risque gros, il le sait. Les écrivains sont dangereux. De Candide de Voltaire mis à l’index par l’Eglise, à Vie et Destin de Grossman, dont le manuscrit fut détruit par le KGB, le pouvoir politique et religieux a toujours su la force subversive de la littérature.
L'invité de Stéphanie Duncan est Pierre-Marc de Biasi, plasticien, écrivain et chercheur au CNRS.
On ne change pas le sang d'un livre (Flaubert)
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Les 1ères photographies de l' #histoire - Info-Histoire.com #photographie #culture #photo #art Une brève histoire de la photographie à travers les premiers clichés réalisés, les premiers autoportraits, les autochromes, les prises de vue aériennes et spatiales ou encore sous-marines.
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Les habitudes du public des théâtres évoluent 14.03.2016 - rts.ch -7 mn #société #théâtre #culture Au théâtre, le public est toujours plus imprévisible. Il préfère attendre la dernière minute pour réserver ses places. Les billetteries vivent aujourd'hui au rythme du "last minute", une évolution qui questionne les institutions romandes et les pousse à s'adapter.
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L'influence des grandes familles protestantes à Genève #mecenat #philantropie #pétrole #art #cultureArticle de Sylvain Besson pour "Le Temps" du 26 janvier 2013
Mécène du futur Musée d’art et d’histoire, le magnat du pétrole Jean-Claude Gandur a su s’ouvrir les portes du milieu des «vieux Genevois». Un parcours quasi initiatique, qui en dit long sur l’influence des grandes familles protestantes dans la cité LES LIENSWebdoc. Les grandes familles genevoises Un magnat du pétrole prêt à descendre dans la rue pour distribuer des tracts, c’est insolite. Mais Jean-Claude Gandur n’en démord pas: il s’engagera physiquement pour vanter l’extension du Musée d’art et d’histoire (MAH), qu’il finance à hauteur de quelque 40 millions de francs. La version remodelée du projet dû à l’architecte Jean Nouvel, qui se heurte à des oppositions de la gauche radicale et de défenseurs du patrimoine, sera présentée le 7 février. Ensuite commencera un marathon politique qui pourrait s’achever en 2015, par un référendum. Mécène, collectionneur d’antiquités et de peinture moderne, Jean-Claude Gandur a cédé sa société Addax au chinois Sinopec en 2009, pour quelque 7,2 milliards de dollars. Depuis, il consacre beaucoup de temps au nouveau musée, qui abritera une partie de ses collections. Il a dîné avec le Conseil municipal, rencontré les riverains, discouru à l’Institut national genevois. Surtout, il s’est ménagé des entrées dans le monde feutré et secret des «vieux Genevois» ou «VG», ces patriciens protestants qui ont dirigé la cité durant des siècles. Sa réception dans ce milieu, que Le Temps a partiellement reconstitué, permet de mesurer l’influence que ce dernier exerce aujourd’hui encore à Genève. Au départ, tout semble séparer l’entrepreneur pétrolier et ce que certains appellent «la caste». Fils d’un médecin chassé d’Egypte par Nasser, Jean-Claude Gandur a grandi dans le canton de Vaud, fait sa fortune en Afrique et résidé à Londres. Il est divorcé, volubile, pas très mondain, voire solitaire. Mais à partir de 2009, il se montre davantage à Genève. On le reçoit d’abord à déjeuner, puis à dîner. La promotion est d’importance, car les anciens usages veulent qu’on reçoive le soir les gens qu’on estime être de sa condition. Ce passage, presque initiatique, a pris un peu de temps: «Il a fallu que les gens se rendent compte de qui j’étais, explique Jean-Claude Gandur. Il fallait convaincre la bourgeoisie, celle-là même qui a contribué aux collections du musée, et qui se demandait: «Est-ce qu’il fait partie de la famille?»
Ce processus précautionneux, par lequel les élites traditionnelles jaugent un riche étranger, est typique de Genève, observe le ministre de la Culture de la Ville, Sami Kanaan: «Ici, on peut s’intégrer, mais il faut prendre le temps de voir les gens qui sont déjà là, d’écouter ce qu’ils ont à dire. Et Gandur l’a pris, effectivement.» Au cœur de son dispositif relationnel, on trouve Renaud Gautier, élu libéral issu d’une des plus anciennes familles de la ville, qui a mobilisé les mécènes privés en faveur du nouveau musée. Ou l’affable banquier Pierre Darier, un passionné d’art comme lui. Mais le personnage clé est peut-être Catherine Fauchier-Magnan, femme d’un ancien associé de la banque privée Mirabaud et ex-présidente de la Société des amis du musée (elle vient de passer la main à sa fille Charlotte). «Pour moi, Catherine est la quintessence de Genève, dit d’elle le directeur du Musée d’art et d’histoire, Jean-Yves Marin. Elle représente toutes les valeurs de la Genève éternelle, si j’ose dire: rigoureuse, discrète, presque secrète.» Née Vernet, une famille qui reçut la bourgeoisie de Genève en 1659, Catherine Fauchier-Magnan a présidé la Société de lecture, cénacle littéraire de la Vieille-Ville nourri des archives du bon milieu protestant. Son autre fille, Camille, est devenue à son tour associée chez Mirabaud. L’un de ses gendres siège au comité de l’Ecole Brechbühl, établissement dédié aux enfants de l’élite. L’autre est président des Clefs de Saint-Pierre, une fondation vouée à la préservation de la cathédrale de Genève, cœur spirituel du calvinisme. Le couple Fauchier-Magnan partage sa vie entre une maison du XVIe siècle en Vieille-Ville et sa propriété de Port-Choiseul, à Versoix – une migration saisonnière (hiver en ville, été dans la maison de campagne) que peu de vieilles familles ont encore les moyens de pratiquer. Pour le reste, le couple est «l’antithèse absolue des nouveaux riches», assure une personne qui les connaît bien: on va au travail à pied ou en tram, on fuit la publicité, on s’investit pour la collectivité. «Leur idée, c’est: on a la chance d’être ce qu’on est, alors on donne de son temps, de ses moyens», ajoute la source précitée.
Fidèle au goût de son milieu pour la discrétion, Catherine Fauchier-Magnan ne s’épanche guère sur ses relations avec Jean-Claude Gandur. Tout au plus sait-on qu’il a été invité à dîner, à Port-Choiseul et derrière les murs austères de la maison de ville des Fauchier-Magnan. Ces dîners lui ont ménagé d’autres entrées chez les représentants de la «vieille Genève». «Jean-Claude Gandur est devenu un ami, il a rencontré des amis à moi, mais il ne m’a pas investi d’une mission pour rencontrer des gens, précise Catherine Fauchier-Magnan. Il a fait la connaissance de gens qu’il ne connaissait pas, très normalement.» Autre ami du fondateur d’Addax, le financier Jean-Evrard Dominicé, élu en 2011 meilleur gestionnaire de hedge fund de Suisse par le magazine Bilan. Plus apparent dans le monde que la moyenne de son milieu – il fut invité, en 2009, aux noces brésiliennes de la princesse d’Orléans-Bragance –, il en cumule pourtant les traits distinctifs, comme une adresse du «bon côté» de la rue des Granges, l’appartenance au select Cercle de la Terrasse et le goût des affaires. Car si les vieux Genevois ont, en tant que groupe, réussi à préserver leur cohérence à travers les siècles, c’est qu’il s’agit «avant tout d’une élite de l’argent, qui entretient sa position économique avec beaucoup de soin», atteste l’historien Marc Neuenschwander, l’un des meilleurs connaisseurs du sujet. En 2009, Jean-Claude Gandur a investi 500 millions de dollars dans un fonds énergétique créé avec Lombard Odier, l’une des plus vénérables banques de la ville. L’affaire a renforcé ses liens personnels avec les partenaires de l’établissement. D’autres indices montrent une convergence entre la haute finance protestante et le monde du pétrole. L’an dernier, l’ancien banquier Ivan Pictet a été nommé au conseil d’administration de Lukoil, une société pétrolière russe. L’un des «amis bienfaiteurs» du Musée d’art et d’histoire, Pierre-Yves Mourgue d’Algue, associé de la banque du même nom, a réalisé des investissements dans le pétrole. Le parrain du fils de Catherine Fauchier-Magnan, Charles de Mestral, est l’un des fondateurs du Geneva Petroleum Club.
Sami Kanaan, le responsable municipal de la Culture, observe l’émergence de «fortunes liées au négoce [de matières premières], un peu l’antithèse de la vieille Genève, qui ont envie de visibilité. Il y a une évolution des fortunes et un réajustement de nos légataires.» Mais le vieil argent compte encore. Depuis son arrivée en 2011, Sami Kanaan a d’ailleurs entrepris de rétablir les liens avec les grands mécènes traditionnels de la Vieille-Ville. On pense à Jean Bonna, Yves Oltramare, Pierre Darier, Ivan et Charles Pictet… «Nous avons envie, et besoin, aussi, de ces soutiens historiques» pour faire aboutir le projet de nouveau musée, explique-t-il. «De notre côté, il y a une volonté d’alliance, de se mettre ensemble, car on ne peut plus continuer comme cela. Le MAH est à bout de souffle.» Le délabrement de l’institution – en octobre, des œuvres ont dû être évacuées dans l’urgence après une forte pluie – est aussi le signe d’un divorce entre les élites traditionnelles et leur ville. Durant un siècle, le musée a été le réceptacle d’objets issus des grandes familles: les dons constituent 80% de ses collections, presque un record mondial. Il a hérité de boiseries, d’antiquités, d’instruments de musique qu’il n’a pas toujours la place d’exposer. En 2009, le municipal vert Patrice Mugny débarque son directeur Cäsar Menz: on l’accuse, entre autres, d’avoir accepté des dons sans discrimination, pour complaire à de riches bienfaiteurs. Depuis, entre la municipalité de gauche et les vieux Genevois, c’est la guerre froide. Des mécènes se sont éloignés, comme la Fondation Wilsdorf (familles van Berchem, de Saussure, Turrettini…). «Ils ne veulent plus donner tant que Genève sera dirigée par un gouvernement qui méprise l’argent qu’il réclame par ailleurs», raconte un bon connaisseur du milieu. L’historien et théologien Olivier Fatio parle de «sentiment anti-riches»: «Pour mobiliser les donateurs, il faut leur dire «on a besoin de vous». Au lieu de cela, on ne le leur dit jamais, ou alors sur le mode, «vos dons c’est bien, mais il faut remplir telle ou telle condition.»
Le projet d’extension serait-il l’arche d’alliance qui permettra aux vieux Genevois de se réconcilier avec «leur» musée et la gauche municipale? Possible. Dans le milieu, la réputation de Sami Kanaan est certainement meilleure que celle de son prédécesseur Patrice Mugny. La Fondation Wilsdorf commence à revenir comme sponsor. Pour le projet d’extension du MAH, le soutien de la «vieille garde» calviniste sera indispensable: «Ils donnent leurs signaux dans les communes qu’ils tiennent, ils forment un réseau personnel, familial, d’information, que l’on voit à l’œuvre lors des élections, confie un politicien genevois bien introduit dans ces cercles. D’un dîner à l’autre, on ne voit pas les mêmes personnes, mais ils savent ce qui s’est dit. Ils représentent quand même 1500 à 2000 personnes! S’ils veulent pousser un projet, ça le fait puissamment avancer.» Pour autant, les promoteurs du nouveau musée craignent par-dessus tout qu’il soit présenté comme un «projet de riches». «Il faut que ce soit un musée pour tous, le musée des habitants, souhaite Catherine Fauchier-Magnan. Oubliez les vieux Genevois, parlez des Genevois!» Détail important: si un référendum est lancé contre le musée, le vote aura lieu uniquement au niveau municipal. «S’il y a votation, ça se jouera à la Jonction ou à la Servette, pas à Vandœuvres ou Cologny», résume Sami Kanaan. C’est donc dans des quartiers populaires de Genève, plus que dans des banlieues chics, que Jean-Claude Gandur devra distribuer ses tracts. Ce sera un test redoutable, qui dira quel pouvoir de persuasion les vieux Genevois – et leurs nouveaux amis du pétrole – conservent dans leur ville.
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Qu’entend-on par «vieilles familles genevoises»? l n’existe pas de liste officielle des noms qui devraient figurer dans la catégorie des «vieilles familles genevoises». Ce terme (auquel certains préfèrent ceux de «vieux Genevois», «bonne société genevoise», «bonne société protestante», etc.) recouvre plusieurs définitions. La plus étroite désigne les familles qui vivaient en ville de Genève avant la Réforme, dont seule une poignée (Pictet, Rilliet, Gautier, Favre…) a subsisté jusqu’à aujourd’hui. On parle ensuite des «dix noms de la banque», c’est-à-dire des familles ayant un établissement à leur nom, toujours en activité aujourd’hui ou jusqu’à une période très récente: Lullin, Cramer, Ferrier, Darier, Hentsch, Lombard, Odier, Pictet, Mirabaud, Bordier.
Pour Barbara Roth, conservatrice des manuscrits à la Bibliothèque de Genève, la notion de «vieille famille genevoise» repose sur un faisceau d’indices: l’ancienneté, la religion protestante avec ce qu’elle implique de rigueur et de retenue, la participation aux affaires publiques sous l’Ancien Régime, la fortune, la possession d’une «campagne» (maison de maître située hors les murs), ainsi qu’un certain conservatisme politique qui les identifie naturellement avec l’ancien Parti libéral, aujourd’hui fusionné avec les radicaux, ennemis historiques de l’oligarchie.
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La beauté, un geste politique avec #AnnieLeBrun - France Culture #Art #artcontemporain #finance #capitalisme
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Drôle, réaliste et triste à la fois : "Ecce Hommos", court métrage (5:51) en français (with english subtitles) de 2009 réalisé par #ClaudeElKhal (journaliste #LeMedia ) #cinéma #producteurs #Liban #France #poncifs #art #culture Cannes Film Festival 2010 - Short Film Corner Written & Directed by Claude El Khal. Produced by Zoé Productions. Starring: Stéphane Tellier, Karim Ghorayeb. DOP: Marc Karam. Editor: Sebastien Leclercq. Music: Khaled Mouzanar Full of enthusiasm and hope, a young Lebanese filmmaker, script in hand, knocks on the door of an "international" producer to pitch his film project.
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#Zanco fait resurgir les monstres de l’#Histoire (jusqu'au 22 juin à #Genève ) #Théâtre #Art #Culture Dès 8 ans. Jusqu’au 22 juin, 21h15, Parc La Grange (entrée rte Frontenex), Genève; 30 juillet-5 août, Festival de la Plage des Six-Pompes, La Chaux-de-Fonds; 18-20 août, Lausanne Estivale; 26 août, Festival Place aux mômes, Veysonnaz (VS); toutes les dates de la tournée sur www.zanco.ch Mardi 20 juin 2017 - Cécile Dalla Torre A Genève, Wild Things invite à déambuler au milieu des hêtres en parcourant des siècles de tyrannie, narrés et chorégraphiés par la Cie Zanco d'après les récits de l'historien Patrick Boucheron. Un régal pour petits et grands. «Quand on est historien, on croit aux fantômes.» Ceux de la tyrannie sortent du bois et reviennent nous hanter dans Wild Things, spectacle philosophico-politique itinérant, inspiré des propos de l'historien français Patrick Boucheron. Yuval Dishon, à la tête de la compagnie Zanco qui travaille dans l'espace urbain, en a concocté l'écriture. Il s'est inspiré de ses interviews menées avec Patrick Boucheron et de ses écrits. L'ouvrage de ce dernier, Conjurer la peur. Essai sur la force politique des images, trace une belle ligne de fuite dans cette épopée visuelle et idéologique très réussie. Dans le voyage théâtral comme dans le livre, on devient spectateur de la fresque d'Ambrogio Lorenzetti peinte dans le pala (...)
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Saviez-vous que la moitié du vocabulaire #anglais venait du #français ? #langues #AnthonyLacoudre #culture #conférence 1h Ajoutée le 23 mars 2016 Conférence du Jeudi 17 mars 2016, animée par Anthony Lacoudre (intervenant dans le programme Brooklyn de l'Université Paris-Dauphine) , dans le cadre du cycle de conférences de l'Université ouverte.
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Traverses/Regards croisés avec #JuanCarlosHernandez , #photographe | par #StéphaneBataillon #poésie #photographie Une collaboration du poète Stéphane Bataillon avec avec le photographe suisse et passionné de Jazz Juan-Carlos Hernandez, pour croiser les regards ses textes sur 4 images de Juan Carlos
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Ils disent qu'israël est la seule démocratie au Moyen-Orient. Ah bon ..
Polémique en #israel après une émission de la radio militaire sur le poète palestinien #MahmoudDarwich
"A première vue, il s'agit d'une affaire grave impliquant quelqu'un qui a écrit des textes contre le sionisme, qui sont utilisés jusqu'à présent pour encourager des actions terroristes contre l'Etat d'Israël", affirme Lieberman. OLJ/AFP 20/07/2016 Le ministre israélien de la Défense a convoqué mercredi le directeur de la radio de l'armée pour dénoncer la diffusion d'une émission sur le poète palestinien Mahmoud Darwich, a indiqué un communiqué de son ministère. La radio militaire dépend du ministère israélien de la Défense. Selon les médias, M. Lieberman envisagerait la fermeture de cette station en raison de son orientation jugée trop "gauchiste".
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Suite au propos méprisants contre un écrivain de #PascalVanderberghe, principal actionnaire des librairies #Payot, je décide de les boycotter #Suisse #livre #culture #littérature un exemple de ce qu'a pu dire dans ce débat, cet "acteur de la culture " "Si l'auteur prend une bonne partie de son temps pour écrire son livre, c'est du temps qu'il ne prend pas pour travailler !" Et, petit retour en arrière, il est piquant d'entendre ce même Vanderberghe s'exprimer sur la "nuisance de la gratuité" en 2012 au Journal du Matin de la #RTS (ici .. dès la minute 9:25 https://www.youtube.com/watch?v=fMN8TgVl-FU )
Un vent de révolte souffle dans le milieu des écrivains romands. Ils ont été nombreux ces derniers jours, sur les réseaux sociaux, à s'emporter contre une économie du livre jugée trop peu solidaire. A l'origine de leur courroux, il y a une tribune parue la semaine passée dans Le Temps: "Adresse à la micro-mafia de la chaîne du livre romande". Le débat entre Sébastien Meier, écrivain lausannois auteur de cette tribune et Pascal Vandenberghe, patron des librairies Payot en Suisse.
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Audio 43 mn RTS : interview #SteeveIuncker, #photographe - #GrandArtiste #Suisse #photo #photographie #ritesDePassage Le photographe Steeve Iuncker présente "Se mettre au monde", une exposition à découvrir du 25 mai au 28 août 2016 au Musée de l'Elysée à Lausanne. Ce travail est le fruit d'une recherche menée sur plusieurs années sur le passage de l’enfance à l’âge adulte, qui interroge l’absence de rites clairement identifiés dans nos sociétés laïques.
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Célèbre avocat, #EmmanuelPierrat, sur les livres interdits, #censure et #EtatdUrgence - #France 2:37 #culture #littérature Ajoutée le 23 mars 2016 La censure existe toujours dans les sociétés démocratiques : sous forme de dommages et intérêts, estime l’avocat et écrivain Emmanuel Pierrat qui a guidé une «flânerie littéraire» au Salon du Livre.
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Montrés pour la plupart en première mondiale, quelque trois cent cinquante objets archéologiques célèbrent le Liban. Une exposition édifiante à découvrir au Musée Rath.
Soyons francs: en matière d’accrochage, on a vu mieux. Mais «Fascination du Liban», à découvrir au bout du lac jusqu’au 31 mars, n’en est pas moins une grande exposition: la proposition raconte l’incroyable richesse du Pays du Cèdre, sous l’angle des relations avec l’au-delà et le divin. Par la force des choses, c’est toute la formidable succession de cultures transméditerranéennes qui est soulignée, de même que les cohabitations qu’elle a engendrées. Un rappel qui n’est pas inutile, alors que les tensions entre les communautés sont une nouvelle fois exacerbées dans la région.
Une femme parmi les hommes
Initiée par Patrice Mugny, précédent conseiller administratif chargé de la Culture à Genève, l’exposition comporte trois cent cinquante objets archéologiques, présentés pour la plupart en première mondiale. C’est le cas de pièces restaurées pour l’occasion, comme ce magnifique sarcophage anthropoïde en marbre blanc de Paros. «Pas facile de le faire venir», souffle Jean-Yves Marin, directeur des Musées d’art et d’histoire de Genève (MAH), qui inclut le Rath. Mais les questions logistiques n’auront pas entamé l’enthousiasme du Français, très fier de l’importante «mise au point sur l’archéologie du Liban» que représente l’exposition, réalisée avec la collaboration de deux ateliers de restauration du MAH pour ce qui est d’œuvres textiles et des sarcophages en plomb.
Commissionnée par Anne-Marie Maïla-Afeiche, du Musée national de Beyrouth, Marc-André Haldimann et Marielle Martiani-Reber, du MAH, l’exposition suit un parcours chronologique. On débute au sous-sol, où sont montrées les premières évocations de rites funéraires, avec des jarres de Byblos et de Sidon-Dakerman du IVe millénaire av. J.-C., contenant squelette et objets précieux. Egalement de Byblos, des obélisques témoignent de l’influence égyptienne sur la région, aux IIIe et IIe millénaire av. J.-C. On ne manquera pas, dans la même section, une statuette
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