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Par Axel Leclercq 01/08/17 : "Pour contrer Monsanto, Bayer et Syngeta -le fameux trio propriétaire de la quasi totalité des semences mondiales-, des paysans épaulés par des juristes ont mis sur pied le projet Semences en Open Source. Objectif : créer des légumes libres de droit qui échapperaient complètement au contrôle des géants de l’industrie des semences. Explications...
°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Open Source Seeds : http://bit.ly/2voquTJ
Via Serge Meunier
« Nous avons montré sans l’ombre d’un doute qu’il existe des différences de composition entre les aliments issus de l’agriculture biologique et ceux issus de l’agriculture conventionnelle », affirme dans une étude publiée dans « British Journal of Nutrition », le Pr Carlo Leifert spécialiste en agriculture écologique à l’Université de Newcastle.
Les aménagements réalisés sont simples pour préserver et valoriser l’identité de ce site exceptionnel en cœur de ville, révéler le patrimoine ferroviaire et végétal existant et favoriser la biodiversité. Depuis 2001, nous avons créé plus de 60 ha d’espaces verts. Je souhaite que la nature demain, ne soit plus cantonnée à des parcs et jardins, mais qu’elle soit présente dans toute la ville en particulier sur les toits, les façades et les délaissés urbains.
Un hypermarché comme un lieu de vie, parfaitement intégré dans son environnement et porté par une dynamique locale, beaucoup en rêve, d'autres agissent. Aux USA la chaine Whole Foods s'impose dans le paysage. Connue pour son offre de nourriture bio, sa distribution en vrac et ses corner avec des producteurs locaux. Aujourd'hui, l'enseigne va plus loin et crée sa propre ferme urbaine pour son installation sur Brooklyn, le quartier en vue de New York; Particularité, ce potager de légumes bio est installé sur le toit du bâtiment, dans une serre hydroponique de 1850 m⊃2; bénéficiant d'un dispositif d'irrigation très économe en eau (20 fois moins qu'une serre classique). Deuxième exemple en France avec l'installation du supermarché La Louve. Un modèle importé aussi de Brooklyn. Une enseigne qui promeut le supermarché collaboratif, où chaque client s'engage à donner 3 heures de son temps par mois, pour soulager l'ensemble de certaines tâches et réduire les couts de fonctionnement (75 % en moins sur la main d'oeuvre), et par conséquent les prix de vente (20 à 40 % moins chers) de bons produits sélectionnés bio. Plus modeste mais tout aussi intéressant dans l'approche : les GASE, Groupements d'Achat Epicerie Services. Là encore il s'agit de produits bio, locaux, équitables, vendus sans marge, afin de permettre à tous d'accéder à de bons produits. Autre format, autre concept : les supermarchés club grand format, avec l'enseigne américaine Costco qui débarque en France. Ses ventes sont réservés aux membres de son club, via une adhésion de 55 € à 112 €. Les clients peuvent ensuite accéder à d'immenses hangars de 14000 m⊃2;, où sont disponibles à la vente environ 4000 références de produits (soit 10 fois moins qu'un hypermarché français).
Via Economie écologique
Le jardinage urbain prend de l’ampleur partout dans le monde. Comment planter en intérieur ? Sortez vos tuteurs, voici quelques tuyaux… (podcast) • Le potager en jardinière s’accroche directement sur le balcon • On peut jardiner en intérieur, mais peut-on semer la même chose que dans un potager de jardin ?
Via @Chuchoteuse d'Alternatives
Look at THIS image! See that? That’s FOOD! Lots of it. And it’s all being grown in backyards. Grow your own food! In the USA, home of the free, land of the brave, we’re not allowed to grow food in our yards. It’s almost laughable, if it weren’t so freaking sad. But in Geneva Switzerland they not only grow food, they produce LOTS of it!
Longtemps oubliées, des techniques agricoles refont surface 170 ans après et inspirent aujourd'hui des pionniers d'une agriculture à la fois hyperproductive et totalement naturelle. Des melons mûrs à Paris dès le mois d’avril, des tonnes de légumes sur une surface pas plus grande qu’un terrain de foot, jusqu’à huit récoltes en une seule année… Ces performances agricoles incroyables ne sont le fruit ni d’engrais chimiques, ni de modifications génétiques, ni même de connaissances scientifiques de pointe. Et pour cause, ces prouesses datent du XIXe siècle et sont l’œuvre des quelques centaines de jardiniers-maraîchers parisiens qui assuraient alors l’autosuffisance de la capitale en légumes.
Via @Chuchoteuse d'Alternatives
Les défis... En 2007, pour la première fois dans l’histoire, la moitié de la population mondiale vivra dans des villes. Ces dernières continueront à constituer les principaux centres de croissance, et il est attendu qu’elles hébergeront près de 5 milliards de personnes en 2030. Alors que les mégalopoles – avec une population de plus de 10 millions de personnes – devraient continuer à s’étendre et se multiplier, la majeure partie de leur croissance sera sans doute absorbée par les petites villes – moins de 500 000 habitants – et les villes moyennes – de 1 à 5 millions d’habitants. Ni les Objectifs du Millénaire pour le développement ni celui du Sommet mondial de l’alimentation ne se réaliseront si l’on ignore les liaisons entre le secteur rural et le secteur urbain. Le PDF ftp://ftp.fao.org/docrep/fao/011/ak003f/ak003f.pdf
La guérilla jardinière a essaimé ses idées comme des graines dans le monde entier, prônant le retour des plantes dans les villes. A Paris, elle est à l’origine de nombreuses initiatives de la municipalité. • Paris plus tolérante que New York • Un cadre légal aux jardins partagés • Des passerelles entre citoyens et municipalités
Via Claudine Revol, Bernard BRUNET
Comme Leeds, voulez-vous rejoindre le calendrier 2018 de Todmorden ? la ville de Leeds, du comté du Yorkshire de l’Ouest, dans le nord de l’Angleterre se lance avec ses 700.000 habitants, ils s’engagent tous azimuts pour être autonomes et vont réussir, c’est déjà bien parti comme pour plus de 50 communes en Angleterre. L’autosuffisance alimentaire est en marche !
C’est le magazine économique Les Affaires qui le dit en titre : « La ville qui vous nourrit gratuitement ». On parle bien des Incroyables Comestibles à Todmorden et de son mouvement citoyen Incredible Edible. Il faut que le phénomène soit suffisamment fort et incroyablement novateur pour que l’hebdomadaire économique canadien investisse le sujet au point d’enquêter sur place au Royaume-Uni, à Todmorden, pour constater la réalité du nouveau paradigme des Incroyables Comestibles et de la nourriture à partager.
Via association concert urbain, Raphael Souchier
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Une soixantaine de députés ont déposé une proposition de loi pour contraindre les hypermarchés à donner leurs invendus alimentaires encore consommables aux associations caritatives.
Via Hubert MESSMER
Small-scale farmers are producing the majority of the world's food on just 25% of farmland. GRAIN report says small farms are more productive than large scale industrial monocultures.
– in Belarus, on 17% of the land, small farmers are producing 87.5% of fruit and berries, 82% of potatoes, 80% vegetables and 32% of eggs
– in Kenya, with just 37% of the country's farmland, small farms produce 73% of the agricultural output
– in El Savador, small farmers manage 29% of the land and yet produce 90% of the country's beans, 84% maize and 51% pork.
These are just a few examples showing how important these small farms are to each country.
Via Sepp Hasslberger
Si à l’origine l’agriculture était liée à la ville (les champs s’étendant au delà des murailles), le lien entre les mondes urbain et agricole se sont peu à peu distendus. L’avènement des mégapoles, la globalisation de l’économie et le développement des transports ont en effet permis (provoqué ?) une mondialisation de l’agriculture. Mais le local revient en force : crise du modèle économique actuel et nécessité d’un mode de vie durable rendent de plus en plus séduisants les circuits courts. Plus encore, l’agriculture urbaine devient dans certains cas une composante forte de la ville. Quelques exemples.
Via Caroline Turquet
Le Parlement français en a voté l'interdiction dans les espaces publics (à partir de 2020) et dans les jardins particuliers (à compter de 2022).
Selon un rapport de la situation alimentaire établi par Oxfam et basée sur des indicateurs d’abondance, de qualité, de prix et d’hygiène, les vingt premières places de ce classement qui en compte 125 sont occupées par des pays européens, exception faite de la huitième qui revient à l’Australie. La dernière est occupée par le Tchad. PDF : OXFAM MEDIA BRIEFING 01/2014 - Good Enough to Eat: Where in the world are the best and worst places to eat? http://www.oxfam.org/sites/www.oxfam.org/files/good-enough-to-eat-oxfam-media-brief-012014.pdf
L’association Friends of the Earth Europe (les Amis de la Terre) et la Fondation Heinrich Böll (avec l’aide financière d’un fonds de l’Union européenne) viennent de publier un «Meat Atlas», un Atlas de la viande, pour sensibiliser les gens aux enjeux collectifs de la consommation de viande. • 15.500 litres d’eau pour un kilo de viande de bœuf • On abat plus de poulets • Alerte aux antibiotiques • La demande va augmenter de Rio à Shanghai • Insectes plein de protéines Le rapport de 64 pages en PDF http://www.boell.de/sites/default/files/meat_atlas2014.pdf
“The greatest change we need to make is from consumption to production, even if on a small scale, in our own gardens. If only 10% of us do this, there is enough for everyone. Hence the futility of revolutionaries who have no gardens, who depend on the very system they attack, and who produce words and bullets, not food and shelter.” ― Bill Mollison
Par Benoît Thévard Dans le dernier article, repris par le site Terra Eco, j'expliquais pourquoi la lutte pour la sauvegarde du modèle agricole actuel était une mauvaise option. Comme promis, voici maintenant quelques pistes pour envisager un système alimentaire plus durable et plus résilient.
Via PhotoSphEric
Dans sa ferme des "Jardins de la Grelinette", au sud de Montréal, Jean-Martin Fortier, l’auteur de Jardinier-maraîcher, cultive des légumes bio sur moins d’un hectare. "Le nouveau paradigme est de comprendre que nous faisons partie de la nature et que l’on peut s’inspirer d’elle. Nous sommes au début de cette nouvelle vision de l’agriculture." Entretien. Extrait : "Tout ce que je fais a été inspiré de ce que faisaient les maraîchers en Ile-de-France au XIXe siècle. J’ai vu des photos dans des livres de l’époque et cela ressemble à ma ferme. C’était du maraîchage intensif sur petite surface. C’étaient des outils qui ressemblent à ceux que l’on utilise, c’était de la vente directe, c’était de la qualité. Ce qui manquait c’était un modèle pour montrer comment faire."
Une enquête scientifique approfondie s’est intéressée aux comportements alimentaires de la population française. Il en ressort que les consommateurs de produits bio se portent mieux que les autres. Pour autant, ils ne sont pas plus riches que les autres.
Crop yields worldwide are not increasing quickly enough to support estimated global needs in 2050, according to a new study. "The good news is, opportunities exist to increase production through more efficient use of current arable lands and increased yield growth rates by spreading best management practices. If we are to boost production in these key crops to meet projected needs, we have no time to waste."
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