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Le billet hebdomadaire de Claude Samuel

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De Diaghilew à Pierre Boulez – Un jury à la Sorbonne – Nicolas de Staël au Domaine Musical – Qu’est-ce que le concert ? – Et la Fête de la Musique ? – L’impertinence de Debussy | Claude Samuel
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Ici, dans ce scoop.it, sont rassemblées des informations, annonces, liens autour de la musique classique et contemporaine.

On y trouve ainsi des chroniques, des notes d'écoute, des notes de lecture.

On peut aussi se rendre sur le site Muzibao (actuellement en maintenance)

 

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(Note d’écoute) The talented Katski Brothers, Works for violin and piano, Stawomira Wilga et Isabela Wilga et Noskowski/ Franck, Sonatas for violin and piano, Adam Wagner, violin, Dariusz Noras, piano

(Note d’écoute) The talented Katski Brothers, Works for violin and piano, Stawomira Wilga et Isabela Wilga et Noskowski/ Franck, Sonatas for violin and piano, Adam Wagner, violin, Dariusz Noras, piano | Muzibao | Scoop.it

De la difficulté et du bonheur d’être deux

Le label polonais DUX propose plusieurs fois par an une moisson de disques toujours aussi originaux et surprenants. On reprend espoir en se disant que décidément le répertoire et surtout les découvertes musicales sont inépuisables…
Le violon n’était pas, et ne l’est toujours pas, en reste « au pays de Chopin », et on s’en réjouit. D’autant plus que le plaisir est redoublé par l’écoute des partitions des frères Katski, Karol (1813-1867) et Apolinary (quel prénom merveilleux !) (1824-1879), des partitions pour piano et violon que deux sœurs (oui !), Stawomira Wilga au violon et Izabela Wiga, font découvrir. Et on ne se lasse pas d’écouter cette musique dont les deux sœurs incarnent pour ainsi les personnages, au gré des pièces proposées qui vont de la Mazurka, comme il se doit en ces contrées, en Grande Fantaisie, que ce soit pour pratiquer le genre ou bien pour donner lieu à une paraphrase de Lucia di Lammermoor (on y comprend, par l’écoute, des traits décisifs quant aux réactions d’Emma Bovary, des aspects tranchants de la musique, ou bien leur inverse très rêveur, illusoire ou encore très secrets, sur lesquels on se surprend à buter comme sur la nature d’un désir à l’instant et sur le coup impénétrable) ou encore sur une mélodie, magnifique, d’Alabiew.  Serait-ce le bonheur musical, si bien porté jusqu’à nous, dans ces temps de menaces et de folie, de régressions psychiques et collectives, de ressentiment et donc de guerre (d’abord contre soi), par les deux sœurs Stamowira et Izabela dont, quoi qu’il en soit, on n’oubliera pas les noms parce que leur seule et simple musique ouvre et creuse le ciel.
***
Dans ce bel élan, le label DUX propose un autre disque consacré au duo piano et violon, cette fois-ci en portant à la connaissance (la mienne en tout cas) la Sonate en la mineur de Zygmunt Noskowski (1846-1909) (sur la pochette, il est précisé que la sonate date de « before 1875 ») – auteur d’une œuvre considérable dont on connaît plus sûrement quelques très belles pièces pour orchestre –, accompagnée de celle de César Franck, en la majeur, elle-même datant de 1886. Les deux œuvres sont quasi contemporaines et se placent en miroir, en passant du mineur au majeur (on s’étonne à l’instant, persuadé qu’on était que l’œuvre de Franck était en mineur… C’est donc qu’il y a des tons dans les tons, et des secrets dans ce qui se présente comme une évidence, c’est-à-dire finalement un préjugé).
Dans les deux œuvres, jouées par Adam Wagner au violon et Dariuzs Noras au piano, domine, on s’en serait douté, l’émotion, encore quelque peu retenue chez Noskowski, et comme en définitive projeté comme un immense sanglot par César Franck. Et on ajoutera à son imaginaire intérieur, à l’écoute de la lecture, dans la Recherche, de la Sonate à Vinteuil le croisement des deux œuvres, celle de Noskowski et celle de Franck. L’échelle émotionnelle gagne encore en finesse, certes, mais d’abord en envergure, comme lorsqu’on prend la mesure d’un espace qu’on pensait jusque-là fixé et borné, et qui soudainement, à l’occasion d’un déplacement, s’élargit. Voici donc un disque important, nécessaire, alors qu’a priori on se demande pourquoi ajouter aux déjà très nombreux enregistrements une nouvelle interprétation de la sonate de César Franck. On espère que ce couplage pourra désormais faire école ou bien en encourager d’autres. Cela dit, on est resté sidéré à l’écoute de la sonate très inspirée de Noskowski ! Comment une telle œuvre a-t-elle pu passer à travers les filets de la notoriété ? Et qu’on nous croie sur parole ! Si seulement elle pouvait entrer, enfin, dans le répertoire le plus joué !
***
Du bonheur musical, a-t-il été dit, certainement, mais bonheur tout court ?
Un violon ne fait pas un orchestre, on s’en doute, bien qu’il en fasse entendre un, pour qui écoute. Un piano est un orchestre à lui seul et il se suffit par conséquent à lui-même.
Pourquoi, dans ces conditions, les deux joueraient-ils ensemble ? L’hypothèse qu’on aimerait formuler fait valoir un  déplacement effectué, heureusement ou dans la douleur, par un instrument dans l’autre, comme l’adresse d’un sentiment, d’un affect. (À la limite, chacun ne joue pas en face de l’autre, ou contre lui, mais en lui, pour lui – et c’est bien ce que montrent les grands moments de relance des phrases dans la musique, à la différence, sans doute, du jazz, qui, quant à lui, fait état d’une solitude des solistes, chacun s’exprimant après l’autre, reprenant certes l’autre, mais en dehors de lui ou bien en l’ayant pour ainsi dire incorporé pour reformuler ce qui aura été dit, ou bien en cherchant à se substituer à l’autre ; dans le jazz, la rivalité n’est jamais très loin, et, peut-être, n’est-elle jamais surmontée comme un conflit de virilités, de classe, et comme un refus de toute forme d’humiliation grâce à une prise de parole).

 La Sonate à Kreutzer constitue peut-être la sonate par excellence pour violon et piano. Définitivement, elle installe ce genre du duo dans la théâtralité. Le roman-nouvelle de Tolstoï reprend l’œuvre de Beethoven. Les deux protagonistes « fautent » au gré du déploiement de la musique et au grand désespoir du tiers. C’est en effet à la rage et enfin au remords du mari après le meurtre dont il se rend coupable que s’achève le livre, et, dans ce suspens, il n’y a plus de musique ni à entendre et encore moins à jouer. La Sonate à Kreutzer est celle d’un amour, le sait-on assez ? Et cet amour est en quelque sorte illégitime, ne l’oublions pas, on veut dire à l’égard de ce qu’il prétend être. Et ne l’est-il pas en quelque façon toujours : déséquilibré, trompé, précipité, tardif, par défaut, usé, excessif, malheureux, heureux mais illusoire, non partagé, chacun attendant de l’autre toujours autre chose que ce qu’il donne en réalité d’amour ?
Dans la sonate pour piano et violon, dans le cadre général de ce genre, de ce théâtre, l’un des deux instruments, c’est selon, se tient dans la fidélité à l’égard de la musique qu’il joue, alors que l’autre, son époux ou son épouse, lui répond. Par exemple, le piano, s’estimant maître de maison, agit à sa guise, n’oublie pas qu’il possède certes une famille, mais va sans cesse voir ailleurs… Mais peut-être, séparément, violon et piano connaissent-ils l’amour avec un autre instrument … Certainement même.

L’amour possède des degrés, des plans, entre eux conciliables, bien que la société et les habitudes culturelles ne les acceptent toujours pas. On n’aime pas de la même manière l’épouse ou l’époux, et l’amant ou l’amante. Et on peut les aimer tous deux, profondément même. Mais tout cela est objectivement irréconciliable. L’amour, en vient-on à penser, est ainsi fait qu’il ne peut avoir lieu que brisé. Il ressemble à la vérité qui, de son côté, ne se livre pas toute, parce qu’il n’y a pas de tout de cette sorte, sauf dans la pathologie. Et, sous cet aspect, ce serait même la croyance en l’exclusivité, à la fidélité au sens courant mais restreint (alors qu’elle peut très bien être pratiquée de manière non exclusive) qui serait pathologique. Très vite, trop vite, on ne confondra pas le croisement éventuel de deux amours, de deux voies, comme les existences et les livres en font état avec une insistance et une ampleur qui devraient tout de même nous interroger, culturellement cela va de soi, mais également anthropologiquement. L’amour est certes toujours singulier, comme l’est une voix, le ton d’une conversation entre deux êtres, mais il connaît aussi des voix, des tonalités différentes qui ouvrent la possibilité et par conséquent la réalité du  parallélisme et même de la conjonction des plans. Ainsi, la passion porte un amour, mais une existence paisible faite de tendresse et d’attention l’est tout autant. Les deux n’ont rien de commun, ne se supportent pas entre elles, se contredisent et cherchent à s’anéantir réciproquement alors qu’elles pourraient coexister.
Les contraintes de tous ordres étant ce qu’elles sont, ce qui est ressenti dans la suave douleur de la musique au sein des salons bourgeois ressemble à la sublimation la plus immédiate et la plus courante, celle d’une autre existence qu’il est impossible de mener, parce qu’il faudrait pour cela tourner le dos à une autre forme de vie à laquelle on tient également, voire, après un temps de réflexion, tout autant (laissons donc de côté l’abominable : la détestation, la haine, le désamour déjà installés, puisque le conflit entre deux voies d’existence n’entre pas en jeu ici). La jouissance de la musique est imaginaire. Cet imaginaire fait toute la réalité, bien qu’il ne corresponde à aucun réel.

D’où, entre autres, le meurtre de l’épouse par le mari dans Tolstoï, laissant le violoniste seul et désemparé. Pas même, puisque purement et simplement il disparaît ! Dans les sonates pour violon et piano très spécifiquement, à telle enseigne que la transcription de la sonate de Franck pour violoncelle fait contresens (les autres formes de duo engageant en effet d’autres voies sur lesquelles on espère revenir un jour, et, ajoutera-t-on, en général tous les genres de la musique dite de « chambre » forment des cadres de l’existence et doivent pour cette raison même, pour l’intelligibilité et de la musique et de l’existence, être considérés comme tels), se joue toujours une ligne d’existence, un événement d’amour, qui parfois culmine dans un autre genre, se verse dans un autre cadre comme dans le 1er Quatuor de Janáček, intitulé « Sonate à Kreutzer ».
Si bien que certains compositeurs ont confié au genre, jusque dans la rareté de l’exercice, ce qu’ils n'ont jamais déposé dans d’autres partitions (Richard Strauss, Edward Grieg, Ernest Chausson peut-être un peu moins, Bela Bartók, et bien sûr César Franck). Des tempéraments se révèlent. L’éternel amoureux : Beethoven ; l’amant délicieux mais trop délaissé : Mozart, Haydn curieusement absent ou presque dans le genre, lui le grand solitaire, Schumann l’amoureux, et Brahms le passionné, le malheureux et toujours nostalgique d’une autre, etc. Du côté des interprètes, la situation est sans aucune réserve plus tranchée encore. Exemplairement, à part quelques occasions, et ça ne fut jamais qu’occasionnel, jamais structurel, on ajoutera : investi, on n’imagine pas Glenn Gould dans la formation piano-violon, lui le grand solitaire, en tout cas le musicien dont on se demande bien, car cette dimension-là, dévoilée, donnerait des clefs fondamentales, quelle fut sa vie ou sa non vie sexuelle – cette dernière est-elle concevable, comment, de quelle manière et avec quels effets ?
Ce qui amène à ceci que la sonate pour violon et piano est sans doute la formation plus investie charnellement (celle avec violoncelle par exemple possède une dimension plus narrative, elle est comme au passé, alors que le violon s’emporte, là, au présent). À cet égard, on ne se retiendra plus de penser que l’intelligence de cette réalité agit comme une condition de l’interprétation des pièces du répertoire.

 

© André Hirt

The talented Katski Brothers, Works for violin and piano, Stawomira Wilga et Isabela Wilga, Dux, 2021 ;

Noskowski/ Franck, Sonatas for violin and piano, Adam Wagner, violin, Dariusz Noras, piano, Dux, 2022


La sonate pour violon et piano de Zymunt Noskowski

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(Radio et podcasts) Les cinq prochaines émissions de Métaclassique

(Radio et podcasts) Les cinq prochaines émissions de Métaclassique | Muzibao | Scoop.it

programme de parution des cinq prochains numéros de Métaclassique.

 

mercredi 25 décembre 2019 - Métaclassique #47 – Plaire

Est-ce que la musique a vraiment le même effet sur tous les cerveaux ? Est-ce que le plaisir du connaisseur est le même que le plaisir d'un auditeur moins avisé ? Est-ce que Mozart fait vraiment plus d'effets que les autres compositeurs ? Auteur de l'essai Le plaisir de la musique (éditions Odile Jacob, 2019), Bernard Lechevalier explique comment il fait le pont entre la psychologie de la musique et les neurosciences. 


mercredi 1er janvier 2020 -
 Métaclassique #48 – Durer

Au fil de l'écoute, la durée ressentie peut déborder d'un temps fléché. La réflexion sur la durée musicale circule entre trois témoignages : le compositeur et chercheur Frank Pecquet qui a étudié avec Morton Feldman, le pianiste Nicolas Horvath sur son vécu des performances à partir des Vexations d'Erik Satie et la performeuse Natasha Guiller qui fait durer des conversations téléphoniques très très longtemps. 


mercredi 8 janvier 2020 -
 Métaclassique #49 – Trahir

La mise en scène d'opéra passe couramment pour un exercice de trahison. Entretien avec le musicologue Jean-Jacques Nattiez à l'occasion de la sortie de son ouvrage Fidélité et infidélité aux éditions Vrin. 


mercredi 15 janvier 2020 -
 Métaclassique #50 – Catégoriser

Alors que la musicologie est souvent focalisée sur les notes, les musiques sans note ont imposé d'autres catégories d'analyse qui peuvent valoir également pour les musiques avec note. Débat sur les catégories d'écoute avec François Delalande, auteur du livre La musique au-delà des notes (Presses Universitaires de Rennes, 2019) et Manon Decroix qui prépare une thèse à l'Université de Nice sur l'usage des UST (unités sémiotiques temporelles) dans l'analyse des poèmes symphoniques.


mercredi 22 janvier 2020 - 
Métaclassique #51 – Vibrer

Le son est une vibration. La musique ne peut pas ne pas vibrer. Mais quand il s'agit de faire vibrer sa guitare, son violon, son basson ou sa voix, il s'en faut de peu pour basculer dans le mauvais goût. Une histoire du vibrato avec le guitariste Benoît Boivin et le bassoniste Pascal Gallois.

 

Ces émissions sont mises en ligne chaque mercredi matin, à 8h00, sur http://metaclassique.com/, diffusées sur 64 radios associatives et disponibles sur les plateformes de podcast (Spotify, Deezer, Ausha, Apple Podcasts, Google Podcasts, Majelan, Tootak...).

 

A l’occasion de son premier anniversaire en janvier prochain, Métaclassique entame un partenariat avec la Bpi au Centre Pompidou, où l’émission sera enregistrée en public une fois tous les deux mois, avec un plateau, le mercredi 15 janvier de 10h à 11h, une rencontre avec l’historienne Jacqueline Carroy, le philosophe Santiago Espinosa et la musicologue Elisabeth Brisson, sur le thème « Rêver » en musique.

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(Emissions) Les cinq prochaines numéros de Metaclassique

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programme de parution des cinq prochains numéros de Métaclassique.

mercredi 27 novembre 2019 - Métaclassique #43 – Alléger

Alors que l’humour n’est pas la caractéristique la plus identifiée de Claude Debussy, en plus de textes, critiques et lettres couramment ironiques, le compositeur n’a jamais cessé d’alléger ses partitions de jeux de références, d’une sorte de second degré musical. Entretien à l’Université de Clermont-Ferrand avec Benjamin Lassauzet, auteur de l’essai L’humour de Claude Debussy (éditions Hermann). Avec la participation d'Omer Corlaix.

mercredi 4 décembre 2019 - Métaclassique #44 – Découvrir

On peut découvrir un jeune talent, redécouvrir un compositeur oublié, mais encore ? Sur quels critères les prescripteurs veulent nous faire faire des « découvertes » ? Double entretien avec Sophie Maisonneuve (maîtresse de conférence en sociologie à l’Université de Paris) et Loïc Riom (doctorant en sociologie à l’Ecole des Mines de Paris). Avec la participation d'Omer Corlaix. mercredi 11 décembre 2019 - Métaclassique #45 – Continuer  

Pour un ensemble baroque du xxiè siècle ne peut pas jouer comme un ensemble baroque du xxè siècle ? En revenant sur ses 25 ans d’existence, nous parlons avec l’ensemble Amarillis de ses différences avec la génération de musiciens baroques qui l’a précédé et de ses évolutions propres. Avec la fondatrice de l’ensemble Amarillis, Héloïse Gaillard et la chanteuse Stéphanie d’Oustrac.

mercredi 18 décembre 2019 - Métaclassique #46 – Réécrire

Où finit le post-modernisme, où commence le néo-classicisme ? Pourquoi et comment les compositeurs qui jouent à écrire entre les lignes des compositeurs du passé ne sont pas tous aussi passéistes les uns que les autres ? Entretien avec le doctorant Camille Lienhard, doctorant à l’Université de Strasbourg.

mercredi 25 décembre 2019 - Métaclassique #47 – Plaire

Est-ce que la musique a vraiment le même effet sur tous les cerveaux ? Est-ce que le plaisir du connaisseur est le même que le plaisir d’un auditeur moins avisé ? Auteur de l’essai Le plaisir de la musique (éditions Odile Jacob), Bernard Lechevalier explique comment il fait le pont entre la psychologie de la musique et les neurosciences.

Ces émissions sont mises en ligne chaque mercredi matin, à 8h00, sur http://metaclassique.com/, diffusées sur 62 radios associatives et disponibles sur les plateformes de podcast (Spotify, Deezer, Ausha, Apple Podcasts, Google Podcasts, Majelan, Tootak...).

A l’occasion de son premier anniversaire en janvier prochain, Métaclassique entame une collaboration avec la Bpi au Centre Pompidou, où l’émission sera enregistrée en public une fois tous les deux mois, avec un plateau, le mercredi 15 janvier de 10h à 11h, une rencontre avec l’historienne Jacqueline Carroy, le philosophe Santiago Espinosa et la musicologue Elisabeth Brisson, sur le thème « Rêver » en musique.

 
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(agenda) samedi 19 octobre, Le Senghor, Bruxelles. Schumann - Yeznikian - Mekhitarian

(agenda)  samedi 19 octobre, Le Senghor, Bruxelles. Schumann - Yeznikian - Mekhitarian | Muzibao | Scoop.it

(agenda)  samedi 19 octobre, Le Senghor, Bruxelles. Schumann - Yeznikian - Mekhitarian

366 chaussée de Wavre - 1040 Bruxelles., 17h,   02/230.31.40.

Franck Yeznikian a composé un cycle de pièces acousmatique autour des dernières traces de Robert Schumann.

Avec So lange es Tage ist, il a composé un programme avec la pianiste Laurence Mekhitairan où un dialogue

s'instaure entre sa musique et celle au piano solo du Tondichter tel un ruban de près de 90 minutes.

Laurence Mekhitarian : piano, Franck Yeznikian : projection sonore.

 

https://www.senghor.be/so-lange-es-tage-ist/

 
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(Agenda) vendredi 4 octobre, Paris, "Terre des hommes", Sarah Lavaud-Petroff

(Agenda) vendredi 4 octobre, Paris, "Terre des hommes", Sarah Lavaud-Petroff | Muzibao | Scoop.it

Terre des hommes
Spectacle musical d'après Terre des hommes d'Antoine de Saint-Exupéry © Editions Gallimard

Musique : Ravel, Debussy, Janacek, Hersant

Sarah Lavaud-Petroff, piano et récit
Fane Desrues, mise en scène


« Il faut bien tenter de se rejoindre. » (A. de Saint-Exupéry, Terre des hommes, 1939)

De cette méditation intemporelle de l’écrivain-pilote sur le « sens de l’homme », Sarah Lavaud-Petroff (pianiste concertiste) et Fane Desrues (metteure en scène) offrent la possibilité d’une écoute renouvelée, en élaborant un récit fait de mots et de sons qui s'engendrent, se prolongent et se colorent réciproquement. Articulant des œuvres du répertoire pianistique (Ravel, Debussy, Janáček, Hersant) avec des extraits choisis de Terre des hommes, et déployée dans un jeu scénique autour du piano, la trame ainsi créée donne à sentir comment le pilote, projeté par les nécessités de son métier au cœur d’étendues hostiles et désertes, prend conscience - dans cet isolement même - de la force de ses liens avec la communauté humaine, et du caractère essentiel de ceux-ci dans la construction de son identité et de son rapport au monde.

Une invitation à relire urgemment une pensée d’une actualité toujours brûlante, portée par un texte d’une puissance poétique exceptionnelle, qui nourrit notre regard sur le monde contemporain et éveille en chacun de nous d’intenses interrogations sur les conditions de son propre accomplissement.

 

Extrait vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=KaeJkEDGv7M.

 

Vendredi 4 octobre 2019 - 20h

Les Nocturnes de Laude, Paris 14e (résidence privée, métro Alésia)

Tarif : 20 euros (réduit : 10 euros)

 

Réservation nécessaire : lesnocturnesdelaude@gmail.com

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(Agenda) 14 septembre, Paris, hommage à Marie-Claire Bancquart par Alain Bancquart - concert lecture

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LA DIVE NOTE  Samedi 14 septembre 2019

Hommage  à MARIE-CLAIRE par ALAIN BANCQUART

LECTURE CONCERT

MARIE-CLAIRE  BANCQUART

Lectures extraites de

Toute minute est première

Anthologie personnelle réalisée par Claude Ber aux éditions du Castor Astral

par Frédérique Wolf Michaux

ALAIN BANCQUART

Le Livre du doute 

Dialogue de l’oubli, flûte et violoncelle C.M

Chaque matin bouge la mort, alto seul C.M

Monologue du double, violon et alto C.M

Vertical du secret, trio à cordes C.M

Mémoire de l’improbable, quatuor à cordes

In fine, harpe et quatuor à cordes C.M

    Jean-Luc Menet, flûte, Fabrice Pierre, harpe,

Sona Khochafian et Leo Marillier, violons, Claire Merlet, alto,

Laurent Camatte, alto, Pierre Strauch,violoncelle

Direction : Joel Soichez.

REID HALL 4 rue de CHEVREUSE – 75006 – PARIS

Vente des billets le jour même à 19h chez 

www.alain.bancquart.com                                                                                                                       Tschann Jeunesse 125, bd du Montparnasse, Paris 6°

 

 

 

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(Disparition) L'organiste Louis Thiry

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Communiqué des Orgues nouvelles :

Louis Thiry vient de nous quitter. Un fait que l’on peine à réaliser tant la proximité et la présence de ce musicien exceptionnel restent à tout moment ancrées en nous, même au cœur de l’absence.

Louis – impossible de l’appeler autrement que par son prénom tant le contact était immédiat et chaleureux – était véritablement ce « héro de la musique » dont parla Messiaen, et la récente réédition des sublimes enregistrements par la Dolce Volta sont là pour le prouver si besoin. Un musicien qui, par ses interprétations (de musique ancienne comme récente) et son enseignement à la fois exigeant et bienveillant, a marqué à vie ceux qui croisèrent sa route.

Mais Louis était bien plus que cela. Toujours bienveillant, attentif, à l’écoute de tous, soucieux de la parole juste, celle qui fait du bien et réconforte, enthousiaste et résolument ouvert, il irradiait une lumière qui enveloppait son entourage.

Comme il était bon de passer un moment chez lui, à ses côtés et aux côtés de Bernadette, son épouse. Nous en ressortions immanquablement ressourcés et en quelque sorte « grandis », avec un bonheur de vivre qu’il avait su nous faire partager.

Malgré une santé vacillante qui, vers la fin, handicapait beaucoup sa vie quotidienne, Louis a gardé jusqu’au bout cette curiosité presque étonnée d’enfant qui découvre le monde avec ravissement. Ayant renoncé aux prestations publiques, même si la musique ne l’a jamais quitté et lui procurait de beaux moments au sein de séances familiales et amicales, il s’adonnait depuis maintenant plusieurs années à une autre passion : l’écriture. « Ma forêt musicale » qu’il avait offert à notre revue en est un exemple fascinant.

Profondément et sincèrement croyant, Louis restait humble et n’aurait pas aimé d’hagiographie éclatante.

Alors, contentons-nous de lui dire, pour tout ce qu’il a fait, pour tout ce qu’il a su être, pour tout ce qu’il a donné, un Merci immense et reconnaissant.

L’équipe d’Orgues Nouvelles

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(Agenda) 2 juin, Paris, ensemble Aedes, concert "Panages, Glandées et Paissons"

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Eglise Notre-Dame du Val-de-Grâce – dimanche 02 juin 2019 à 18h00

Thème du concert :
Panages, Glandées et Paissons

Distribution :
Ensemble Aedes
Direction musicale et piano : Mathieu Romano

L’Ensemble Aedes (dir. Mathieu Romano) présente un nouveau programme de concert intitulé “Panages, Glandées et Paissons” construit à l’occasion du 350ème anniversaire de l’Ordonnance royale sur les Eaux et forêts, promulgué par Louis XIV et essentiellement rédigé par Colbert.

Programme :
Murray : Miniwanka, the moments of water (chœur a cappella)
Debussy : Salut, printemps (chœur de femmes et piano)
Saint-Saëns : Les fleurs et les arbres / Calme des nuits (chœur a cappella)
Barber : Sure on this shining night (voix et piano)
Lauridsen : Sure on this shining (chœur et piano)
Brahms : Waldesnacht (chœur a cappella)
Hersant : Poèmes chinois (III, IV, V, VIII) (chœur et piano)
Dvorak : In der natur n°1 (chœur a cappella)
Ravel : Trois chansons : n°3 (chœur a cappella) & Ondine (1er mvt de Gaspard de la nuit)
Ensemble Aedes
Dir. Mathieu Romano

 

Ce concert s’inscrit dans le cadre de la programmation musicale du Val-de-Grâce.

 

Informations :
Tarifs : entrée libre dans la limite des places disponibles. Tél. : 01 53 80 38 03. Adresse : 1 place Alphonse Laveran, 75005 Paris.
Site Internet d’Aedes ici

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(Agenda) 27 juin, Paris, concert de l'ensemble Voces Suaves

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Voces Suaves – Festival de Paris – Sainte-Chapelle – jeudi 27 juin 2019 à 20h30 

  • Stabat Mater Dolorosa •

Voces Suaves

Orgue et direction, Jörg-Andreas Bötticher 

 

C’est au cœur de l’île de la Cité, à la Sainte-Chapelle que Voces Suaves, ensemble baroque vocal originaire de Bâle fondé en 2012 par Tobias Wicky, interprétera des motets italiens du XVIIe et XVIIIe chantés au moment du Carême.

Le Stabat Mater de Domenico Scarlatti est une œuvre unique et magistrale pour 10 chanteurs solistes et une basse continue. Elle est présentée avec certains des plus beaux morceaux italiens de musique pour Lent (Carême) : une version ornementée du fameux Miserere d’Allegri, ainsi que des morceaux du père dominicain Alessandro et d’Antonio Lotti. 

Ce programme est dirigé par l’organiste Jörg-Andreas Bötticher.

 

PROGRAMME 

Toccata per Organo : (Improvisation) 

Gregorio Allegri (1582–1652) : Miserere / SSATB+bc. Notiert von Thibault “Von einem päpstlichen Sänger, mit allen Verzierungen und Andeutungen des Vortrags aufgesetzt, wie es jetzt in der Sixtinischen Capelle gesungen wird (v. j. seit 1824), - auch bey dem Anhören revidirt“ / Ms München, Deutsche Staatsbibliothek (ca. 1824)

Alessandro Scarlatti (1660–1725) : Salve Regina à 4 / SATB, bc (1703) / Cambridge, Fitzwilliam Museum, Mu. Ms 225

Antonio Lotti (1667–1740) : Crucifixus à 8+bc in c 3’30 / Entstanden 1717-1719, Dresden, aus: Credo à 4 / Dresden, SLUB, Mus.2159-D-5 

Bernardo Storace (1637–1707) : Passacaglia / Aus: Selva di varie compositioni d’intavolatura per cimbalo ed organo (Venezia, 1664) 

Alessandro Scarlatti : Plange quasi virgo / SATB, bc in c / Responsorio per il Sabbato Sancto, Ms. 443 dell’Accademia Filarmonica di Bologna 

Domenico Scarlatti (1685–1757) : Stabat mater / SSSSAATTBB, bc / Münster, Bischöfliche Santini-Bibliothek,Sant HS 3961

 

DISTRIBUTION 

 

Soprani : Lia Andres, Christina Boner, Perrine Devillers, Jenny Högström,

Alti : Lisa Lüthi, Jan Thomer

Ténors : Florian Cramer, Jakob Pilgram

Basses : Davide Benetti, Tobias Wicky

Gambe : Soma Salat-Zakariás

Théorbe : Ori Harmelin

Orgue et direction : Jörg-Andreas Bötticher

 

RENSEIGNEMENTS

Tarifs : 25€. Points de retraits : FNAC. Toutes les informations & réservations ici

Site Internet de Voces Suaves ici

 

BIOGRAPHIE

Voces Suaves est un Ensemble vocal originaire de Bâle dont le répertoire de musique baroque et de la Renaissance est interprété par des voix en solistes. Prenant en compte les connaissances sur la pratique d'exécution à l'époque, l'Ensemble présente une rhétorique convaincante accompagnant un son plein et chaud, ce qui lui permet de faire ressentir la musique immédiatement au travers des émotions. Du travail de collaboration intensif est née une grande assurance dans la création musicale. 

L'Ensemble fondé par Tobias Wicky en 2012 s'organise autour d'un noyau de huit chanteuses et chanteurs professionnels, dont la plupart ont un lien avec la Schola Cantorum de Bâle. Après quelques années marquées par l'influence de Francesco Saverio Pedrini, l'Ensemble travaille depuis 2016 sans directeur musical. La force créatrice de chacun est donc indispensable pour atteindre un aboutissement artistique. La distribution vocale varie en fonction du programme et, si nécessaire, il est fait appel à des instrumentistes.

Le répertoire comprend un large choix de madrigaux italiens, des œuvres du début du baroque allemand, et des oratorios et des messes italiennes qui réclament un plus grand nombre d'exécutants. Dans l’élaboration du programme, en plus d’œuvres de maîtres connus tels que Monteverdi ou Schütz, on a veillé à également faire entendre des œuvres de compositeurs tombés dans l'oubli, tels que Lodovico Agostini ou Giovanni Croce.

Voces Suaves parcourt toute l'Europe pour donner des concerts marquants, dans le cadre de festivals renommés tels que, par exemple, le Festival d'Ambronay, le Festival de Saintes, les concerts organisés par les Amis de la Musique Ancienne de Bâle, le Monteverdi Festival de Crémone, le MA Festival de Bruges, le Festival Potsdam Sanssouci ou les Semaines de la Musique Ancienne d'Innsbruck. Entre 2014 et 2016, l’Ensemble a participé au programme de développement européen «eeemerging, Emerging European Ensembles Project».

Voces Suaves collabore régulièrement avec des Ensembles amis afin de pouvoir exécuter aussi des œuvres demandant plus d'exécutants, telles que les Vêpres de la Vierge Marie de Monteverdi ou le Chant du Cygne de Schütz. Par ailleurs, Voces Suaves entretient des liens de collaboration depuis de nombreuses années avec Jörg-Andreas Bötticher et Johannes Strobl.

Depuis 2015, plusieurs enregistrements de Voces Suaves ont paru sous les labels claves records, Ambronay éditions, Arcana (Outhere Music) et Harmonia Mundi Allemagne, et ont reçu des récompenses internationales (entre autres, le Diapason découverte).

 

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(Agenda) 24 mai, Lyon et 5 juin, Paris, "Hypotyposis" par l'ensemble La Française

(Agenda) 24 mai, Lyon et 5 juin, Paris, "Hypotyposis" par l'ensemble La Française | Muzibao | Scoop.it

L’ensemble La Française présente Hypotyposis, spectacle atypique et poétique pour 4 musiciens et projections de photographies d’architecture, vendredi 24 mai à Lyon et mercredi 5 juin à Paris. Parmi les compositeurs au programme, Rameau, Clérambault, Boismortier, Telemann...

 

L’ensemble la Française 

 Aude Lestienne, traverso et direction 

 Shiho Ono, violon

 Jean-Baptiste Valfre, violoncelle

 Kasuza Gunji, clavecin

 

Du 17ème siècle, nous abandonnerons les grands partis majestueux, hérités de la volonté de Louis XIV a affirmer la position de la France en Europe au travers de la musique et des arts avec leurs caractères monumentales et majestueux, mais conserverons l’art du contraste, du mouvement et de l’illusion chers au baroque. Se dessine alors, sous la régence de Philippe d’Orléans et le règne de Louis XV, un monde éloquent, raffiné, élégant peuplé de fantaisie, d’ornements gracieux et exubérants.

 A travers les œuvres des architectes, paysagistes, décorateurs et compositeurs Barrière, Boffrand, de Cotte, Héré, Leclair, Le Nôtre, Mondonville, Rameau…, l’ensemble la Française fait ressurgir cet univers sonore et visuel d’une grande sensibilité où l’intimité, le confort et le raffinement cohabitent avec harmonie… nommé art rocaille.

“ Hypotyposis : du grec ὑποτύπωσις, figure de rhétorique qui consiste à rendre vivants les personnages ou les faits dont on parle. ”

Programme détaillé ci-dessous.

               
Programme : 

 

J.-P Rameau (1683-1764) : Pièce pour clavecin solo

L.-N Clérambault (1676-1749) : Sonate l’Anonima / projection : Hôtel Peyrenc de Moras à Paris par Jean Aubert (1680-1741)

J.-B Barrière (1707-1747) : Sonate pour violoncelle Livre I / projection : Hôtel de Soubise à Paris par Germain Boffrand (1667-1754)

J.-B de Boismortier (1689-1755) : Première sérénade op. 39 / projection : Place Royal de Nancy

J.-N-P Royer (1703-1755) : Pièce pour clavecin / projection : Place Royal de Nancy

G.-P Telemann (1681-1767) : Quatuor parisien n°8 / projection : Jardins de Sceaux et de Versailles par André le Notre (1613-1700)

J.-J  Cassanéa de Mondonville (1711-1772) : Sonate pour violon op. 4 / projection : Cathédrale de St-Louis de Versailles à Paris par Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (1711-1778)

J.-B de Boismortier (1689-1755) : Sonate pour flûte et clavecin obligé op. 91 / projection : Eglise St-Jacques de Lunéville par Emmanuel Here de Corny (1705-1763)

  1. Francœur (1698-1787) : Sonate pour violon Livre II / projection : Eglise St-Jacques de Lunéville par Emmanuel Here de Corny (1705-1763)

J.M. Leclair (1697-1764) : Deuxième récréation / projection : Galerie dorée de l’Hôtel de Toulouse à Paris par Robert de Cotte (1656-1735)

 

Conception artistique : Aude Lestienne, 

Photographie et conception technique : Nicolas Dehove 

Mise en scène : Florence Beillacou 

Lumière : Amandine Jeanroy

 

Vendredi 24 mai à 20h30 – Chapelle de l’Hôpital de Fourvière – Lyon 5

10 rue Roger Radisson, 69005 Lyon. Tarifs : 15€ (prévente) &18€. Gratuit pour les - de 12 ans.

 

Mercredi 5 juin à 20h00 – Eglise des Blancs Manteaux – Paris 4

12 rue des Blancs Manteaux 75004 Paris. Tarif unique : 10€.

 

Réservations : info@ensemblelafrancaise.com 

 

 

L’ensemble la Française 

“Docere, Delectare, Movere”

enseigner, charmer, émouvoir

 

Sous la très belle devise de Cicéron, reprise au 17ème siècle par Descartes, l’ensemble la Française cherche à transmettre sa connaissance et son goût pour l'art baroque ; art parfois oublié des 17ème et 18ème siècles, art capable de nous transporter encore aujourd’hui. 

Ce jeune ensemble, fondé en 2013 par la flûtiste et architecte Aude Lestienne, tire son nom des Nations de François Couperin. Il réunit 4 musiciens issus du CNSMD de Lyon et du Conservatoire Royal de Bruxelles : Aude Lestienne  (traverso), Shiho Ono (violon), Jean Baptiste Valfré (violoncelle), Kazuya Gunji (clavecin). 

L’ensemble a surtout développé son travail autour de la musique de chambre française de la première moitié du XVIIIème siècle (vocale ou instrumentale) et notamment de compositeurs tombés dans l’oubli. Notre Française – avant tout musicienne – se passionne également pour les autres arts baroques. La littérature, la danse, l'architecture ou encore l'art culinaire sont autant de sources d’inspiration pour la création de spectacles pluridisciplinaires permettant au public d’appréhender de manière plus large « l’univers baroque ». 

L’ensemble se produit régulièrement dans des festivals prestigieux : Sinfonia en Périgord (Jeunes Talents 2014), Festival Jean de la Fontaine (2015, 2016, 2017, 2018), Festival Valloire Baroque (2015), Petites Nuits de Sceaux (2017), Concerts d’Anacréon (2018), Festival Midi-Minimes (2018), Musiques de Beauregard (2015, 2017), Fêtes Musicales de Savoie (2016), Heures musicales de St Victor s/r Loire (2013), Festival Orgue en Jeu (2015).  

Le premier disque de l’ensemble est sorti en avril 2018 sur le label Polymnie et a été chroniqué sur France Musique, BFC Radio, Radio Coteaux, Radio Dialogue, Radio Semnoz… La Française a été sélectionnée pour les résidences jeunes ensembles 2018 de la Cité de la Voix à Vézelay et fait partie des 10 ensembles de demain distingués par le magazine Classica dans son dossier d’octobre 2018 consacré au renouveau du baroque français.  

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(Agenda) 3 juin, Paris, Anne Queffelec et Gaspard Dehaene

(Agenda) 3 juin, Paris, Anne Queffelec et Gaspard Dehaene | Muzibao | Scoop.it

Amis des écrivains, des peintres et notamment de Picasso, le pianiste catalan Ricardo Viñes fut aussi, dès son arrivée à Paris en 1888, le compagnon d’études de Ravel, qui lui dédia son Menuet Antique, et dont il créa la quasi-totalité des œuvres pour piano, jusqu’à la guerre. Il en fut ainsi également pour Debussy, la pièce Poissons d’or lui étant dédiée. Satie sollicitant, quant à lui, l’autorisation de dédier à Viñes ses Airs à faire fuir. Frêle hommage rendu à un artiste qui a tant fait pour la musique moderne, Viñes composant à son tour Thrénodie, à sa mémoire. 

 

A l’occasion de ce récital à 2 et 4 mains, Anne Queffelec et Gaspard Dehaene nous révèlent toute la complexité de ces affinité électives, nous restituant avec grâce le climat poétique de ces œuvres auxquelles mère et fils insufflent, de par leur complicité, une touche d’espièglerie. 

Cycle L’Heure espagnole – lundi 03 juin 2019 – 20h00 – Grand salon aux Invalides 

 Anne Queffélec

Gaspard Dehaene

Récital de piano à 2 et 4 mains 

 

 

Programme : 

Hommage à Ricardo Viñes

RavelMenuet Antique
Mompou, Extr. des Canciones y Danzas, n°4 : El Mariner et Ball del Ciri Viñes, Menuet spectral, en hommage posthume à Maurice Ravel
Debussy, Extr. des Estampes : n°2. La Soirée dans Grenade
Falla, Hommage à Debussy
Debussy, Extr. des Préludes, Livre II : n°3. La Puerta del Vino - Extr. des Images, Livre II : n°3. Poissons d'or
Satie, Extr. des Pièces froides, I. Airs à faire fuir, dédiés à Ricardo Viñes
ViñesThrénodie ou Funérailles antiques, à la mémoire d'Erik Satie
RavelMiroirs Fauré, Extr. de Dolly : Le Pas Espagnol, pour piano à 4 mains
Poulenc, Sonate, pour piano à 4 mains

 

Tarifs : de 4,50 à 40€. Courriel : saisonmusicale@musee-armee.fr. Tél. : 01 44 42 54 66

Toutes les informations ici & les réservations ici

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(Agenda) 16 mai, Paris, Joaquín Achúcarro, piano

(Agenda) 16 mai, Paris, Joaquín Achúcarro, piano | Muzibao | Scoop.it

 

Cycle L’Heure espagnole – jeudi 16 mai 2019 – 20h00 – Cathédrale Saint-Louis des Invalides 

 

Distribution :

Joaquín Achúcarro, piano

 

Programme :

Mompou, Préludes, n°1, n°9 et n°7

Granados, Extr. des Goyescas (Volume 2) : El Amor y La Muerte et Serenata del espectro

Falla, Fantasia Baetica

Ravel, Gaspard de la nuit

 

Erigé au rang de légende du piano, Joaquín Achúcarro est devenu une véritable icone à laquelle se réfère notamment toute la jeune génération de pianistes espagnols. Il est vrai que Zubin Metha ou Simon Rattle soulignent la richesse inouïe de son toucher, proche de celui de Rubinstein. 

 

Après des Préludes de Mompou proches de l’univers de Scriabine et des extraits de Goyescas faisant référence à l’admiration portée par Granados à l’univers du peintre Goya, c'est toute la profondeur de l'âme andalouse que nous révèle le pianiste, au travers de cette Fantasia Baetica de Falla dénuée de tout artifice romantique et empreinte d'un flamenco stylisé, transférant les effets de la guitare au registre du piano. 

En conclusion à ce programme, Joaquin Achucarro nous restitue, en artiste peintre, l’atmosphère onirique, le climat sardonique et fantasmagorique de Gaspard de la nuit de Ravel.


Ce concert est donné sous le haut patronage et avec le soutien de l’Ambassade d’Espagne.

 

Tarifs : de 4,50 à 30€. Courriel : saisonmusicale@musee-armee.fr. Tél. : 01 44 42 54 66

Toutes les informations ici & les réservations ici

 
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(Agenda) 22 mars, Mulhouse, André Hirt

(Agenda) 22 mars, Mulhouse, André Hirt | Muzibao | Scoop.it

Pour plus d'informations suivre ce lien

https://www.placedeslibraires.fr/agenda-38425/soir-e-intime-philosophie-et-musique-avec-le-philosophe-andr-hirt-l-occasion-de-la-parution-de-la-condition-musicale-ditions-encre-marine/

 
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(Agenda) 8 au 19 mars 2019, Toulon, La Garde, Saint-Mandrier, La Valette, Festival "Présences féminines"

(Agenda) 8 au 19 mars 2019, Toulon, La Garde, Saint-Mandrier, La Valette, Festival "Présences féminines" | Muzibao | Scoop.it

Festival Présences féminines — Compositrices d’hier et d’aujourd’hui

 

Toulon, La Garde, Saint-Mandrier, La Valette

Du 8 au 19 mars 2019

http://www.presencesfeminines.com/festival/programme-2019/

En 2011 au moment de la création du festival Présences Féminines, se poser la question de sa pérennité était légitime tant il pouvait sembler risqué de se lancer dans une telle entreprise : faire connaître et aimer le répertoire des compositrices ! Pour beaucoup de personnes les deux facteurs « quantité » et « qualité » étaient en effet le plussouvent déniés aux femmes. Existe-t-il suffisammentd’œuvres ? Et en existe-t-il assez qui soient de bonne facture ? A ces questions huit éditions et quelques 103 compositrices déjà programmées ont répondu positivement. Pourtant, en observant ce qui est généralement proposé dans nos salles de concerts, on constate que des œuvres mineures de compositeurs sont toujours davantage jouées que de très belles œuvres de compositrices. Il reste donc du chemin à parcourir et c’est avec une détermination et un enthousiasme toujours intacts que nous entamons cette neuvième édition de festival et vous invitons à partir à nos côtés à la découverte d’une nouvelle centaine de compositrices ! Un chaleureux remerciement au passage pour saluer l’engagement des artistes qui, pour la plupart de celles et ceux qui se produiront, ont accepté de s’investir dans des programmes entièrement nouveaux.

Cinq compositrices seront présentes à divers moments pour parler de leurs œuvres, en donner quelques clefs d’écoute et dialoguer avec le public. Parmi elles Michèle Reverdy (1943), invitée en résidence durant toute la durée du festival et dont deux œuvres seront créées. Je suis heureuse de la synergie entre le festival, l’Opéra de Toulon et la scène nationale Le Liberté qui permettra la création de la première, Le Cosmicomiche, œuvre de théâtre musical chère au cœur de Michèle Reverdy mais jamais créée jusqu’à présent.

Co-commande du festival et de l’association ProQuartet (Centre européen de musique de chambre), la création par le Trio Sõra, de Fragments d’un discours, œuvre en hommage à Clara Schumann (1819–1896) célébrera le deux– centième anniversaire de la naissance de la compositrice. Elle viendra ainsi compléter la collection, initiée en 2017 par Présences Féminines, des hommages rendus par des compositrices d’aujourd’hui à des consœurs du passé.

Autre commande du festival, autre création mondiale et autre anniversaire, celui de Barbara Strozzi (1619–1677) née à Venise il y a quatre cents ans, à qui Caroline Marçot (1974) dédiera son œuvre O dolce riposo pour soprano, deux violes de gambe et harpe. L’œuvre sera créée en présence de la compositrice à la chapelle médiévale de La Garde.

Enfin c’est lors d’une journée exceptionnelle organisée en complicité avec le Musée national de la Marine, que vous pourrez rencontrer les compositrices Pierrette Mari (1929), Chrystel Marchand (1958) et Elise Bertrand (2000), ainsi que découvrir certaines de leurs œuvres. Tout au long de cette journée « Compositrices au long cours » de courtes visites thématiques du musée et des moments musicaux interprétés par de jeunes artistes vous seront proposés.

Durant ce temps de festival se côtoieront ainsi compositrices d’aujourd’hui et compositrices d’hier, certaines déjà connues de celles et ceux qui nous suivent, d’autres que nous n’avions encore jamais programmées, telles Muriel Herbert (1897–1984), Elizabeth Maconchy (1907–1994),Cheryl Frances-Hoad (1980), Judith Weir (1954), SofiaGoubaïdoulina (1931), Vittoria Aleotti (vers 1575 — après1620), Cesarina de Tingoli (active fin XVIe siècle), MaddalenaCasulana (vers 1540 — vers 1590), Caterina Assandra (vers 1590 — après 1618), Caterina Assandra (vers 1590 — après 1618), Caroline Boissier-Butini (1786–1836)…

C’est avec un immense plaisir que je vous invite à les découvrir, et à vous laisser séduire, toucher, intéresser, par l’univers si surprenant et riche de la création musicale des femmes.

 
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(Agenda) du 4 avril au 17 juin, Paris, L'heure espagnole

(Agenda) du 4 avril au 17 juin, Paris, L'heure espagnole | Muzibao | Scoop.it

A compter du 4 avril prochain s’ouvrira L’Heure espagnole, dernier cycle de la Saison musicale des Invalides 2018-2019.

 

Ce sont 11 concerts en écho à l’exposition Picasso et la guerre, organisés sous le haut patronage et avec le soutien de l’Ambassade d’Espagne en France. 

Au cœur de la sensibilité et de l’univers de Picasso, ce cycle vous convie au sein du cercle le plus intime des amis musiciens et poètes du peintre. Un jeu raffiné et subtil d’affinités électives et de correspondances entre les arts, imaginées par des compositeurs tels Satie, Stravinski, Falla, Granados, Albeniz ou Poulenc, se tisse, en connivence étroite avec des poètes comme Cocteau, Jacob, Éluard ou encore Apollinaire. Programmation détaillée ci-dessous. 

 

Merci par avance de bien vouloir vous faire l’écho de L’Heure espagnole où j’espère avoir le plaisir de vous y accueillir. Je me tiens à votre disposition pour tout complément d’information. 

 

Bien à vous.

Véronique Furlan 

 

 

L’Heure espagnole – du jeudi 04 avril au lundi 17 juin – Musée de l’Armée – Les Invalides

 

jeudi 4 avril 20h

Danse rituelle du feu

Orchestre symphonique de la Garde Républicaine, S. Billard – direction, L. F. Pérez – piano

 

jeudi 11 avril 20h

Nuits dans les jardins d'Espagne

Orchestre de la Musique de l’air, C. Kesmaecker – direction, M. Beroff – piano

 

vendredi 12 avril 12h15

Guitare espagnole

Carte blanche à Margot Fontana – guitare

 

lundi 15 avril 12h15

Masterclasse et cours public du Cuarteto Quiroga

Autour du programme musical du concert de 20h.

 

LUNDI 15 avril 20h

Art du Cuarteto Quiroga

Turina, Chostakovitch, Ginastera 

 

JEUDI 16 mai 20h

Feu sacré de Joaquim Achucarro

Mompou, Granados, Falla, Ravel

 

JEUDI 23 mai 20h

Lluis Claret, Maître du violoncelle espagnol 

Orchestre symphonique de la Garde Républicaine, F. Boulanger – direction, L. Claret – violoncelle

 

mardi 28 mai 20h

Requiem de Duruflé et Amour sorcier

Orchestre et Chœur des Universités de Paris, C. Dourthé – direction, G. Connesson – chef de chœur 

 

lundi 03 juin 20h

Anne Queffélec et Gaspard Dehaene

Récital à deux et quatre mains

 

JEUDI 13 juin 20h

Gloria et concerto d’orgue de Poulenc

Orchestre et Chœur de Paris Sciences et Lettres, J. Farjot – direction, V. Warnier – orgue

 

LUNDI 17 juin 20h

De l’Opéra au Salon

Duo Contraste – C. Dubois & T. Raës

 

 

⇒ Tarifs : de 4,50 à 40€. Courriel : saisonmusicale@musee-armee.fr. Tél. : 01 44 42 54 66 ⇐

Toutes les informations ici & les réservations ici

http://saisonmusicale.musee-armee.fr/cycles2018-2019.html

 

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(Agenda) 11 avril, Paris, "De Profundis", avec l'ensemble Les Surprises, dirigé par L.-N. Bestion de Camboulas

(Agenda) 11 avril, Paris, "De Profundis", avec l'ensemble Les Surprises, dirigé par L.-N. Bestion de Camboulas | Muzibao | Scoop.it

De Profundis, le chant des montées : jeudi 11 avril 2019 à 20h30 au Collège des Bernardins.

Par l’Ensemble Les Surprises, dir. L.-N. Bestion de Camboulas

 

Le Psaume De profundis dont les premiers mots sont connus de tous, “Du fond de l'abîme, je crie vers toi, Seigneur”, a inspiré de nombreux compositeurs à travers les âges.

 

Cette nouvelle création aura pour but de tisser un pont entre deux pays, La France et l’Allemagne, et entre deux époques, le XVIIIe et le XXe siècle, autour d’un même texte : le psaume 130 « De Profundis ». Ce psaume 130 a inspiré de nombreux compositeurs à travers les siècles, son potentiel tragique est immense.

 

Ce programme rassemblera la cantate de Johann-Sebastian Bach Aus tiefer not (De profundis allemand), le psaume 130 de Philippe Hersant (qu’il a écrit en miroir à la cantate de Bach), ainsi que le grand motet De Profundis d’Henry Desmarets et, pour clôturer, le motet Dies Irae de Jean- Baptiste Lully qui renvoi lui aussi à la détresse humaine à travers un texte tragique annonçant le jugement dernier.

 

Ce programme rassemble 12 chanteurs et 14 instrumentistes

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(Podcasts) Les cours de Philppe Manoury au Collège de France

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Réécouter les cours de Philippe Manoury au Collège de France.

le lien : https://is.gd/UBCpur

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(Agenda) 15 novembre, Maubeuge, Gualtiero Dazzi sur un texte de Christian Vogels

(Agenda) 15 novembre, Maubeuge, Gualtiero Dazzi sur un texte de Christian Vogels | Muzibao | Scoop.it

L’ensemble Hope 

Le Manège - Scène Nationale de Maubeuge et Art Zoyd Studios

convient à la création mondiale de

Survivance des illusions de Gualtiero Dazzi

Lectures anamorphosiques d’après  

Iconostases de Christian Vogels

(Editions Jacques Brémond)

 

 

Pour avoir un avant-goût de ce travail, le lien youtube,

en bas de page, permet de découvrir une esquisse de cette oeuvre

et de ceux qui y contribuent : cantatrice et musiciens.

 

 

Survivance des illusions

de Gualtiero Dazzi

 

Le 15 novembre à 19h à Maubeuge

Salle de concert du Conservatoire

2 Route de Mons, 59600 Maubeuge

Dans le cadre du Festival Via 2018

http://www.lemanege.com/evenement/survivance-des-illusions

 

Gualtiero Dazzi 

Survivance des illusions

Spectacle Multimédia en forme de Poème Anamorphosique

Pour voix de femme, Euphone soprano, Euphone basse, Multiphone,

9 bols chantants tibétains, 13 gongs thaï,

Dispositif électronique (sons fixes, temps réel et spatialisation),

Scénographie et images vidéo

 

Soprano : Alia Sellami

Frédéric Bousquet : Euphone soprano, 4 Bols chantants tibétains, Multiphone - Ensemble Hope

Marc-Antoine Million : Euphone basse, 13 Gongs thaï, 5 Bols chantants tibétains - Ensemble Hope

Textes : Elisabeth Kaess - Lectures anamorphosiques

d’après Iconostases de Christian Vogels (Editions Jacques Brémond)

Scénographie et images : 

Marie-Anne Bacquet

Lumières : Marc Laperrouze

Multidiffusion : David Mascunan

Dispositif électroacoustique RIM : 

Oudom Southammavong -  Art Zoyd Studios

 

https://www.youtube.com/watch?v=xNWATyW90KY

 

Le projet Survivance des illusions fait l’objet d’une commande d’Art Zoyd Studios et a reçu l’aide à l’écriture d’une œuvre musicale originale du Ministère de la Culture 
Production : ENSEMBLE HOPE dans le cadre du cycle « ANAMORPHOSE ».

Coproduction : Le Manège - Scène Nationale de Maubeuge;

Art Zoyd Studios - Centre de Création Musicale

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(Agenda) 20 octobre, Paris, un concert proposé par l'Association Femmes et Musique

(Agenda) 20 octobre, Paris, un concert proposé par l'Association Femmes et Musique | Muzibao | Scoop.it

Un concert proposé par l'assocation Femmes et musique

 

SAMEDI 20 OCTOBRE 2018

20H

Eglise Saint-Merri

74, rue de la Verrerie 75004 Paris


Mirage (création) de Seongmi Kim
I.Aboulker, G.Finzi, E.Lejet, F.Mulsant,

H.de Montgeroult, C.Debussy, E.Kuffler

Duo Solea (guitare et violoncelle)

Armelle Humbert (soprano)

Aurélie Courtot et Mailys Pascault (piano)

Eugénie Kuffler (flûte)

 

Entrée libre

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(Agenda) 10, 16 et 17 octobre et 20 novembre, Paris séminaire Poésie et musique,


SEMINAIRE
Poésie et musique aujourd’hui : de nouvelles voies pour la création contemporaine

Salle Igor-Stravinsky

  • Mercredi 10 octobre

Poésie et musique : penser et repenser les liens entre poésie et musique, de Schoenberg à aujourd’hui

10h-13h Laure Gauthier Panorama des rapports musiques textes de Schoenberg à nos jours
14h30-17h30 Philippe Langlois Voix et technologie :  poètes phonographistes, poésie sonore, radio et Hörspiel

Il s’agit d’offrir un aperçu historique des liens entre poésie et musique depuis Schoenberg jusqu’à aujourd’hui. Ce sera l’occasion de poser des questions sur le statut de la voix et du langage. Depuis la remise en question du lyrisme au début du XXe siècle, et l’émergence des avant-gardes historiques, du Hörspiel à la radio, on a vu l’émergence de la poésie sonore et qui culmine après 1970 et fait sa musique toute seule, scellant l’éloignement entre poète et compositeur. Depuis quelques années des compositeurs comme Sciarrino, Pesson ou encore Dumont renouent le dialogue avec les poètes vivants et ouvrent de nouvelles voies pour la création.  

  • Mardi 16 octobre, 14h30-17h30 et mercredi 17 octobre, 10h-13h

Avec Gérard Pesson, le 16 octobre après-midiJérôme Combier et Fernando Munizaga, le 17 octobre matin

Ces deux demi-journées proposent une rencontre avec trois compositeurs ayant privilégié le travail avec des auteurs contemporains. Ils exposeront quelques uns de leurs travaux en montrant combien ce dialogue renouvelé avec la poésie leur a permis de poser de nouvelles questions à la musique vocale. 

  • Mardi 20 novembre, 10h-13h

Invités Philippe Beck, Dominique Quélen et Laure Gauthier

Cette matinée propose une rencontre avec trois poètes contemporains ayant privilégié le travail avec des compositeurs. Ils exposeront quelques-uns de leurs travaux en montrant combien ce dialogue renouvelé avec la musique leur a permis de poser de nouvelles questions à la musique vocale.

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(Spectacle) ODRADECK , "Cantique des cantiques - Songes de Leonard Cohen"

(Spectacle) ODRADECK , "Cantique des cantiques - Songes de Leonard Cohen" | Muzibao | Scoop.it

Situé au carrefour de la poésie, de la musique et de la photographie, ce projet a pour ambition de revisiter le Cantique des cantiques au prisme des poèmes de Leonard Cohen, qui a su puiser dans cette source tout au long de son œuvre. 

 

À la lumière d’un long poème mis en musique, nous souhaitons inviter le spectateur à découvrir cette oeuvre monumentale. 

 

Tout comme nous prenons plaisir à parcourir les articles de Muzibao et de Poezibao quasi quotidiennement, nous espérons que ce projet vous plaira. 

 

Sandrine Saporta

 

 

ODRADECK , « Cantique des cantiques - Songes de Leonard Cohen"

Zéno Bianu : Texte, voix

Laurent Cohen : Musique, guitares 

Didier Ben Loulou : Visuel

Annie Lulu : Guitare, voix, percussion

Sandrine Saporta-Cohen : Synthés & Production

 

Lien vers notre premier morceau : 

https://www.youtube.com/watch?v=3bZNpgbshVo

 

Lien vers notre page Facebook : 

https://www.facebook.com/odradeckmusic/

 

Contact Programmation : 

Sandrine Saporta : + 33 (0)6 16 07 37 44

cantique.songes@gmail.com

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(Réécoute) Récital de Lucas Debargue en direct du Festival de la Roque d'Anthéron

(Réécoute) Récital de Lucas Debargue en direct du Festival de la Roque d'Anthéron | Muzibao | Scoop.it

Oeuvres de Chopin et Szymanowski

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(Agenda) 6 au 12 Août, Festival Bach en Combrailles

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20e édition du

Festival Bach-en-Combrailles

  

Pontaumur – Puy-de-Dôme – Auvergne

Du lundi 6 août au dimanche 12 août 2018

 

Président : Antoine Anquetil

Directeur artistique : Vincent Morel

 

Renseignements et réservations :

04 73 79 91 00 – reservations@bachencombrailles.com – www.bachencombrailles.com

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(Agenda) 1er juin, Paris, quatre créations d'Alain Bancquart

(Agenda) 1er juin, Paris, quatre créations d'Alain Bancquart | Muzibao | Scoop.it

Le premier juin

à 20 heures 30

 

 

Reid Hall, 4 rue de Chevreuse

75006 Paris

 

4 créations d’Alain Bancquart :

 

Sonate n°4 pour piano (2016)

Matthieu Accar

 

SONA(te) pour violon seul (2017)

Sona Khochafian

 

Mémoire de l’improbable

Quatuor à cordes (2018)

(poéme de Marie-Claire Bancquart)

Sona Khochafian et Leo Marllier, violons, Antonin Le Faure, alto,

Pierre Strauch, violoncelle.

 

Livre du corps, pour flûte et contorsionniste

Lise Pauton contorsionniste

Jean-Luc Menet flûte

 

 

www.alainbancquart.com

 

 

 

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(Agenda) 14 mai, Paris, Quatuor Mettis et Mūza Rubackyté,

(Agenda) 14 mai, Paris, Quatuor Mettis et Mūza Rubackyté, | Muzibao | Scoop.it

La Lituanie se transporte au Grand Salon des Invalides pour le quatrième rendez-vous musical du cycle Musiques et paroles d’Empereur, lundi 14 mai à 20h00, en réunissant le Quatuor Mettis et la pianiste Mūza Rubackyté. Au programme, des œuvres pour quatuor à cordes et piano de Ciurlionis (1875-1911) et Oginski (1765-1833), compositeurs lituaniens, ainsi que des pièces de Beethoven, Haydn et Liszt. Programmation détaillée ci-dessous. 

 

Dans le cadre de la 24e saison musicale du musée de l’Armée, exposition de printemps intitulé Napoléon stratège et de son cycle musical afférent : Musiques et paroles d’Empereur donné en 14 concerts du 05 avril au 18 juin 2018. 

Ce cycle évoque les rumeurs et fracas des batailles au fil des campagnes napoléoniennes et s’autorise à recueillir librement les différentes musiques composées à cette époque, depuis la violence des champs de bataille à l’intimité feutrée d’un salon, de la scène de l’Opéra au cadre institutionnel du Conservatoire, la musique est indéniablement le vecteur d’une stratégie napoléonienne. Et, de la stratégie militaire à la stratégie amoureuse de Bonaparte, il n’y a parfois qu’un pas qui ne manquera pas d’être exploré… La parole est donnée à l’Empereur et à ceux et celles qui s’en firent l’écho.

Merci par avance de bien vouloir vous faire l’écho de ces concerts et espère avoir le plaisir de vous y accueillir. 

 

 

                                                                                                                                                               Quatuor Mettis 

Cycle Musiques et paroles d’Empereur – Lundi 14 mai 2018 – 20h00 – Grand Salon aux Invalides

 

Distribution :

Mūza Rubackyté, piano 

Quatuor Mettis :
  

Programme :

Ciurlionis : Quatuor à cordes 
Beethoven : Concerto n°4, en sol majeur, op.58, pour piano et quintette à cordes Oginski, Polonaise (Adieu à la patrie), pour quatuor à cordes 
Haydn : Quatuor à cordes en ré majeur, L’Alouette, op.64 n°5 
Oginski : Polonaise, pour piano seul 
Liszt : Malédiction, pour piano et quintette à cordes

 

A propos : 

Il n'est plus. Et comme immobile, 
Après le soupir de la mort, 
Resta son corps inanimé, 
Privé désormais d'un tel souffle, 
Ainsi reste frappée, stupide, 
La terre à la nouvelle, 
Songeant muette à l'heure ultime 
De qui fut l'homme du destin. 
(...) 
Eloigne de sa cendre lasse 
Les mots d'offense, car le Dieu 
Qui jette à terre et qui relève, 
Le Dieu qui éprouve et console 
Vint à son chevet solitaire 
Près de lui se poser. 

Alessandro Manzoni, Le Cinq mai 1821

 

Sous le patronage et avec le soutien de l’ambassade de Lituanie

 

Tarifs : de 5 à 30€. Courriel : saisonmusicale@musee-armee.fr. Tél. : 01 44 42 54 66

Toutes les informations ici & les réservations ici

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