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Découvrez l'affaire Amesys et la loi Renseignement en BD

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Dans Grandes oreilles et bras cassés, Jean-Marc Manach raconte l'affaire Amesys et le scandale des outils de surveillance massive vendus aux dictatures, désormais utilisés également en France.
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Atos rachète Bull, et donc, Amesys

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Il faut parfois prendre le temps de l’analyse. Parler de surveillance globale, c’est intéressant. Reflets le fait depuis 2011 avec par exemple l’interview sur Techtoc.tv de Thibaut Bechetoille, PDG de Qosmos. C’était bien avant les révélations Snowden. Nous avions poursuivi avec la révélation de la vente d’un système Eagle à la Libye, sujet largement traité dans la presse par la suite. Les récents articles réalisés en partenariat avec Mediapart sur Qosmos donnent une vision plus large de ce qu’est ce marché français de la surveillance globale, du DPI, cette technologie au cœur des systèmes d’écoute de la NSA révélés par les documents d’Edward Snowden. La série entamée sur Qosmos montre également les liens très étroits entre ce secteur et celui du renseignement d’Etat. La DGSE et Qosmos sont étroitement liés, notamment via une « business unit », la BUK. Maintenant prenons un peu de recul. Nos articles ou ceux de Glenn Greenwald ont-il changé quelque chose ? Une question pas inintéressante au moment où Atos annonce le rachat de Bull.

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TOGO ANR Mode d’emploi du Big Brother Togolais et Libyen

TOGO ANR Mode d’emploi du Big Brother Togolais et Libyen | Libertés Numériques | Scoop.it

Mode d’emploi du Big Brother Togolais et Libyen par Jean Marc Manach.

La société française Amesys, qui a vendu des technologies de surveillance à la Libye de Kadhafi, essaie de minimiser les capacités de ses produits. Pourtant, les documents qu'OWNI a pu consulter montrent l'étendue du dispositif.

Mise en difficulté par les révélations successives de Reflets.info, d’OWNI, du Wall Street Journal et du Figaro, Amesys, l’entreprise française qui a vendu à la Libye du colonel Kadhafi son système EAGLE de surveillance d’Internet, a tenté de relativiser le scandale, dans un communiqué posté sur son site (miroir) :

Le contrat concernait la mise à disposition d’un matériel d’analyse portant sur une fraction des connexions Internet existantes, soit quelques milliers.

Or, les documents que s’est procuré OWNI démontrent exactement le contraire : contrairement aux systèmes d’écoutes ciblées traditionnels, le système “massif” (sic) de surveillance d’Amesys a effectivement pour vocation d’intercepter et d’analyser l’intégralité des télécommunications, à l’échelle d’un pays tout entier...

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Advanced Middle East Systems, le Amesys nouveau est de retour en Libye

Advanced Middle East Systems, le Amesys nouveau est de retour en Libye | Libertés Numériques | Scoop.it

L’information a été repérée par Jean-Marc Manach et provient du site African Intelligence (accès payant). L’article d’African Intelligence relève la présence d’Amesys, sous sa casquette toute neuve d’Advanced Middle East Systems (maintenant exilé technologique… aux Emirats Arabes Unis), à un salon sur le sujet de la défense qui se tenait à Tripoli les 25 et 26 janvier 2013. Amesys y tenait un stand tenu par Jean Ruiz, un maltais.

Rappelons le cynisme d’A.M.E.Sys (Advanced Middle East Systems) qui s’est auto cédé Eagle et l’a rebaptisé Cerebro par l’intermédiaire de Nexa Technologies et l’entremise de son patron, Stéphane Sallies l’un des dirigeants historiques d’Amesys.

Le cynisme d’Amesys n’a donc aucune limite, l’entreprise, faisant l’objet d’une enquête pour complicité de torture en Libye et reconnue aujourd’hui comme ayant été un instrument technologique majeur dans la répression électronique et la répression tout court en Libye cherche donc à revenir sur ce marché, à refourguer son Cerebro pour mettre entre les mains de ce pays en reconstruction et par définition dans une conjoncture politique toujours confuse. Une idée grandiose.

Ça se passe comme ça chez A.M.E.Sys… décontracté du gland.

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Amesys, DGSE, DRM, et si… : Reflets

Amesys, DGSE, DRM, et si… : Reflets | Libertés Numériques | Scoop.it

Le 16 juin 2012, Reflets évoquait un projet Eagle en France. Il porte en interne, chez Amesys, le petit nom suivant : EAGDLP1101. Aucun journal n’a repris cette information. Lorsque des députés ont posé des questions aux gouvernements, Fillon ou Ayrault, les réponses ont été les mêmes : circulez, il n’y a rien à voir.

C’est fort dommage. Nous l’avons écrit, l’affaire Amesys est une boite de Pandore et en ces temps où tout le monde, y compris le président de la république  réclame de la transparence, ce serait amusant et pas inintéressant de voir ce qu’il y a dans cette boite-là. Creusons ensemble quelques hypothèses abracadabrantesques, si vous le voulez…

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Amesys : les documents qui impliquent Takieddine et le PDG de Bull

Amesys : les documents qui impliquent Takieddine et le PDG de Bull | Libertés Numériques | Scoop.it

Près de 200 personnes sont, à ce jour, détenues en raison des opinions qu'elles ont exprimées sur l'Internet. Plusieurs d'entre-elles ont été identifiées grâce à des armes de surveillance numériques conçues, et vendues, par des marchands d'armes occidentaux.

A l’occasion de la Journée mondiale contre la cyber-censure, Reporters sans frontières publie un Rapport spécial sur la surveillance, disponible sur surveillance.rsf.org.

Il y dresse une liste de cinq Etats ennemis d'Internet (la Syrie, la Chine, l’Iran, le Bahreïn et le Vietnam), mais également de cinq entreprises (Gamma, Trovicor, Hacking Team, Amesys et Blue Coat), "mercenaires de l'ère digitale" dont les armes de surveillance numérique "ont été ou sont utilisées par les autorités de pays répressifs pour commettre des violations des droits de l’homme et de la liberté de l’information" quand bien mêmes ces entreprises soient allemande, britannique, française, italienne et américaine.

 

 

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Amesys, réfugiée politique aux Emirats Arabes Unis ?

Amesys, réfugiée politique aux Emirats Arabes Unis ? | Libertés Numériques | Scoop.it

Depuis quelques mois, les journalistes qui suivent l’AmesysGate sont au courant. Mais l’enquête est longue et difficile. Stéphane Salies, le nouveau propriétaire de la technologie Eagle via un tour de passe passe organisé par Philippe Vannier, le patron de Bull…

Ah, merde, non… on commençait trop sérieux. Reprenons autrement…

C’est l’histoire d’un mec… Y fait un truc qu’il veut pas qu’on le sache… T’as tous les journalistes qui cherchent à savoir quoi. Ils rament, hein, les journalistes. Et là, PAF!, pas de bol, c’est son pote qui le raconte à un journal en pensant pas à mal…

Oui, nous savions tous que Stéphane Salies est à la tête d’une entreprise domiciliée aux Emirats Arabes Unis. Comme Stépane et Philippe sont de joyeux lurons qui font des blagues de toto, Stéphane, sans doute en accord avec Philippe (pour pas se prendre un procès sur la base du droit des marques) a appelé sa nouvelle société Advanced Middle East Systems.

Z’avez  compris la blague ?

Advanced Middle East Systems : A.M.E.Sys.

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Le PDG de Bull se plante un couteau dans le dos

Le PDG de Bull se plante un couteau dans le dos | Libertés Numériques | Scoop.it

Philippe Vannier, le PDG de Bull, aimerait bien faire oublier qu'il a conçu, à la demande d'un terroriste, employé par un dictateur, un système de "surveillance massive" de l'Internet capable d'intercepter tous les emails, requêtes Google, sites web consultés, fichiers échangés, chats, etc., "à l'échelle d'une Nation" (Voir Au pays de Candy, enquête sur les marchands d'armes de surveillance numérique, le livre que j'ai consacré à cette affaire).

Bull se défausse aujourd'hui, expliquant d'une part que le contrat passé avec le dictateur en question (Kadhafi) datait de 2007 -alors que Bull n'a racheté Amesys, l'entreprise qui a créé ce système Eagle de surveillance du Net, qu'en 2010-, avançant d'autre part que Bull a depuis revendu Eagle à une autre entreprise... tout en refusant de révéler son nom.

 

 

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Le cynisme de Bercy face au dossier Amesys

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Deux événements sont venus ponctuer notre journée. Le premier, nous vous en parlions ce matin, c’est le feu vert donné par la Cour d’appel de Paris à l’ouverture d’une enquête sur le rôle présumé d’Amesys dans le cadre d’une plainte de la FIDH et de la LDH. Le second (non)évènement c’est la reculade de Fleur Pellerin sur la question de la Neutralité du Net annoncée ce jour à l’occasion d’une super table ronde à Bercy. Nous n’allons pas trop détailler ce point vu qu’on se doutait bien que le changement ça a beau être maintenant, en fait ça ne change pas du tout : le pognon, toujours le pognon, les libertés fondamentales pourront bien attendre un avis du Conseil National du Numérique à qui notre ministre a décidé aujourd’hui de refiler la patate chaude. La Quadrature du Net a d’ailleurs parfaitement résumé l’utilité de cette table ronde.

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Fleur Pellerin n’est pas à court de bonnes idées

Fleur Pellerin n’est pas à court de bonnes idées | Libertés Numériques | Scoop.it

Dans un article publié par Olivier Tesquet on apprend que Fleur Pellerin, ministre de l’économie numérique se demande si « les fournisseurs de contenus comme Google ne devaient pas participer au financement des infrastructures de l’Internet« . La décision de Free de bloquer les pubs l’ont visiblement fait réfléchir. Il y aurait donc les méchants Google, Facebook et autres Youtube qui profiteraient des tuyaux mis en place par les gentils FAI. Mieux, ils ne payeraient pas d’impôts parce qu »ils « optimiseraient » à mort fiscalement. Méchants ! En France, on n’a pas de pétrole, on a toujours pas non plus de FTTH, mais on a des idées. À revendre. Et des dirigeants qui brillent par la pertinence de leurs réflexions. Le monde entier nous les envie.

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La France a acheté des IMSI-Catchers à Amesys, "ennemie d'internet"

La France a acheté des IMSI-Catchers à Amesys, "ennemie d'internet" | Libertés Numériques | Scoop.it
Le fait que la filiale de Bull Amesys soit menacée par une procédure judiciaire ouverte pour "complicité d'actes de torture", et qu'elle soit l'une des cinq entreprises désignées comme "ennemie d'internet" par Reporters Sans Frontières (RSF) ne dissuade pas la France de faire affaires avec elle. Selon les révélations du Monde, les douanes lui ont acheté au moins un dispositif IMSI-catcher destiné à capter des données de téléphones mobiles.



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Live from Dubai : le doigt tendu d’Amesys à l’arrangement de Wassenaar

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Pleurez madeleines, par la grâce de Fleur Pellerin et du gouvernement tout entier, Saint François Hollande en tête, les armes numériques à usage dual ne pourront plus être exportées vers des pays fâchés avec les droits de l’Homme comme c’était le cas auparavant. Elles sont désormais soumises à l’arrangement de  Wassenaar.  Paf ! Terminé. Tremblez vendeurs d’armes numériques, votre business olé, olé, c’est fini. Sont fort les socialistes quand même. On a bien fait de leur déléguer notre pouvoir. Enfin un peu d’éthique. C’est fini et bien fini, l’époque où Nicolas Sarkozy, Claude Guéant, Brice Hortefeux et Philippe Vannier montaient leur petit business avec plein de rétrocommissions dedans pour Ziad Takieddine, quelques intermédiaires, et surtout, qui permettait de fournir à des dictateurs patentés, reconnus comme tels, des outils pour traquer leurs opposants politiques. Fini on vous dit. D’ailleurs, Philippe Vannier a même vendu l’activité Eagle d’Amesys. C’est dire si c’est fini.

Oui… Mais non.

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Les actes du colloque du 16 mai 2013 au Sénat sur la cyberdéfense

Les actes du colloque du 16 mai 2013 au Sénat sur la cyberdéfense | Libertés Numériques | Scoop.it

Magie vaudou de l’Internet, effet papillon des hackers chinois pédo-nazis ? Qui sait ? Quoi qu’il en soit, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire (ou presque), quelques internautes ont retranscrit l’ensemble des échanges de la journée du 16 mai au Sénat où était évoquée la cyberdéfense, plus précisément, les perspectives dans ce domaine après la publication du Livre Blanc.

Nous avions un peu réagi à cette journée car les sénateurs avaient jugé utile de convier Philippe Vannier, patron de Bull de d’Amesys. Un fin connaisseur du sujet, mais tout de même un peu empêtré, suite à une plainte de la FIDH et de la LDH, dans une affaire de potentielle complicité de torture dans le cadre de la vente d’Eagle à Kadhafi.

In fine, l’homme qui a été au centre de toute l’opération Candy d’Amesys et de toutes les autres (Qatar, Maroc, Gabon,…), a envoyé Philippe Duluc, directeur des activités cybersécurité de Bull pour le représenter.

Ces discussions au Sénat sont particulièrement intéressantes. Elles sont un instantané de ce que l’éco-système pense du sujet, de ce qu’il voudrait faire comme business dans ce domaine. En allant au delà du FUD habituel, ou même en s’appuyant dessus, on comprend ce que les grandes entreprises ou l’Etat veulent faire en matière de cyberdéfense.

Bonne lecture et un grand merci aux internautes qui ont planché sur cette retranscription et l’ont agrémentée d’une longue série de liens particulièrement utiles !

Aurélien BADET's insight:

Télécharger le document au format PDF (1,9Mo) : http://reflets.info/wp-content/uploads/20130516_Senat-Colloque_Cyberdefense.pdf

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Amesys et la surveillance de masse : du fantasme à la dure réalité

Amesys et la surveillance de masse : du fantasme à la dure réalité | Libertés Numériques | Scoop.it

Suite à une conversation sur Twitter, je me suis rendu compte que beaucoup de gens nous prenaient encore pour des illuminés quand nous évoquions les questions de surveillance globale des réseaux. Il y a plusieurs raisons à cela. Elles sont à la fois techniques, économiques et juridiques. Nous allons donc tenter d’en faire brièvement le tour, pour ensuite vous dresser un scénario fiction, que nous comparerons enfin avec des faits, eux, bien réels.

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Amesys : Reflets.info invite Laurent Fabius à aller au delà des mots

Amesys : Reflets.info invite Laurent Fabius à aller au delà des mots | Libertés Numériques | Scoop.it

Pour cette journée mondiale de la liberté de la presse, le ministre des affaires étrangères a tenu à glisser aux journalistes et au public quelques mots. Extraits :

En cette journée mondiale de la liberté de la presse, je rends hommage à tous les journalistes qui, dans le monde, œuvrent au nom du devoir d’information et de vérité, parfois au péril de leur vie.

Parce que la liberté d’expression et la liberté de la presse constituent des droits fondamentaux qui doivent être universellement respectés, le libre exercice du métier de journaliste est l’une des priorités de notre politique des droits de l’Homme.

Reflets.info invite le ministre des affaires étrangères à aller au delà des mots. Cher Laurent Fabius, partons donc du principe que vous êtes partisan de la vérité, de la transparence, de la nécessité d’informer le public.

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Pour le Quai d'Orsay, les outils de surveillance n'ont "pas vocation" à être contrôlés

Pour le Quai d'Orsay, les outils de surveillance n'ont "pas vocation" à être contrôlés | Libertés Numériques | Scoop.it
Le Quai d'Orsay estime que les technologies permettant de surveiller Internet "n'ont a priori par vocation" à être contrôlées, dans la mesure où il s'agit d'un détournement de produits du marché grand public. Or, ceux-ci ne sont pas soumis à une réglementation à l'exportation.

 

 

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Bull vend Eagle… à un actionnaire de Crescendo, qui est l’actionnaire principal de… Bull

Bull vend Eagle… à un actionnaire de Crescendo, qui est l’actionnaire principal de… Bull | Libertés Numériques | Scoop.it

Début mars 2011, Bull annonçait  avoir « signé un accord d’exclusivité pour négocier la cession des  activités de sa filiale Amesys relatives au logiciel Eagle, destiné à  construire des bases de données dans le cadre d’interception légale sur  internet« .

La vitrine française de l’informatique percevait désormais comme une épide dans le pied son activité d’interception du trafic IP, celle-là même qui avait permis la fusion Bull Amesys. Il faut dire que la foultitude d’articles parus sur la vente au colonel Kadhafi et surtout, à son beau-frère, Abdallah Senoussi, condamné en France par contumace pour son rôle dans l’attentat du DC10 d’UTA, d’un système d’écoute global des communications des Libyens, n’avait pas aidé à redorer l’image de Bull.

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EAGLE et le sombre tour de passe-passe d’Amesys

EAGLE et le sombre tour de passe-passe d’Amesys | Libertés Numériques | Scoop.it

Quoi de plus cynique qu’un marchand d’armes ? Un marchand d’armes électroniques… On savait qu’Amesys comptait en son sein de grands comiques. On se doutait aussi que nos grands comiques n’allaient pas passer une annonce sur le Bon Coin pour refourguer Eagle. Nous connaissons depuis un petit moment le nom du mystérieux acquéreur supposé d’Eagle. Supposé car à ce jour, en dehors des affirmations de Bull qui prétend avoir cédé la filiale Eagle d’Amesys fin novembre, il n’existe pour à ce jour aucune trace officielle de cette cession. Le site Miroir Social a lâché hier une partie des informations intéressantes que nous allons longuement commenter ces prochains jours, car croyez nous sur parole, il y a de quoi en dire, et nous vous promettons beaucoup de lulz…

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#Onsavépa® : le Amesys nouveau est arrivé : Reflets

#Onsavépa® : le Amesys nouveau est arrivé : Reflets | Libertés Numériques | Scoop.it

Vous connaissiez déjà le Spanou® d’Amesys devenu culte dans nos pages et repris depuis hier par notre ami Aziz Ridouan au sujet du dossier Amesys. Mais qu’arrive t-il donc à tout ce petit monde qui semble pris d’un mal bien étrange ? Au moins au Quai d’Orsay, la réponse est claire « on ne commente pas« , c’est d’ailleurs le seule commentaire officiel qui sortira : « on ne commente pas« .

Chez Amesys le problème, c’est qu’ils sont bien obligés de commenter… quitte à sortir des énormités sur BFM comme c’est le cas ce soir avec un splendide Onsavépa :

« La société ne pouvait pas se douter que son logiciel serait utilisé à des fins répressives« 

Quand on fourgue un Glint chez Amesys, dans de belles démocraties, comme la Libye de Kadhafi, comme le Kazakhstan, « on ne peut pas se douter que c’est à des fins répressives« . Un Glint, un Eagle et hop, tout va mieux ! L’herbe verte pousse dans le desert, votre femme revient et votre penis s’allonge !

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Bull et Amesys : la boite de Pandore que le gouvernement de François Hollande n’ouvrira pas

Bull et Amesys : la boite de Pandore que le gouvernement de François Hollande n’ouvrira pas | Libertés Numériques | Scoop.it
Souvenez-vous ! Le 26 février 2011, Reflets met son premier pied dans le plat Amesys avec cet article. Nous écrivions : « Il y a pourtant beaucoup à dire, comme par exemple sur un intégrateur français qui serait allé il y a une dizaine de jours, juste avant les premiers soulèvements de Benghazi, rendre visite aux autorités libyennes pour leur vendre un système d’écoute globale, pour une capacité réseau de 60Gbps. Il est souvent difficile de discerner les contours de notre jeu diplomatique, ses enjeux économiques très importants et peut être aussi, de curieux mélanges de genres… »
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