Les internautes peuvent accéder aujourd’hui, sans dépense apparente, à une multitude de biens culturels. Quels modèles économiques se cachent derrière cette gratuité ? À qui profite l’abondance de contenus gratuits sur Internet ?
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B. Toullec's curator insight,
June 2, 2013 3:47 PM
Intéressante initiative de jeunes journalistes...A suivre !!! |
Mathieu Gentile's curator insight,
September 1, 2014 5:29 AM
Béatrice Drilles veille au grain, en suivant le lancement du nouveau pure player: GoMet', l'actualité de la métropole Marseille-Aix. Le nom n'est pas très heureux, mais l'envie des journalistes fait plaisir à lire.
Isabelle Becuywe's curator insight,
May 26, 2014 10:43 AM
Un nouveau média web en train de voir le jour. |
Dans leur livre La gratuité à quel prix ?, Joëlle Farchy, Cécile Méadel, Guillaume Sire dressent un portrait complet des acteurs et modèles économiques présents sur le marché des biens culturels en ligne. Ils pointent par la même occasion le problème crucial du partage de la valeur entre des acteurs comme Google, Apple ou Amazon et les créateurs de contenus, notamment quand la gratuité est la règle. Gratuité illusoire soit dit en passant, car il y a en réalité deux prix à payer: l'omniprésence de la publicité d'une part, la monétisation de vos (de nos) données personnelles - goûts, habitudes, voire opinions politiques, religieuses - d'autre part... sans compter le coût d'un abonnement internet, le prix de l'ordinateur et j'en passe.
Toutefois, les chercheurs ne donnent pas de solutions concrètes à l’inégale répartition des revenus. Et c'est bel et bien sur ce point que le bât blesse pour les groupes de presse "Google dépendants".
La home page n'est plus, loin s'en faut, la vitrine chérie des sites de presse, pure player ou non.
Les référenceurs ont tellement bien fait leur travail que de plus en plus de lecteurs arrivent de la vaste toile. Une bonne chose pour les "clics", mais pas forcément pour le portefeuille.
Qui contrôlera les données fournies (volontairement ou involontairement) par ces lecteurs à l'avenir? De la réponse à cette question pourrait bien dépendre la survie de la presse traditionnelle telle que nous la connaissons aujourd'hui.
Lire aussi : Attention à votre ego sur les réseaux sociaux