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Les journalistes du quotidien économique protestent contre l’utilisation du compte Twitter du journal à des fins commerciales. 
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Nice - Un projet d'économies comprenant 148 suppressions de postes au sein du groupe Nice-Matin a été négocié cette semaine, mais direction et syndicats ne sont pas encore d'accord sur son étalement dans le temps, a-t-on appris vendredi auprès des... Via Grégory Leclerc
Béatrice D.'s insight:
Extrait: Samedi matin, les salariés distribueront dans les transports en commun de différentes villes un tabloïd de quatre pages expliquant aux lecteurs la situation du groupe. Le journal spécial sera tiré à 60.000 exemplaires.
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MEDIAS – Les journalistes de «Courrier International» en grève reçoivent le soutien du réalisateur Gérard Mordillat…
Béatrice D.'s insight:
Les journalistes de Courrier International sont en grève et l’hebdomadaire pourrait ne pas sortir cette semaine. La grève est votée jusqu’à mercredi 9h.
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VIDEO - L’industriel prépare sa succession. Le groupe traverse d’importantes difficultés. Après cette annonce, le site Rue89, propriété du...
Béatrice D.'s insight:
Les points importants de l'article: Claude Perdriel recherche un nouvel actionnaire, capable, selon « Le Figaro » d’injecter entre 5 et 6 millions d’euros dans le groupe "Le Nouvel Observateur". L’an dernier, le groupe avait accusé une perte nette de 4,8 millions d’euros pour un chiffre d’affaires stable de 96,9 millions d’euros. Pour l’année 2013, il prévoit une perte nette de 7 à 8 millions, due en partie aux investissements réalisés sur Internet (le groupe a racheté Rue89 il y a deux ans). A Rue89 justement, les journalistes déjà échaudés par la création d'un logo du Nouvel Observateur en haut de page du site web, avec la simple mention "Partenaire Rue89", ont décidé de se mettre en grève ce lundi 9 décembre. Globalement, les journalistes, comme Perdriel d'ailleurs, souhaiteraient le maintien de la ligne éditoriale et que le nouvel actionnaire garantisse l’indépendance du titre.
Lire aussi l'article du Figaro: "Nouvel Obs : Les salariés inquiets" http://www.lefigaro.fr/medias/2013/12/09/20004-20131209ARTFIG00555-nouvel-obs-les-salaries-inquiets.php
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Leader français de la presse magazine, le groupe Lagardère a annoncé, jeudi 17 septembre, qu’il s’apprêtait, dans le cadre d’une réorganisation de sa branche médias, à céder dix titres sur vingt, dont dont Auto Moto, Be, Campagne et Décoration,...
Béatrice D.'s insight:
En résumé: Lagardère parle de « puissance de marque », « de baisse des revenus » et de « rupture radicale provoquée par le numérique » pour justifier la vente de la moitié des titres de presse du groupe par une conjoncture défavorable au secteur. La stratégie du groupe "est de concentrer" ses "investissements sur une dizaine de titres qui sont leaders de leur catégorie et ont une forte capacité de développement numérique.» Résultat, les salariés du groupe de presse Lagardère Active, réunis ce jeudi après-midi en assemblée générale, viennent de voter une grève générale assortie d’un blocage de la sortie des magazines à partir de lundi.
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Elles en ont ras-le bol d'être sous-représentées au sein de leur hiérarchie : les femmes de la rédaction du quotidien Les Echos ont décrété une grève des signatures, pour manifester contre la « disparition » des femmes dans les équipes de direction.
Béatrice D.'s insight:
Les journalistes femmes de la rédaction du quotidien Les Echos ont décrété une grève des signatures ce vendredi 7 juin, pour manifester contre la « disparition » des femmes dans les équipes de direction. Une initiative saluée par la ministre des Droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem, qui soutient leur mouvement sur Twitter. Petite précision, abérrante en 2013, le journal Les Echos est loin d'être le seul concerné par ce problème!!!
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La publication d'un tweet à la tonalité publicitaire dans la time line du compte Twitter des Echos a poussé les journalistes à faire la grève des tweets le vendredi 13 mars. Ils entendaient protester « contre un mélange des genres de plus en plus prononcé dans la presse en général et aux Echos en particulier».
Le brand content est loin d'être entré dans leurs moeurs journalistiques, ce qui peut se comprendre. Son recours devrait être encadré par des règles déontologiques mieux définies qu'elles ne le sont actuellement.