The World's Most Ethical (WME) Companies designation recognizes companies that truly go beyond making statements about doing business "ethically" and translate those words into action. WME honorees not only promote ethical business standards and practices internally, they exceed legal compliance minimums and shape future industry standards by introducing best practices today.
This year, a record 145 companies made the list, which includes more than three dozen industries, from aerospace to wind power, with 43 of the WME winners headquartered outside the U.S. Since the list's inception, 23 companies have made the list all six years including: Aflac, American Express, Fluor, General Electric, Milliken & Company, Patagonia, Rabobank and Starbucks, among others.
Les deux auteurs établissent un constat à propos de la difficulté d’établir un état de l’art numérique : où en est-il, c’est difficile à dire vue la prolifération d’œuvres d’une part, et la diffusion culturelle très réduite dont elles disposent d’autre part. D’un autre côté sur la toile, le rythme de la culture numérique semble effréné, passant d’apparition à disparition en très peu de temps, un temps propre au monde en ligne et totalement hors du temps réel. Nos rapports à ce temps sont bouleversés, on consomme toujours plus et toujours plus vite, et on consomme de tout, aussi bien du matériel que de l’immatériel. Cet immatériel, l’art numérique en fait partie. S’il se développe et à la fois se perd rapidement, c’est aussi du fait de son accessibilité.
Aujourd’hui l’art est partout, l’image est partout : la publicité par exemple, emprunte parfois aux codes de l’art, et ce dernier emprunte, comme il l’a toujours fait par ailleurs, au monde sensible qui l’entoure, et tente de faire passer son message au monde intelligible. Seulement ce dernier rapport évolue et aujourd’hui c’est depuis et à propos d’un monde tout autre que l’art veut communiquer.
Des fêtes de quartier, de lagriculture urbaine et un service daccompagnement en emploi pour les immigrants font partie des projets priorisés en 2012 dans le cadre de la démarche de revitalisation urbaine intégrée (RUI) du secteur Laurentien-Grenet, à Cartierville.
The Spain-based artist’s sculptural installation at Casa de America, Madrid depicts a cavalcade of books streaming out of the side of a building. The whirlwind of literature defies gravity and draws attention with its size.
Tout au long de sa carrière, Genette n’a fait que de développer et de préciser l’intuition originaire de toute son œuvre, à savoir qu’il y a un monde de l’art, un monde réel des œuvres d’art mais séparé du monde ordinaire et dont il s’est agit, pour lui, d’arpenter tout l’espace, de décrire les lois de fonctionnement, de comprendre sa nature ontologique, de saisir le maximum de ses virtualités et toutes les façons de l’activer ou de le mettre en œuvre à tous les sens de l’expression. Ce monde de l’art infiniment polymorphe, et qui n’a rien d’un arrière-monde métaphysique ni rien de transcendant, est son objet presqu’exclusif.
“Tiempo de sospecha, un ejercicio sobre comunicación mediática, sistemas de conocimiento e información” es una exposición que trasmite el paradigma de la vorágine del sistema de información-visualización en el que vivimos a través de piezas mixtas (pintura, instalación, escultura, video, cine experimental).
La exposición reúne el trabajo de artistas que debaten sus piezas sobre el papel que ejercen los medios de comunicación e información en la actualidad. Las obras oscilan en temas que van desde la arquitectura hasta la sexualidad, temas revestidos de cargas políticas, procesos creativos y denuncias sociales.
This weekend, San Francisco's first Creator's Project -- a collaborative program between the media company Vice and Intel -- kicked off, showing off works of art that incorporate technology, software and connectivity.
El estudio, iniciativa de la prestigiosa revista The Economist que a través de su Intelligence Unit (EIU) está realizando un estudio sobre la sustentabilidad de las mayores ciudades del mundo, fue realizado en el año 2009 entre las 30 mayores ciudades de Europa.
Esta semana he tenido el placer de ser acompañado en mi sesión semanal de Think Commons, nada menos que por Jaime Eizaguirre (@eiza), un buen amigo y durante 5 años compañero de trabajo en Ecosistema Urbano .
Esta sesión, lo veréis vosotros mismos, ha fluído como la seda. Han sido más de una hora y media de verdadero disfrute.
Jaime, a través de varios proyectos personales en internet y siguiendo un orden cronológico, nos ha hablado de cómo internet lo ha cambiado todo (o no), de arquitectos que hacen cómics y de cómics que crean arquitectura, de lo digital y lo analógico, y de lo que vaya surgiendo.
Jaime Eizaguirre es arquitecto e ilustrador, tenéis más información en www.eiza.es y arquicomics.tumblr.com.
Pour tout ceux qui attendent le printemps avec impatience pour profiter de Paris :
Sur un peu moins de cinq kilomètres, une allée piétonne part de Vincennes, longe le boulevard Daumesnil et arrive à la Bastille. Une partie de ce superbe chemin vous laissera sans voix. La Promenade Plantée est le seul parc surélevé dans le monde et c’est un endroit que très peu de touristes connaissent. Avec ses toits fleuris et mansardés, c’est le Paris des aristocrates. Vous pouvez y venir avec une bouteille de vin et y pique-niquer ; dans ce petit paradis fleuri, vous verrez Paris sous un jour différent.
Après avoir accompagné la dématérialisation de nos supports, voilà que la révolution numérique offre à chacun la possibilité de matérialiser soi-même ses créations. Petite plongée au cœur des Fab Labs, ces ateliers de fabrication d’un nouveau genre, qui redonnent aux individus les moyens de production par le biais d’une nouveau type d’artisanat, l’artisanat technologique.
A cheerleader of possibility, Public Workshop creates uniquely engaging opportunities for youth and their communities to shape the design of their cities.
Según el informe, la competitividad es un concepto holístico. Mientras el tamaño económico y el crecimiento son importantes y necesarios, hay otros factores que ayudan a determinar la competitividad de una ciudad como su entorno empresarial y regulatorio, la calidad del capital humano y los aspectos culturales.
Estos factores no sólo ayudan a mantener una ciudad con altas tasas de crecimiento, sino también crear un estable y armonioso entorno empresarial y social. En este contexto, se define la “competitividad” como la capacidad demostrada para atraer el capital, empresas, talento y visitantes.
En el informe se evaluaron 120 ciudades en todo el mundo, y examinó 31 indicadores para cada uno ciudad. Los indicadores se agrupan en ocho categorías temáticas: la fuerza económica, de derechos humanos de capital, la eficacia institucional, la madurez financiera, atractivo global, el capital físico, el medio ambiente y la los peligros naturales, y el carácter social y cultural.
Hay 21 indicadores cualitativos y 10 indicadores cuantitativos, el índice general es una ponderación de todos los índices calculados.
"Aujourd'hui moins de 25% de la population de la planète utilise plus de 80% de ses ressources tout en créant 70% de sa pollution.
Notre système économique a toujours été et est toujours financé par les plus pauvres. Ils nous ont d’abord donné leurs terres et leurs accès aux ressources naturelles, puis ont financé son expansion par le remboursement de la dette, le déséquilibre des échanges et les impôts injustes sur leurs salaires et leur consommation. En les obligeant à surpayer l’énergie, la nourriture et autres nécessités de base, le Nord s’assure que la pauvreté se développera et les inégalités augmenteront."
Un film de Philippe Diaz, avec la voix Charles Berling, 2008.
^ Barcelona Dark Rooms, 2007 by Pol Esteve Castello & Marc Navarro Fornós. Courtesy: the authors.
This plan atlas compiles 15 typologies of dark rooms in Barcelona for anonymous male sexual encounters, where fantasy and real pleasure operate in constant negotiation. Researched by Pol Esteve Castello & Marc Navarro Fornós (2007), the plans of these barely furnished homes include structural elements with semantic relevance for collective ecstasy.
The audacity of revealing the otherwise invisible plans, for outsiders as well as for insiders, plays with the irony of an intentional desecration. Darkness is mapped here through the exact location of light spots and TV monitors screening porn movies. The intricate partitions (panels, columns, corners…) and elaborate width of each opening (aisles, thresholds, glory holes…) are the basic elements defining these labyrinthine liminal spaces of desire. Holmes, O’Byrne & Gastaldo (Setting the space for sex, 2007) define them as refusing ‘to function in and be part of what Deleuze (1992) calls “societies of control”.
Public gay sex spaces, such as parks, alleys, restrooms, rest stops, adult theatres, video arcades, bookstores, bars and gay bathhouses are often thought of as being filthy and residing outside “the social”. However, it is the public nature of the location and its on-site sexual possibilities inextricably linked with risk that intensifies the power and pleasure of the erotic encounter (Leap, 1999). […] Desire is not an “absence” (a lack of something), but a force that makes us move (Colebrook, 2002) […] To paraphrase Bataille, gay bathhouses are necessary “architectures of excess” that permit desire to free itself from the constraints of everyday life.’
Published on February 11, 2012 14:39. Filed under: homo ludens, invisible cities, urban research
Icona di tutte le forme di espressività legate al corpo, Marina Abramovic è oggi uno dei protagonisti più affascinanti e magnetici del nostro tempo, dalla cui vicenda artistico-esistenziale è imprescindibile la storia stessa delle arti performative. Pioniera della performance dagli anni '70, premiata con il Leone d’Oro alla Biennale del 1997, l’artista ha spesso superato i propri limiti fisici e psicologici, ha messo in pericolo la sua incolumità, infranto schemi e convenzioni, scavato nelle proprie paure e in quelle di chi la osservava, portando l'arte a contatto con l'esperienza fisica ed emotiva, collegandola alla vita stessa.
The Abramovic Method nasce da una riflessione che Marina Abramovic ha sviluppato partendo dalle sue ultime tre performance: The House With the Ocean View (2002), Seven Easy Pieces (2005) e The Artist is Present (2010), esperienze che hanno segnato profondamente il suo modo di percepire il proprio lavoro in rapporto al pubblico.
“Nella mia esperienza, maturata in quaranta anni di carriera, sono arrivata alla conclusione che il pubblico gioca un ruolo molto importante, direi cruciale, nella performance”, dichiara Marina Abramovic. “Senza il pubblico, la performance non ha alcun senso perché, come sosteneva Duchamp, è il pubblico a completare l’opera d’arte. Nel caso della performance, direi che pubblico e performer non sono solo complementari, ma quasi inseparabili”.
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