Jusqu'à quel point Volkswagen a-t-il pu bénéficier du silence complaisant, sinon complice, des autorités de Bruxelles ? Voire, au-delà de Volkswagen, les constructeurs européens ? Ce sont les questions que l'on peut se poser après la lecture du "Financial Times".
(...) Dans son édition de dimanche, le quotidien écrit en effet que les dirigeants de l'UE connaissaient le problème des moteurs truqués deux ans avant que le scandale n'éclate et qu'ils n'ont rien fait pour l'empêcher.