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Parmi les fonds collectés par les Archives Municipales de Saint-Nazaire, on compte la correspondance de guerre reçue par Alphonse Jagot, né à Saint-Nazaire en 1877 et mobilisé en 1915. Il s'agit principalement de cartes postales et de lettres envoyées par ses deux petits frères, Edmond et Jean, tous deux mobilisés sur le front, en Grèce pour le premier et dans la Marne pour le second. En mars 1917, le 38e Régiment d’Infanterie Coloniale (RIC), dont Edmond Jagot fait partie, participe à la bataille de Monastir et de la cote 1248 avant de se rendre en avril dans la boucle de la Cerna. Pendant près d’un an le 38e RIC va stationner dans cette zone de combats. Depuis la Grèce, Edmond Jagot envoie une carte postale à son frère, celle-ci représente l'aurige de Delphes, l'une des plus célèbres sculptures de la Grèce Antique, conservée au Musée archéologique de Delphes. A travers l’histoire du soldat Edmond Jagot et de son Régiment, d'Infanterie, les Archives Municipales de Saint-Nazaire abordent l’histoire du front d’Orient sous forme de frise chronologique. Pour la visionner, il vous suffit de cliquer sur ce lien : http://urlz.fr/50Fh
L’équipe des Archives municipales de Saint-Nazaire consacre une série d’articles à la personnalité de Louis Brichaux, maire de Saint-Nazaire de 1909 à 1919 et président de la Chambre de commerce de Saint-Nazaire de 1912 à 1926. Au travers de ces écrits, elle s’attache à dresser le décor des lieux et d’une époque qui ont permis à une famille d’origine modeste, la famille Brichaux, d’atteindre des sommets grâce à l’action de ses membres, dont celle toute particulière de Louis Brichaux. Le premier article traite des fondateurs de la dynastie Brichaux. Pour le lire, il vous suffit de cliquer ici : http://www.mairie-saintnazaire.fr/fileadmin/media/Archives/Louis_Brichaux/3_Fondateurs.pdf Un second, prochainement disponible, retracera le parcours professionnel du capitaine d’industrie que fut Louis Brichaux.
A l’occasion des Journées du Patrimoine 2015, le comédien Marc Wyseur prêtait sa voix au récit de Paul Couëdel, coiffeur nazairien devenu soldat, qui raconte sans langue de bois, ses impressions et souvenirs des premiers mois de la Grande Guerre. Les Archives municipales viennent de mettre en ligne l’enregistrement de la lecture de ce journal. Pour l’écouter, il vous suffit de suivre ce lien : http://www.mairie-saintnazaire.fr/culture/patrimoine/archives-municipales/a-la-une/
Malgré les quelques témoignages et récits rédigés au lendemain de la guerre et jusque dans les années 1980, les évènements de la Poche de Saint-Nazaire trouvèrent peu d’écho dans les livres d’histoire pourtant féconds sur la Seconde Guerre mondiale. Depuis une vingtaine d’années plusieurs érudits, passionnés et historiens locaux se sont attaqués à ce travail de mémoire que constitue l’écriture de cet épisode douloureux, témoignant ainsi de l’intérêt réel du public pour ce sujet (plus de 40 publications et articles en une vingtaine d’années). Soucieuses de favoriser le travail des historiens, amateurs ou professionnels, les Archives municipales de Saint-Nazaire publient un guide dressant l’état des sources actuellement disponibles en France et à l’étranger, sur cette période majeure de la vie du territoire. Disponible en format numérique, il vous suffit de cliquer sur ce lien pour le consulter : http://www.mairie-saintnazaire.fr/fileadmin/media/Archives/Poche_de_Saint-Nazaire/GuideWeb2015.pdf
Après Eugène Delemarre, Arsène Hervy, Alphonse Jagot, Jean-Louis Magrez et Louis-Marie Péneau, découvrez l'histoire de cinq soldats de la Grande Guerre à travers des documents personnels remis par leur famille aux archives municipales de Saint-Nazaire. Parmi eux, relevons le coiffeur Paul Couëdel (cliché ci-dessus daté de 1917) dont l'exceptionnel récit de guerre sera lu par le comédien Marc Wyseur à l'occasion des Journées du patrimoine…A suivre donc… Pour découvrir ces parccours, il vous suffit de cliquer sur ce lien : http://www.mairie-saintnazaire.fr/index.php?id=1094
Les Archives municipales de Saint-Nazaire poursuivent leur travail documentaire et pédagogique autour de la première guerre mondiale, en enrichissant de nouvelles dates, leur frise chronologique locale. Chacune des dates est associée à un document -d'archive ou photographie- issu de leur collection; en particulier, elle est l'occasion de donner à voir les documents recueillis lors de la Grande Collecte. Pour découvrir ce riche outil pédagogique, il suffit de suivre ce lien : http://goo.gl/RvPRfU
A partir d'août 1914, 120 000 britanniques débarquent avec armes et matériel à Saint-Nazaire. Trois ans avant l'arrivée massive des Américains, ce bref passage des britanniques (ils quittent définitivement la Ville en février 1915), suscite étonnement et enthousiasme comme le relate Noémie Dondel du Faouëdic, témoin indirect des événements. Les Archives municipales de Saint-Nazaire ont mis en ligne sur leur site internet des extraits du journal de Noémie Dondel du Faouëdic, ainsi que des photographies issues de leur collection. Vous pouvez les consulter en suivant ce lien : http://www.mairie-saintnazaire.fr/culture/patrimoine/archives-municipales/les-britanniques-a-saint-nazaire-vus-par-une-redonnaise/
Pour ce nouveau rendez-vous autour de la Seconde guerre mondiale, les Archives municipales de Saint-Nazaire vous proposent de découvrir la lettre dans laquelle le sous-préfet de Saint-Nazaire, explicite les conditions d’évacuation des civils début septembre 1944. Conservée actuellement aux Archives municipales de Saint-Nazaire, cette lettre est à votre disposition sur le site internet des Archives. Un dossier documentaire très complet sur ce courrier et son contexte complète ce document. Pour visionner ces archives, un clic : http://www.mairie-saintnazaire.fr/culture/patrimoine/archives-municipales/a-la-une/
Maire socialiste de Saint-Nazaire depuis 1925, François Blancho démissionne de sa mandature municipale en mai 1941. Arrêté, il est incarcéré, et fait partie d’une liste secondaire de 50 otages, après le meurtre de Hotz ; menace que les autorités allemandes ne mette pas à exécution. Les Archives Municipales de Saint-Nazaire vous invitent à découvrir la lettre de démission de François Blancho. Un dossier très complet sur François Blancho et le contexte historique permet de bien comprendre la décision du maire socialiste et son enjeu. Le lien : http://www.mairie-saintnazaire.fr/culture/patrimoine/archives-municipales/a-la-une/
A Saint-Nazaire, les bombardements du 28 février 1943 entraînent la destruction de plus de la moitié de la ville et son évacuation officielle. A l’approche de ce 70e anniversaire, les Archives Municipales de Saint-Nazaire vous proposent de découvrir une archive issue du fonds Campredon (du nom du directeur urbain de la Défense Passive à Saint-Nazaire, Roger Campredon). Il s’agit d’une photographie d’un masque à gaz, distribué à la population dans le cadre des actions de préventions menées par la Défense Passive. Pour en savoir plus sur ce fonds et sur la Défense Passive, nous vous invitons à cliquer sur ce lien : http://www.mairie-saintnazaire.fr/culture/patrimoine/archives-municipales/a-la-une/
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Évoquez la guerre à Saint-Nazaire et l’on vous parlera de la Seconde Guerre mondiale. Mais qu’en est-il de la Première Guerre mondiale, comment a-t-elle été vécue par les Nazairiens ? Faute de recherches approfondies et de publications sur le sujet, la Grande Guerre à Saint-Nazaire risquait de tomber dans l’oubli. C’était sans compter sur le travail de sept associations nazairiennes (1) qui pendant plus de deux ans ont œuvré ensemble pour donner vie à une exposition inédite. Les recherches faites par les bénévoles les ont menés au cœur des Archives municipales et des Archives départementales, mais aussi à la bibliothèque nationale de France, au Centre d’histoire du travail de Nantes, etc. Des archives privées ont également été consultées, collectées, analysées, sans oublier celles des associations elles-mêmes et c’est ainsi que tout un pan de l’histoire de Saint-Nazaire a été redécouvert. Exposition ouverte du 7 au 27 novembre de 11h à 19h et 7j/7 à la Galerie des Franciscains (rue du Croisic). Entrée gratuite. Pour plus de renseignements, un clic : http://www.mairie-saintnazaire.fr/toutes-les-actualites/details/article/exposition-les-nazairiens-dans-la-grande-guerre/ (1) Angénea, AREMORS, Aristide Briand, Cité 50-Cité scolaire, Mémoire et Savoirs Nazairiens, l’UIA, l’Union Nationale des Combattants (UNC). Saint-Nazaire Tourisme et patrimoine a également contribué à cette exposition en fournissant objets et photos d'époque.
A partir de 1916, plusieurs villes de l’Ouest, dont Nantes, ont recours aux coopératives pour lutter contre la vie chère. A Saint-Nazaire, l’initiative revient au comité d’action contre la vie chère formé autour des syndicats, militants et coopérateurs de la Bourse du travail, et à l’action d’Henri Gautier, fondateur de la Maison du Peuple. Dans ce contexte, le 22 avril 1916, la Coopérative de boucherie est ouverte. Son historique est disponible sur la frise chronologique élaborée par les Archives municipales de Saint-Nazaire. Pour le consulter, il vous suffit de cliquer ici : http://minilien.fr/a0dk1h
Il y a deux ans, le Centre d’Histoire du Travail de Nantes publiait un article à propos des coopératives de consommation nantaises. Pour le (re)lire, un lien : http://www.cht-nantes.org/sites/default/files/Les%20coop%C3%A9ratives%20de%20consommation.pdf Enfin, retrouvez une émission radiophonique sur cette thématique diffusée sur JETFM le 25 mars 2015 : http://www.jetfm.asso.fr/site/Comment-Vont-Les-Fourmis-Vend-27,6173.html Il s’agit d’une intervention de Robert Gautier, docteur en Histoire contemporaine et auteur d’une thèse sur les coopératives de consommation en Bretagne et Pays de la Loire.
A l'époque des grandes découvertes pasteuriennes, le médecin Dufour est un pionnier de la pédiatrie sociale en France. A la fin du 19e siècle, il innove dans la distribution et la stérilisation du lait artificiel en créant « l’Oeuvre de la Goutte de lait ». Rapidement, cette instance prend une dimension nationale et internationale. A Nantes, elle est ainsi créée dès 1898. Saint-Nazaire la met en place durant la première guerre mondiale, en septembre 1914. Les Archives municipales de Saint-Nazaire reviennent sur cette fondation à travers leur frise chronologique. Pour la visionner, il vous suffit de cliquer sur ce lien : http://goo.gl/RvPRfU#13 Pour en savoir plus sur "La Goutte de lait" à Nantes, c’est ici : http://www.archives.nantes.fr/PAGES/RECTO_VERSO/goutte_de_lait.htm
En 2014, une quarantaine de fonds relatifs à la Première Guerre mondiale sont remis aux Archives municipales dans le cadre de la Grande Collecte. Correspondance, journaux personnels ou documents militaires permettent d'esquisser les portraits de soldats et de leurs familles. Parmi eux : la correspondance d’Alphonse Jagot, notamment avec son frère, Jean. Ce dernier est de tous les combats marquants de la Grande guerre dont la seconde bataille de Champagne, à proximité de Tahure, (septembre 1915). Le 25 septembre 1915, il fait partie de la première vague d’assaut qui a pour mission d’emporter la butte de Tahure et le "mamelon" 192. Avant de partir, ne croyant pas revenir de la bataille, il écrit une lettre d’adieu à son « grand frère chéri »… Pour la découvrir, il vous suffit de cliquer ici : http://minilien.fr/a0sgrj
A l’occasion des Journées du Patrimoine, le comédien Marc Wyseur prête sa voix au récit de Paul Couëdel, coiffeur nazairien devenu soldat, qui raconte sans langue de bois, ses impressions et souvenirs des premiers mois de la Grande Guerre. Ce texte inédit a été remis aux Archives municipales de Saint-Nazaire par le fils de Paul Couëdel, à l’occasionde la Grande Collecte (novembre 2014). Deux séances sont proposées à la Galerie des Franciscains, les vendredi 18 septembre, à 18h et samedi 19 septembre, à 17h. Entrée libre et gratuite. Réservation conseillée. Pour en savoir plus, les Archives municipales vous proposent deux liens : Des informations pratiques sur l'événement : http://www.mairie-saintnazaire.fr/culture/patrimoine/archives-municipales/histoire-de-saint-nazaire-en-archives/la-premiere-guerre-mondiale/recit-de-guerre-de-paul-couedel/ Enfin, retrouvez le parcours de Paul Couëdel sur Google map en suivant ce lien : https://www.google.com/maps/d/edit?mid=zJSryfrqAdOM.kZChNAn-GH-c&usp=sharing)
Dans le cadre de la commémoration des 70 ans de la libération de la Poche de Saint-Nazaire, la Croix de Chevalier de la Légion d’Honneur est présentée dans le hall de l’hôtel de ville jusqu'au 30 mai prochain. A cette occasion, les Archives municipales ont retracé l'histoire de la remise de cette décoration à la Ville de Saint-Nazaire en 1949. Vous pouvez ainsi consulter leur site internet via le lien suivant : http://minilien.fr/a0phcj Vous trouverez des renseignements pratiques ici : http://www.estuaire.org/?p=chronique&article=2501
Les Archives municipales de Saint-Nazaire viennent de mettre en ligne une partie des documents recueillis lors des journées consacrées à la Grande Collecte qui ont eu lieu les 14 et 15 novembre 2014. Ces photographies, cartes postales et correspondance permettent d'esquisser les portraits de soldats, ou habitants de l'arrière, contemporains de la Première Guerre mondiale. A travers cette présentation, les Archives municipales vous invitent à découvrir l'histoire de cinq nazairiens de naissance ou d'adoption. Pour cela, il vous suffit de cliquer sur ce lien : http://www.mairie-saintnazaire.fr/culture/patrimoine/archives-municipales/a-la-une/
Suite aux bombardements du 16 février 1943, la mairie de Saint-Nazaire est endommagée. Les services se replient à l'Ecole Pratique d'industrie, qui sera incendiée à son tour lors des bombardements du 28 février 1943. C'est le début, pour l'Administration municipale, des mairies de repli. Un album photo présente ces divers lieux qui ont abrité les services municipaux, entre 1943 et 1960, de la mairie d'origine jusqu'à l'hôtel de ville reconstruit. Pour "Histoire 2 guerres", les Archives municipales viennent de le mettre en ligne. Pour le consulter, un clic : http://www.mairie-saintnazaire.fr/culture/patrimoine/archives-municipales/a-la-une/
A Saint-Nazaire, à la suite des raids de mars 1943, la population civile est évacuée. Parmi les membres de la Défense Passive venant en aide à la population, les femmes des Sections Sanitaires Automobiles ont joué un rôle de premier plan. Leur mission : récupérer les victimes et de les évacuer en dehors de la zone de combat. A la demande du Directeur de la Santé de Loire-Inférieure, elles sont en particulier chargées de recenser les enfants pour les évacuer dans les départements de repli. En mai 1942, 103 enfants sont ainsi adressés dans les centres Guynemer. Des rapports conservés dans le fonds du Directeur urbain de la Défense Passive, Roger Campredon, montrent ces femmes perpétuellement sur la brèche et intervenant au péril de leur vie. Les Archives Municipales de Saint-Nazaire vous proposent de découvrir ce fonds. Un lien : http://www.mairie-saintnazaire.fr/culture/patrimoine/archives-municipales/a-la-une/
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