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Une quarantaine de rédactions portugaises ont observé une journée de grève lancée par le Syndicat des journalistes. L’agence de presse Lusa n’a publié aucune dépêche depuis mercredi à minuit, la radio publique Antena 1 et sa concurrente privée TSF n’ont pas diffusé de journaux et les éditions en ligne du quotidien de référence Publico ou du magazine hebdomadaire Visao ont également cessé la publication d’informations.
Il s’agit, pour l’heure, d’un plan de départs volontaires concernant tous les services de l’entreprise, avec vingt-cinq postes de journalistes menacés, selon le Syndicat national des journalistes, qui fustige un «quatrième plan social en onze ans». Voir aussi
Les rédactions des trois titres du groupe EBRA ont acté, lundi 18 décembre, l’absence de confiance entre les journalistes et les dirigeants. Deux mouvements de grève, les 1er et 11 décembre, dénonçaient déjà les suppressions de postes annoncées fin novembre.
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Après avoir suspendu fin octobre son projet d'expérimentation de l'IA face à la grogne d'une partie du personnel, le quotidien nancéien a finalement démarré fin novembre et pour trois mois un test du robot conversationnel Chat GPT.
L'expérimentation implique "quatre ou cinq secrétaires de rédaction (SR*) volontaires" et est limitée à la copie des correspondants en provenance de l'agence locale de Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Une "quinzaine" d'articles sont ainsi passés chaque jour à la moulinette de Chat GPT. *journalistes chargés de la relecture des articles et de leur mise en page Voir aussi
Sauf surprise, la grève en cours au sein des journaux de France 3 entrera, mercredi 22 novembre, dans sa troisième semaine. Cela fait quinze jours qu’au lieu des éditions baptisées «Ici», mises en place à la rentrée à la place du «12-13 heures» à la mi-journée et du «19-20 heures» en début de soirée, les téléspectateurs de France 3 se contentent de JT «dégradés». Toutes les régions, sauf la Corse, ont déjà été touchées. «En pourcentage, il y a peu de grévistes, mais c’est la visibilité de la mobilisation qui compte», d’autant plus son impact que cinq organisations syndicales (SNJ, CGT, CFDT, FO, SUD) sont solidaires pour rejeter les conditions d’exécution de cette réforme.
Le journal La Provence n'est pas paru en kiosque ce vendredi 17 novembre, en raison d'un mouvement de grève de ses salariés. En cause, l'annonce de la suppression d'une trentaine de postes par la direction du groupe. MAJ. Grève suspendue le 20/11/2023. Voir aussi
Le quotidien du sud de la France, repris par Rodolphe Saadé l'an dernier, a été contraint de mettre en place un plan d'économies. En fin d'année dernière, c'était «La Voix du Nord», avec une centaine de suppressions de postes et une cinquantaine de créations, suivi par «Midi Libre» qui annonçait rechercher 45 départs volontaires. Au début de l'été, c'était au tour de «Sud Ouest», suivi par «Le Dauphine Libéré» (groupe Ebra), conduisant à des grèves. «Nice-Matin» a lui aussi ouvert un plan de départs, cet automne. accès abonnés Voir aussi
Le quotidien des Hauts-de-France, dont Stéphanie Zorn (ESJ Lille 2000, 5e promo PHR) deviendra au premier semestre 2024 la première femme rédactrice en chef, crée un statut de rédacteur, moins bien payé que celui de reporter, et réaffecte une partie de ses équipes à la couverture de l’actualité de la métropole lilloise au détriment de l’effectif des locales. Article réservé aux abonnés Voir aussi - A La Voix du Nord, le plan social accouche d’une réorganisation décriée (Médiacités abonnés, 01/11/23)
- M. Pierre MAUCHAMP, jusqu'alors directeur de la rédaction de "La Voix du Nord", devient directeur du développement des contenus Rossel France; le poste de directeur de la rédaction va disparaître au profit d'une réorganisation de la rédaction en chef, portée par Mme Stéphanie ZORN" dans La Correspondance de la Presse du 09 janvier 2024
Alors que les Etats généraux de l’information (EGI) viennent d’être officiellement lancés, ce 3 octobre, nous, plus de 170 journalistes correspondant·es ou ex-correspondant•e•s à l’étranger, interpellons les pouvoirs publics sur la détérioration de nos conditions de travail. Ce lundi 16 octobre, au Sénat, un séminaire établira un diagnostic, afin d’étudier les pistes législatives et parlementaires susceptibles d’améliorer notre quotidien, notamment en matière de protection sociale. Monsieur le Président Emmanuel Macron, donnez-nous les moyens de continuer à exercer notre métier! Voir aussi
Les syndicats de journalistes n’ont pas été conviés à l’événement de lancement ni intégrés au programme des États généraux. À la suite de l’expression de leur mécontentement, la situation pourrait changer. Voir aussi
D'après "Le Monde", un préavis de grève a été déposé par l'intégralité des organisations syndicales de France 24 (CFDT, CGT, SNJ, CFTC, FO), pour un mouvement reconductible à partir du mercredi 11 octobre. Une réunion de la dernière chance est prévue ce vendredi 6 octobre 2023 entre les syndicats et la direction de la chaîne du groupe France Médias Monde. Quant aux salariés d'Euronews, ils sont actuellement sous la menace d'un plan de sauvegarde de l'emploi.
Un plan d'économie globale a été annoncé aux salariés du Dauphiné Libéré. Parmi les mesures: le déménagement possible de l'agence de Grenoble et de Voiron à Veurey-Voroize où se situe le siège. Cette délocalisation n'est pour l'instant pas actée, elle provoque de nombreuses inquiétudes. Voir aussi
Quarante salariés de la société de services audiovisuels Red Bee Media, qui pour la plupart travaillent depuis une dizaine d'années à France Médias Monde (France 24 et RFI), ont saisi les prud'hommes pour demander leur intégration au groupe audiovisuel public. «Nous demandons également la condamnation de la société au délit de marchandage, prêt de main-d’œuvre illicite et travail dissimulé». Voir aussi
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Le projet d’un service "transverse" sciences, santé et environnement regroupant les journalistes des trois chaînes soulève inquiétudes et critiques en interne depuis fin février. Article réservé aux abonnés
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Lié par une clause de confidentialité (et de "silence à vie"), Jean-Baptiste Rivoire avait critiqué dans un documentaire la mainmise du milliardaire sur l’information. Il devra payer à son ancien employeur 150.000 euros, une décision qu’il conteste en appel. Photo Cyril Zannettacci/VU' pour Télérama
Plus de 330 salariés de la chaîne internationale ont voté jeudi une motion de défiance à l’égard de leur direction, a fait savoir la CGT à l’origine du mouvement social qui conteste une réforme des plannings. Voir aussi - France 24 et RFI cartonnent avec leurs chaînes WhatsApp (Challenges abonnés, 14/12/23)
- "Le budget 2024 de France Médias Monde, en hausse, permettra de financer quatre nouveaux projets en Afrique, en Europe centrale et orientale et dans le monde arabe" dans La Correspondance de la Presse du 14 décembre 2023
Le Dauphiné Libéré (groupe EBRA) a présenté lundi un plan d'économie de 4,2 millions d'euros, comprenant un plan de départ volontaire concernant 20 salariés, la suppression de trois magazines non rentables et un requalibrage de Vaucluse Matin, qui, en concurrence frontale avec La Provence, disparaîtrait du sud du département pour se replier dans le Nord. Voir aussi
Depuis le 8 novembre 2023, les journaux régionaux de France 3, ICI 12/13 et 19/20, sont fortement perturbés avec plus de 240 JT annulés soit 87% des éditions. La raison? Un conflit social qui trouve son origine dans la mise en place de TEMPO, un projet qui modifie la structure des journaux régionaux. Des journaux qui durent plus longtemps, et qui intègrent l’actualité nationale et internationale.
Les dernières cohortes de journalistes recrutées par le quotidien régional ont été engagées par La Dépêche News, une agence de presse qui rassemblait initialement des pigistes auxquels faisait appel TF1. Un tour de passe-passe que l’inspection du travail suspecte d’être un moyen de réaliser des économies sur le dos des salariés.
La filiale CMA CGM Médias, récemment rebaptisée Whynot Media et à laquelle appartient le journal marseillais La Provence, est dans la tourmente. Soixante postes sont menacés à l'aube de 2024. L'annonce a été faite lors d'une réunion non-officielle entre le propriétaire Rodolophe Saadé et le syndicat majoritaire. Voir aussi
Un plan de gestion des emplois, en cours d’élaboration, pourrait aboutir au prochain départ d’une soixantaine de personnes, tandis que le projet d’imprimerie commune avec «Nice-Matin» tarde à prendre corps.
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The Washington Post announced plans Tuesday to offer voluntary buyouts to its staff, in an effort to reduce head count by 240.
In an email to staff, interim CEO Patty Stonesifer wrote that The Post’s subscription, traffic and advertising projections over the past two years had been “overly optimistic” and that the company is looking for ways “to return our business to a healthier place in the coming year.” The Post currently employs about 2,500 people across the entire company.
Dans un communiqué, la branche CGT du groupe public dénonce «une mauvaise blague» et demande à la direction d’annuler la cérémonie prévue lundi prochain censée rebaptiser le bâtiment principal du média en «Maison Jean-Pierre Elkabbach». Voir aussi
Les états généraux de l'information doivent notamment inviter citoyens à s'exprimer sur "la protection des journalistes et de leurs sources". Le Parlement européen a voté en faveur d'une loi destinée à défendre les journalistes contre plusieurs menaces, dont les "pressions extérieures (...) pour les obliger à révéler leurs sources". Un débat qui fait écho à la récente garde à vue en France de la journaliste Ariane Lavrilleux, dans le cadre d'une enquête pour "divulgation du secret de défense nationale". Franceinfo fait le point sur les règles qui régissent ce grand principe que certains jugent menacé. Voir aussi
Journalists are fighting to ensure that AI won't replace their jobs and that content produced with the help of AI tools meets journalistic standards. Voir aussi
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Les grévistes réclament notamment «des hausses de salaires», pour faire face à l’inflation, et le respect du Code du travail en matière de rémunération des heures supplémentaires.