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En mars dernier, Emmanuel Macron a annoncé sa volonté d'inscrire dans le projet de loi sur le pouvoir d'achat la suppression de la redevance audiovisuelle. Une mesure qui inquiète les radios et chaînes de télévision qui craignent pour leur financement, mais aussi pour leur indépendance. Pour protester contre cette décision, ils ont appelé à cesser le travail ce mardi. Voir aussi
A l’occasion du cinquième anniversaire de la création d’un média global autour de FranceInfo, le 1er septembre 2016, France Télévisions, Radio France, France Médias Monde et l’INA ont annoncé le renforcement de leurs coopérations dans le domaine de l’information. Les quatre sociétés de service public lancent une force d’enquête commune avec la Cellule investigation de Radio France et les équipes dédiées au sein de France Télévisions (L’œil du 20H, Complément d’enquête) et France Médias Monde, pour doter l’audiovisuel public d’une puissance d’investigation augmentée. Voir aussi
La pandémie de Covid-19 et le ministre de la Santé Olivier Véran ont été le sujet et la personne les plus présents dans les journaux télévisés (JT) en 2020, selon une étude de l'Institut national de l'audiovisuel (INA). Entre sa première apparition dans un JT, le 18 janvier 2020, et la fin de l'année, le coronavirus "a suscité 13.875 sujets dans les journaux télévisés", à savoir "51% de l'offre d'information globale et 47% de la durée totale des JT", soit près de 407 heures, détaille l'étude consacrée à une année de médiatisation du Covid-19.
700.000 heures de programmes analysés à l’aide d’une intelligence artificielle nous ont permis de mesurer le temps de parole des femmes dans les médias. Verdict: la période de confinement a été marquée par un recul de la présence vocale des femmes à la télévision et à la radio. Un décrochage particulièrement notable sur les chaînes d’information en continu.
L’INA a passé plus de cinq mois d’information à la loupe pour tirer un premier bilan quantitatif de la place du coronavirus et du confinement sur les écrans de télévision, et notamment sur les chaînes d’information continue. Voici ces chiffres inédits de «l’information sous Covid-19», qui témoignent d’un événement médiatique absolument historique. Voir aussi
La Revue des médias de l'INA décortique la deuxième semaine de médiatisation intensive du Covid-19, et notamment la manière dont le docteur Didier Raoult et la chloroquine se sont incrustés sur nos écrans et nos timelines des réseaux sociaux.
Le Covid-19 a généré dans les médias français une couverture sans précédent, selon une étude réalisée par l'Institut national de l'audiovisuel et qui s'est concentrée sur la période entre le 1er décembre et le 19 mars.
A deux mois des élections, une étude montre que l’actualité de l’UE reste très à la marge des JT français, ne représentant que 2,7 % des sujets diffusés en 2018. Voir Journaux télévisés: où est l'Europe? (ina.fr)
Quelle place est accordée au numérique et aux réseaux sociaux dans les journaux télévisés? Une étude inédite d’Ina STAT révèle, sur sept ans, le traitement, toutes rubriques confondues, de la thématique Informatique, Internet et Réseaux sociaux, dans les JT du soir des six chaînes historiques. Ina STAT propose plus largement un bilan des cinq dernières années de médiatisation de la santé, et des sciences et technologies. Voir aussi "Le traitement de l'information liée au numérique est souvent anxiogène sur les chaînes nationales (étude Ina Stat)" dans La Correspondance de la Presse du 24 avril 2017
Comment sont structurées les émissions de matinales de radio? Qui invitent-elles? De quoi parlent-elles? À l’occasion des Rencontres Radio 2.0 2015, l’INA a présenté les principaux résultats d’une étude quantitative menée sur les émissions matinales des radios généralistes françaises (France Inter, Europe 1, RTL et RMC), qui sont les carrefours stratégiques de ces radios à la fois en termes d’audience et d’image, sur l’année 2014.
Lire aussi "La parité pour les invités des matinales? On n’y est pas encore… (La réaction de Caroline de Haas, militante féministe et membre du collectif Expertes)" (Télérama)
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Patrick Cohen (ESJ Lille 1985, 59e promo) présentera dès le 18 mars prochain «ADN» un nouveau format d'émission politique 100% digital lancé par l'Institut national de l'audiovisuel (INA). Tous les prétendants à l'Élysée s'y succéderont, et seront «plongés dans un bain d'archives», explique Laurent Vallet, le PDG de l'INA.
L'actualité propre à l'Union européenne reste peu traitée dans les journaux télévisés des chaînes françaises, et a perdu en visibilité pendant la pandémie de Covid-19, selon une étude de l’Ina et de la Fondation Jean Jaurès publiée jeudi. Seuls 3,6% des sujets des JT ont été consacrés à l'actualité propre à l'Union européenne entre 2015 et 2020. Un résultat qui chute à 2,5% si on retire Arte Journal, précise l’étude.
Énergie, climat, pollution, biodiversité... Comment la place accordée à l'environnement à la radio et à la télévision a-t-elle évolué au cours des deux dernières décennies? Exploration des grilles de programmes, temps d'antenne et journaux télé/radio dans cette étude inédite de l'INA publiée à l'occasion du festival Médias en Seine, qui se penche notamment sur le rapport entre journalisme et environnement.
L’Institut national de l’audiovisuel sait rebondir sur l’actualité pour mettre en lumière son catalogue. Sa mue numérique, entamée très tôt, lui permet de renouveler son offre pour le grand public et les professionnels. "Nous faisons de la "rétroactualité"", explique Antoine Bayet (82e promo ESJ Lille), le responsable des médias digitaux.
L'Afrique est assez peu représentée dans les journaux télévisés des grandes chaînes françaises, selon l'InaStat, baromètre statistique de l'Institut national de l'audiovisuel. Sur les neuf dernières années, c'est France 2 qui consacré le plus de sujets à l'Afrique, la médiatisation du continent représentant 5,4% de l'offre globale d'information de TF1, France 2, France 3, Canal+, Arte et M6, moins que l'Asie (12%), mais plus que l'Amérique latine (2%).
Près de 100 millions de mots passés à la loupe: l’INA a étudié plus de 8000 heures de programmes sur les chaînes d’information en continu, et 400 heures de programmes d’info sur les chaînes historiques, pour déterminer le «temps d’antenne» consacré au coronavirus. Bilan: la médiatisation du Covid-19 et de ses conséquences est un phénomène absolument inédit dans l’histoire de l’information télé.
Les vidéos de l'INA font partie du paysage web depuis leur arrivée sur YouTube en 2012. «Les archives de la télé, c’est un monde fascinant. C’est une résonance entre un programme et une époque dans laquelle il s’inscrit. Leur publication a toujours vocation à produire cette espèce de décalage», explique Antoine Bayet (ESJ Lille 2008, 82e promo), responsable du Département des Éditions Numériques de l’INA (l’Institut National de l’Audiovisuel).
L'actuel PDG de Radio France a répondu devant la justice sur des soupçons d'irrégularités dans l'attribution de marchés publics lorsqu'il était à la tête de l'Institut national de l'audiovisuel (INA), dont la gestion avait déjà été écornée par l'affaire des frais de taxis de sa successeure Agnès Saal, condamnée par le tribunal de Créteil à une amende de 4500 euros pour détournement de fonds publics. Lire aussi "Au tribunal, Mathieu Gallet admet ne pas être «un spécialiste des marchés publics»" (Libération)
L'éphémère chaîne des jeunes commença d'émettre le 1er mars 1986. Léo Scheer, son fondateur, revient sur cette courte - mais intense - épopée, dont il n'existe aucune archive, rien n'ayant été confié à l'Ina.
«A dix ou quinze ans, je suis persuadée que cette plate-forme deviendra un élément central du financement de la télévision. C'est le modèle économique de demain», assure la présidente de France Télévisions.
Lire aussi «France Télévisions va lancer le Google de la création» (Le Figaro premium), "Mission impossible pour Delphine Ernotte" (Paris Match) ainsi que l'étude documentaire "Rapport au Parlement sur les orientation de France Télévisions" dans La Correspondance de la Presse du 29 octobre 2015
Les avocats de Patrick de Carolis et Mathieu Gallet mettent en avant le statut de France Télévisions et de l’INA, qui empêcherait les poursuites pour favoritisme. France Télévisions est une société de droit privé et l’INA, un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC). Ces deux structures ne dépendent donc pas, statutairement, du code des marchés publics (CMP).
Le directeur général de l’IFCIC (Institut pour le financement du cinéma et des industries culturelles) a été choisi pour devenir le nouveau président de l’Institut national de l’audiovisuel. En mars 2014, il avait été une première fois candidat à la présidence de l’INA, que Mathieu Gallet venait de quitter pour celle de Radio France.
Lire aussi "Agnès Saal de retour au ministère de la culture"
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"Au-delà de la question du financement, cependant, c’est le spectre d’une fusion de Radio France, France Télévisions et France Médias Monde avec, à la clé, des économies drastiques et une réduction du pluralisme, qui fait l’effet d’un épouvantail."