Autour du Centenaire 14-18
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Autour du Centenaire 14-18
La Grande Guerre et son centenaire. #1GM  #PGM #WW1 #FWW - année 1918
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La Grande Guerre 1914-1918 - Annuaire de sites Internet sur la Première Guerre Mondiale et ressources multimédias.

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Annuaire de sites Web consacrés à la Grande Guerre 1914-1918 : La Première Guerre Mondiale à l'heure d'Internet.
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Les Monuments aux Morts

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Cartographie Voir tous les monuments sur une même carte...
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Rhône. L’histoire de Joseph et Loys, deux frères dans la Grande Guerre, en 1 500 photos

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Les Archives départementales du Rhône et l’ECPAD coéditent un ouvrage de 1 500 photos retraçant l’histoire de Joseph et Loys Roux, deux infirmiers soldats de la Première Guerre mondiale.

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Un poème retrouvé sur un bout de papier chiffonné est à l’origine du coquelicot comme symbole du jour du Souvenir | JDM

Un poème retrouvé sur un bout de papier chiffonné est à l’origine du coquelicot comme symbole du jour du Souvenir | JDM | Autour du Centenaire 14-18 | Scoop.it
Il a été écrit originalement en anglais, en 1915, sous le titre «In Flanders Fields».
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#11Novembre : les femmes dans la Grande Guerre

#11Novembre : les femmes dans la Grande Guerre | Autour du Centenaire 14-18 | Scoop.it
Participant à l'effort de guerre, les femmes ont joué un rôle fondamental durant le conflit de 1914-1918. Elles remplacent les hommes partis au front dans de nombreux secteurs d'activité, et notamment dans les champs.
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Déclaration Balfour de 1917 — Wikipédia

Déclaration Balfour de 1917 - Wikipédia

La Déclaration Balfour de 1917 est une lettre ouverte datée du et signée par Arthur Balfour, le secrétaire d'État britannique aux Affaires étrangères ( the Foreign Secretary). Elle est adressée à Lord Lionel Walter Rothschild (1868-1937), personnalité éminente de la communauté juive britannique et financier du mouvement sioniste, aux fins de retransmission.

La Déclaration Balfour de 1917 est une lettre ouverte datée du 2 novembre 1917 et signée par Arthur Balfour, le secrétaire d'État britannique aux Affaires étrangères (the Foreign Secretary). Elle est adressée à Lord Lionel Walter Rothschild (1868-1937), personnalité éminente de la communauté juive britannique et financier du mouvement sioniste, aux fins de retransmission. Par cette lettre, le Royaume-Uni se déclare en faveur de l'établissement en Palestine d'un projet national (présenté comme « un foyer national pour le peuple juif », traduction de « a national home to the Jewish people »). Cette déclaration est considérée comme une des premières étapes dans la création de l'État d'Israël. Le front oriental durant la Première Guerre mondiale[modifier le code] À l'aube de la Première Guerre mondiale, la Palestine fait partie de l'Empire ottoman, qui a déjà perdu au cours du XIXe siècle la plupart de ses territoires européens ainsi que le Maghreb jusqu´à la frontière du royaume Chérifien du Maroc. Quoique soutenue militairement par l'Allemagne, qui mise sur l'achèvement du chemin de fer Berlin-Bagdad, la faiblesse des Ottomans aiguise les convoitises des Britanniques et des Français, qui souhaitent remodeler la région après la guerre et négocient les accords Sykes-Picot (signés en mai 1916). Les Alliés soutiennent le nationalisme arabe et la Révolte arabe de 1916-1918, qui fragilise le dispositif turc, puis ouvre une brèche importante avec la bataille d'Aqaba (6 juillet 1917). Cette percée permet aux Britanniques de relancer la campagne de Palestine, après un premier échec puis un second devant les forces turques et allemandes. Les troupes britanniques conduites par le général Allenby remportent le 31 octobre une victoire décisive à Beer-Sheva, confirmée le surlendemain par la prise de Gaza et par la prise de Jérusalem le 9 décembre — un mois après la publication de la Déclaration Balfour. Contexte stratégique international[modifier le code] Avant la guerre, le monde juif s'est politiquement structuré avec l'Organisation sioniste mondiale, d'abord dirigée par le journaliste austro-hongrois Theodor Herzl, puis en Angleterre par le scientifique d'origine russe Chaim Weizmann. Dès 1903 Herzl avait obtenu une lettre officielle du Foreign Office déclarant que la Grande-Bretagne acceptait un accord sur la création d'une colonie juive sous administration juive, document que Yoram Hazony juge « surpassant même la Déclaration Balfour1 ». Cette diplomatie fut reprise durant la guerre pour faire avancer l'idée de la création d'un « home » juif au Proche-Orient2. Chaim Weizmann, qui avait trouvé au profit de l'Angleterre un procédé pour synthétiser l'acétone nécessaire à la fabrication de la dynamite de façon beaucoup moins chère, s'y emploie en 1917, au moment où les Alliés désespéraient de gagner la guerre. L'intervention des États-Unis devenait nécessaire, quoique l'opinion américaine y fût peu favorable. L'influence juive était disputée tant par les Alliés que par l'Allemagne3,4, et même par les Turcs3. Un pacte avec le mouvement sioniste s'avérait utile, ainsi que l'explique Churchill : « L'année 1917 marqua peut-être la période la plus maussade et la plus sombre de la guerre. [...] C'était l'époque où les éléments les plus résolus du gouvernement britannique cherchaient à enrôler toute influence capable de garder unies à la tâche les nations alliées. Le mouvement sioniste, dans le monde entier, était activement proallié, et, en particulier, pro-britannique. Ce mouvement n'était nulle part plus visible qu'aux États-Unis et nos espoirs reposaient dans une large mesure sur la part active que prendraient les États-Unis dans la lutte sanglante qui s'annonçait. Les talentueux dirigeants du mouvement sioniste et ses nombreuses ramifications exercèrent une influence appréciable sur l'opinion américaine et cette influence [...] était constamment en notre faveur. [...] Les Juifs (sionistes aussi bien que non sionistes) [...] ont œuvré pour le succès de la Grande-Bretagne et pour une étroite coopération entre la Grande-Bretagne et les États-Unis. La Déclaration Balfour ne doit donc pas être regardée comme une promesse faite pour des motifs sentimentaux, c'était une mesure pratique prise dans l'intérêt d'une cause commune à un moment où cette cause ne pouvait se permettre de négliger aucun facteur d'assistance matérielle ou morale5. » La Déclaration Balfour fut ainsi faite pour assurer aux Alliés l'appui de l'opinion juive mondiale quand en 1917 la situation militaire était parvenue à une phase critique6. Aussi fut-elle avalisée par tous les Alliés7 et même, en France, antérieurement, par la Déclaration Cambon (en) remise à Nahum Sokolow (4 juin 1917), qui marquait que le gouvernement français « ne peut éprouver que de la sympathie pour votre cause (et pour) la reconnaissance, par la protection des puissances alliées, de la nationalité juive, sur cette terre dont le peuple d’Israël a été chassé il y a tant de siècles8 ». Après la publication de la Déclaration Balfour, une note insérée dans le journal Le Temps en février 1918 officialise qu'à M. Sokolov a été « confirmé que l’entente est complète entre les gouvernements français et britannique en ce qui concerne la question d’un établissement juif en Palestine6. » ; ce que le ministre français des Affaires étrangères Stephen Pichon confirme encore par une seconde lettre adressée à Sokolov6. Rédaction et publication de la déclaration[modifier le code] Lloyd George, nouveau premier ministre britannique depuis décembre 1916, résume ainsi l'origine de la Déclaration Balfour : « Quand nos difficultés prirent fin grâce au génie du Dr Weizmann [qui avait facilité la production de la dynamite], je lui dis : "Vous avez rendu un grand service à l'État et je dois vous recommander à sa majesté pour un honneur". Il répondit : "Je ne veux rien pour moi-même (mais) je voudrais que vous fassiez quelque chose pour mon peuple". Il expliqua alors son désir du rapatriement des Juifs sur la terre sacrée qu'ils ont rendu célèbre. Ce fut la source et l'origine de la fameuse déclaration sur le National Home pour les Juifs en Palestine9. » En fait dès février 1917 Mark Sykes, colonel et député spécialiste du Moyen-Orient, entame des négociations avec les leaders sionistes en Angleterre. Puis en juin, le ministre des Affaires étrangères, Lord Balfour reçoit Lord Rothschild, membre éminent de la communauté juive britannique soutenant le mouvement sioniste, ainsi que Chaim Weizmann, et leur demande de rédiger une proposition de déclaration concernant l'appui du gouvernement britannique à l'immigration juive en Palestine. Plusieurs propositions sont rédigées et une synthèse est approuvée le 3 septembre par le cabinet de guerre10, nonobstant l'opposition de Curzon et de Montagu11. La déclaration prend la forme d'une lettre adressée à Lord Rothschild le 2 novembre 1917 et publiée dans le Times de Londres le 9 novembre, par un encart intitulé « Palestine for the Jews. Official Sympathy » : « Cher Lord Rothschild,J'ai le grand plaisir de vous transmettre, de la part du gouvernement de Sa Majesté, la déclaration suivante de sympathie avec les aspirations juives sionistes, qui a été soumise au cabinet et approuvée par lui.Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un foyer national pour les Juifs et fera tout ce qui est en son pouvoir pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte soit aux droits civiques et religieux des collectivités non juives existant en Palestine, soit aux droits et au statut politique dont les Juifs disposent dans tout autre pays.Je vous serais obligé de porter cette déclaration à la connaissance de la Fédération sioniste12. » — Arthur James Balfour13,14. Par cette lettre, le Royaume-Uni se déclare en faveur de l'établissement en Palestine d'un foyer national juif. Cette déclaration est considérée comme une des premières étapes dans la création de l'État d'Israël. La promesse qu'elle contient est apparemment rapidement mise en œuvre, dès la conférence de Paris (1919), préalable à la conférence de San Remo (avril 1920) et au traité de Sèvres (août 1920), la délégation sioniste à ces deux conférences ayant approuvé que le mandat de la Palestine soit confié au Royaume-Uni. Réactions arabes[modifier le code] L'hostilité arabe au projet sioniste que la Déclaration Balfour soutenait, n'est pas d'abord unanime. Antérieurement, des intellectuels arabes se félicitaient de l'arrivée de Juifs, pensant qu'ils apportaient la main-d'œuvre, les techniques et le capital nécessaire au développement de la Palestine, voire un appui contre le pouvoir turc honni15. Da'ud Barakat, rédacteur du journal égyptien Al Ahram, écrivait : « Il est absolument nécessaire qu'une entente soit réalisée entre les sionistes et les Arabes, car la guerre des mots ne peut faire que du mal. Le pays a besoin des sionistes : l'argent qu'ils apporteront, leurs connaissances et leur intelligence, ainsi que l’ardeur au travail qui les caractérise contribueront sans aucun doute à la renaissance du pays.15 » Envoyé par le mouvement sioniste pour mener des négociations avec notamment des acteurs du Congrès général arabe, Sami Hochberg, éditeur d'un quotidien16 de Constantinople, parvient à un accord verbal avec le Parti de la Décentralisation du Caire et le Comité de la Réforme de Salim Ali Salam à Beyrouth17. Il rapporte que sur une vingtaine de personnalités arabes rencontrées, deux seulement se déclaraient opposées à toute immigration juive18. Durant la Première Guerre mondiale, Kalvarisky témoigne de fréquentes entraides entre Juifs et Arabes, qui n'étaient guère mieux traités par les Turcs19. Après la Déclaration Balfour, le chérif de La Mecque Hussein publie dans un journal de La Mecque que « ceux qui sont assez profonds ... savaient que le pays [la Palestine] était pour ses premiers fils, en dépit de leurs différences, une patrie aimée et sacrée. Le retour de ces exilés dans leur pays s'avérera, matériellement et spirituellement, une école pratique pour leurs voisins qui sont avec eux dans les champs, les fabriques, les commerces, et en toute chose liée au travail et au labeur »20. À Jérusalem, le mufti Kamil al-Husayni (en) participa à la pose de la première pierre de l'université hébraïque au mont Scopus21. Après la guerre, durant la conférence de la paix de Paris une négociation directe sous l'égide de T. E. Lawrence a lieu entre Chaim Weizmann, président du Comité sioniste, et Fayçal, fils du chérif Hussein et délégué arabe à la Conférence. Cette négociation aboutit à la signature de l'Accord Fayçal-Weizmann de 1919. Cet accord définit l'État arabe et la Palestine comme deux territoires pour l'une et l'autre partie, leurs frontières devant être rapidement définies par une commission bipartie, les provisions de la Déclaration Balfour mise en œuvre en Palestine, y compris une immigration juive sur une grande échelle, les sanctuaires musulmans restant sous contrôle musulman, etc.22,23. Cet accord ne fut jamais appliqué. Les représentants arabes l'ont rejeté23, officiellement parce qu'ils ne leur fut pas permis de créer le grand État arabe qu'ils avaient souhaité. Les nationalistes arabes perçoivent la Déclaration Balfour comme étant en contradiction avec la promesse d'un grand État arabe indépendant que laissait entrevoir la correspondance McMahon-Hussein en 1915. Leur panarabisme se sent surtout floué par les accords Sykes-Picot conclus secrètement en 1916, prévoyant la mise sous tutelle des possessions turques au Moyen-Orient divisées en États séparés24, ce que la conférence de San Remo (1920) institutionnalise : mandat de la Société des Nations confié aux Britanniques en Irak et en Palestine, et aux Français en Syrie et au Liban. Quant aux chefs religieux, ils annoncent dès la publication de la Déclaration Balfour que « les musulmans du monde entier ne pourront jamais accepter que Jérusalem soit un jour aux mains des Juifs ... Peu à peu une opposition s’organisera chez les musulmans et un jour on verra de nouvelles croisades mais musulmanes contre les Juifs.25 » Mise en pratique par la Grande-Bretagne[modifier le code] Les Sionistes voyaient dans l'Angleterre leur meilleur allié pour leur projet. Ils ont demandé et obtenu que le mandat sur la Palestine soit attribué à la Grande-Bretagne pour que la Déclaration Balfour y soit implémentée. Cependant, les actes de l'administration mandataire démentent les promesses. Six semaines après la Déclaration Balfour, le général Allenby pénétrant en Palestine déclare : « La Palestine ne sera ni juive, ni arabe, elle sera anglaise26 ». Lorsqu'il prend Jérusalem, pour écarter les prétentions françaises il impose le régime militaire, et à aucun moment il n'est question de sionisme et de déclaration Balfour25. Lorsque éclate le premier pogrom anti-juifs en 1920, le gouverneur anglais Ronald Storrs fait arrêter et condamner les défenseurs juifs27 tandis que la plupart des émeutiers arabes ne reçoivent que de légères peines. Son successeur, Herbert Samuel (dont le mémorandum de 1915 recommandait l'annexion de la Palestine par la Grande-Bretagne), recommande l'arrêt de l'immigration juive27,28 et fait nommer grand mufti le principal organisateur du pogrom, Amin al-Husseini27. Dans les années 1930, trois « Livres blancs » visent à limiter et limitent effectivement drastiquement l'immigration juive (en 1939, lors de la montée des persécutions nazies, 75 000 personnes permises seulement sur 5 ans)29 ainsi que l'autonomie promise30. Meinertzhagen (officier supérieur envoyé par le Foreign Office comme conseiller politique auprès du général Allenby) note dans son journal que l'administration anglaise « devint désespérément infectée par des idées anti-sionistes et pro-arabes31 ... dès mon arrivée j'ai vu que toutes les mains travaillaient contre le sionisme, certains ouvertement, d'autres clandestinement32 ... L'atmosphère du Colonial Office [à Londres] est définitivement judéophobe33 ». Symbole[modifier le code] La Déclaration Balfour est une date marquante pour le mouvement sioniste, et reste emblématique pour Israël. Dès novembre 1918, une parade célèbre son premier anniversaire à Jérusalem34. Significativement, la table de travail de Balfour (ci-contre) est exposée au musée du peuple juif à Tel Aviv. Bibliographie[modifier le code] La Documentation française, Document : la Déclaration Balfour (2 novembre 1917), 2012 (lire en ligne) Olivier Compagnon, « Balfour, déclaration (1917) », 'Encyclopædia Universalis (en ligne). La « Déclaration Balfour » 'Encyclopédie Larousse (en ligne). Jacob Yeredor, « La Palestine et la politique des grandes puissances », Politique étrangère, vol. 13, no 3,‎ 1948, p. 235-244 (lire en ligne) Renée Neher-Bernheim, La Déclaration Balfour : 1917, création d'un foyer national juif en Palestine, Paris, Julliard, 1969, 473 p. Paul Giniewski, Dans les oubliettes de l'histoire : 1. La Déclaration Balfour, Bruxelles-Paris-Louvain, Vander, 1975, 236 pages Walter Laqueur : Le sionisme, t. I, éd. Gallimard, Tel, 1994, (ISBN 2070732525), Jean-Pierre Alem, 1917, la Déclaration Balfour : aux sources de l'Etat d'Israël, Editions Complexe, coll. « Mémoire du siècle » (no 20), 1982, 151 p. (ISBN 9782870270929, ISSN , lire en ligne) Paul Giniewski, « Il y a 70 ans, Sionistes et Arabes signaient la paix », Revue défenses nationale,‎ mars 1989 (lire en ligne) Henry Laurens, La question de la Palestine : 1799-1922, vol. 1, Paris, Fayard, coll. « Archives » (no 36), 1999, 719 p. Yoram Hazony, L'État juif: sionisme, postsionisme et destins d'Israël, éditions de l’éclat, 2007 (ISBN 978-2-84162-142-2, lire en ligne) en anglais[modifier le code] Joseph Mary Nagle Jeffries, Palestine : The reality, vol. 1, Longmans, Green and Co., 1939. Colonel Meinertzhagen, Middle East Diary, Londres, Cresset Press, 1956 (lire en ligne). Neville Mandel, Attempts at an Arab‐Zionist entente: 1913-1914, vol. 1, t. 3, Middle Eastern Studies, 1965 (présentation en ligne). Aharon Cohen, Israel and the Arab World, New York, Funk & Wagnalls, 1970. Samuel M. Katz, Battleground: Fact and Fantasy in Palestine, New York, Taylor, 1973 (lire en ligne). Marianne A. Rhett, The Global History of the Balfour Declaration : Declared Nation, Routledge, coll. « Studies in Modern History », 19 novembre 2015, 168 p. (ISBN 9781317312765, lire en ligne). Notes et références[modifier le code] ↑ Hazony (2007), p. 180 : « Lord Landsdowne est prêt à envisager favorablement ... un projet dont les caractéristiques principales sont l'octroi d'un vaste territoire, la nomination d'un responsable juif à la tête de l'administration (ayant) carte blanche en matière d'administration municipale, religieuse et purement intérieure » (voir lettre de Sir Clement Hill (en) à Leopold Greenberg (en), 14 août 1903. Repris in Die Welt, 29 août 1903).. ↑ Hazony (2007), p. 200. ↑ a et b Giniewski, 1975. ↑ Laurens, 1999, « une campagne de presse en Allemagne demandant que La Porte accorde une autonomie juive en Palestine sous souveraineté ottomane afin que les empires centraux puissent acquérir le soutien du judaïsme mondial ». ↑ « Churchill, Author of 1922 White Paper, Takes Issue with Passfield », Jewish Telegraphic Agency, en ligne. ↑ a b et c Documents diplomatiques français (lire en ligne, p. 62 et suivante). ↑ Liste dans Giniewski, 1975. ↑ Yohanan Manor, Paris-Londres-Jérusalem : les deux déclarations de 1917, Outre-Terre, 2004/4, p. 353-354, contient le texte de la déclaration (lire en ligne).Fac-similé de la lettre sur balfourproject.org. ↑ Lloyd George, War Memoirs, vol. 1 (lire en ligne). ↑ Jeffries 1939, p. 280. ↑ Neher-Bernheim 1969, p. 292-293. ↑ Il s'agit de la Fédération sioniste de Grande-Bretagne et d'Irlande (en). ↑ Déclaration (texte officiel en français). ↑ (en) Texte anglais sur JewishVirtualLibrary.org. ↑ a et b An Arab‐Zionist entente, p. 241. ↑ Le Jeune Turc. ↑ An Arab‐Zionist entente, p. 246 : engagement du Comité du Caire à contrer la propagande anti-juive, et le journal de Hochberg avec ses relais en Allemagne à appuyer la cause arabe. ↑ Central Zionist Archives, Z3/114, S. Hochberg, 17-05-1913. ↑ Israel and the Arab World, p. 116 sq.. ↑ Journal Al Qibla, 23 mars 1918 (deux mois après que Hussein ait été officiellement informé de la Déclaration Balfour), cité par Katz, 1973, p. 128. ↑ Katz, 1973, p. 128. ↑ Il y a 70 ans... ↑ a et b The Weizmann-Feisal Agreement, présentation et texte sur www.mfa.gov.il. ↑ « Déclaration Balfour » sur universalis.fr. ↑ a et b Laurens, 1999, ch. X. ↑ Yeredor, 1948, p. 236. ↑ a b et c Yeredor, 1948, p. 237. ↑ Israel and the Arab World, p. 171 et suivantes. ↑ Yeredor, 1948, p. 238. ↑ Hazony (2007), p. 219 et suivantes. ↑ Meinertzhagen, p. 86 (juin 1920). ↑ Meinertzhagen, p. 88-89. ↑ Meinertzhagen, p. 99 (juin 1921). ↑ (en) Benny Morris, Righteous Victims : A History of the Zionist-Arab Conflict, 1881-1998, Knopf Doubleday Publishing Group, 2011, 800 p. (ISBN 978-0-307-78805-4 et 0-307-78805-9, présentation en ligne), p. 158. Voir aussi[modifier le code] Articles connexes[modifier le code] Conflit israélo-arabe Conflit israélo-palestinien Liens externes[modifier le code] Analyse et documents complémentaires sur le site de l'UIA Notices d'autorité : () v · m Sionisme Généralités Sionisme Peuple d’Israël Terre d’Israël État juif Histoire du sionisme Chronologie Congrès de Bâle Plan Balfour Légion juive Accord Fayçal-Weizmann Palestine mandataire Les Livres blancs Plan de partage Indépendance d’Israël Guerre d’indépendance Immigration juive Aliyah avant le sionisme Yichouv Première Aliyah Seconde Aliyah Durant la Première Guerre mondiale Troisième Aliyah Quatrième Aliyah Cinquième Aliyah Durant la Seconde Guerre mondiale Aliyah Bet Loi du retour Opération Tapis volant Opération Ezra et Néhémie Exode des Juifs des pays arabes et musulmans Aliyah polonaise de 1968 Aliyah d’Union soviétique dans les années 1970 Opération Josué Opération Moïse Opération Salomon Aliyah d’Union soviétique dans les années 1990 Aliyah d’Amérique latine dans les années 2000 Partis, organisations et idéologies Territorialisme Hapoel Hatzaïr Hachomer Hatzaïr Poale Zion Akhdut HaAvoda Mouvements de jeunesse Mapaï Parti travailliste Sionisme libertaire Mapam Sionisme religieux Colonies Avant-poste Kach et Kahane Chai Agoudat Israel Sionisme chrétien Sionisme révisionniste Sionisme travailliste Irgoun Lehi Betar Bnei-Akiva Hérout Sionisme général Likoud Postsionisme Néosionisme Antisionisme Non-sionisme Organisations Organisation sioniste mondiale Agence juive AIPAC Asefat ha-nivharim Histadrout Haganah Kibboutz Moshav Nefesh B'Nefesh Taglit-Birthright Israel Personnalités Theodor Herzl Chaim Weizmann David Ben Gourion Vladimir Jabotinsky Joseph Trumpeldor Golda Meir Menahem Begin Yitzhak Rabin Shimon Peres Ariel Sharon Benyamin Netanyahou Reuven Rivlin Meir Bar-Ilan Yitzchak Yaacov Reines Yosef Burg Moshe Avigdor Amiel Yehuda Leib Maimon Portail sur le conflit israélo-arabe Portail d’Israël Portail de la Palestine Portail des années 1910 <img width="1" alt="" style="border: none; position: absolute;" height="1" src="https://login.wikimedia.org/wiki/Special:CentralAutoLogin/start?type=1x1&quot;&gt; Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Déclaration_Balfour_de_1917&oldid=209258128 ».
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Louis Franchet d'Espèrey — Wikipédia

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Maréchal Louis Franchet d'Espèrey Louis Franchet d'Espèrey, né le à Mostaganem (à bord d'un bateau à voiles à destination du port de Mostaganem) et mort le à Saint-Amancet, est un général français des et siècles, élevé à la dignité de maréchal de France en 1921.

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En 1912, général de division, il participe à la pacification du Maroc au commandement des troupes d'occupation du Maroc occidental. Il est promu commandeur de la Légion d'honneur en décembre. Lors de la Première Guerre mondiale, il commande en août 1914 le 1er corps d'armée puis la 5e armée de début septembre 1914 à mars 1916. Il parvient à stopper l'armée allemande sur l'Oise, et prend une part considérable à la victoire de la Marne. Il est fait grand officier de la Légion d'honneur le 30 décembre 1914. En mars 1916, il commande le groupe d'armées de l'Est puis, fin décembre, prend le commandement du groupe d'armées du Nord. Il est élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur en récompense de ses mérites le 10 juillet 1917. En juin 1918, Georges Clémenceau l'envoie sur le front d'Orient (front de Macédoine), commander en chef les armées alliées d'Orient (AAO) (dont fait partie l'armée française d'Orient). Après une offensive éclair en septembre, marquée par la prise de Dobro Polje, il contraint la Bulgarie à signer un armistice et provoque l'armistice de l'Empire ottoman en octobre, ce qui contribue à la capitulation de l'Allemagne le 11 novembre. Il est décoré de la médaille militaire le 3 octobre 1918. Après la guerre, il est élevé à la dignité de maréchal de France le 19 février 1921 au même moment que les généraux Fayolle et Lyautey, puis est nommé inspecteur général des troupes d'Afrique du Nord en 1923. Il succède à ce dernier à l'Académie française en 1934. Biographie[modifier le code] Famille[modifier le code] Article connexe : Famille Franchet d'Esperey. Louis Franchet d'Espèrey est né à Mostaganem en Algérie française en 1856. Il est le fils de Louis Franchet d'Espèrey (1824-1890), officier de cavalerie, et de Louise de Dion. Il est le petit-fils de François Franchet d'Esperey. Formation[modifier le code] Après avoir fait une partie de sa scolarité aux lycées Hoche et Sainte-Geneviève de Versailles, il sort de Saint-Cyr en 18763. Premières campagnes (Tunisie, Tonkin, Chine)[modifier le code] Il est affecté au 1er régiment de tirailleurs algériens. Admis en 1881 à l’École supérieure de guerre, le jeune lieutenant fait entre-temps ses premières armes pendant la campagne de Tunisie d'octobre à décembre 1881, et n'entame sa scolarité qu'avec la promotion suivante en 1882. Il part en mars 1885 rejoindre le corps expéditionnaire du Tonkin en lutte contre l'armée chinoise et les Pavillons noirs. Chef de bataillon en 1893, il prend en 1894 le commandement le 18e bataillon de chasseurs à pied à Stenay. Lieutenant-colonel en 1899, il prend part en 1900 à l’expédition de Chine contre les Boxers au cours de laquelle son cousin, l'ambassadeur allemand Clemens von Ketteler, trouve la mort. Au 132e régiment d'infanterie à Reims depuis 19014, il est nommé colonel du 60e régiment d'infanterie de Besançon en 1903. Pendant la guerre russo-japonaise, il manifeste son soutien à l'armée russe, avec laquelle il avait participé à des manœuvres dans le cadre de l'Alliance franco-russe. Pacification du Maroc[modifier le code] Il est nommé général de division en 1912, et le général Lyautey lui confie le commandement des troupes du Maroc. Pendant la période difficile des débuts du protectorat, il prend une part importante à la pacification et à l’organisation du pays. Première Guerre mondiale[modifier le code] Commandant de la 5e armée puis des groupes d'armées de l'Est et du Nord[modifier le code] Rappelé en France, Franchet d’Espèrey reçoit en novembre 1913 le commandement du 1er Corps d'Armée à Lille. Il se distingue à la bataille des Frontières d’août 1914, puis en rejetant sur l’Oise, à Guise, le corps allemand de la Garde. Le généralissime Joffre lui confie, le 3 septembre, le commandement de la 5e armée, en pleine retraite et menacée d’être encerclée et coupée. Franchet d'Espèrey se montre à la hauteur de la situation. Faisant faire demi-tour à ses hommes, il attaque, entraînant à ses côtés l’armée britannique du général French, se précipite dans la brèche entre les armées Bülow et Kluck ; il joue un rôle capital dans la décision et l’exécution de la grande bataille. « Son rôle, écrit Joffre dans ses mémoires, mérite d’être souligné devant l’histoire. C’est lui qui a rendu possible la victoire de la Marne ». Franchet d'Espèrey commande le groupe d’armées de l’Est en mars 1916, puis le groupe d'armées du Nord à partir de fin décembre. Il perd son fils, Louis, sous-lieutenant d’infanterie, tué à Douaumont, et son frère, colonel commandant le 333e régiment d'infanterie (lui restent sa fille, Jacqueline, et sa sœur). Commandant en chef des armées alliées en Orient[modifier le code] En juin 1918, il est appelé à Salonique au commandement en chef des armées alliées, pour prendre la suite de l'expédition de Salonique. Les Armées alliées en Orient (AAO) placées sous son commandement comprennent environ 670 000 hommes dont 210 000 Français de l’armée française d'Orient (AFO), commandée par le général Henrys, 157 000 Grecs, 138 000 Britanniques, 119 000 Serbes et 43 000 Italiens. Il obtient, après une campagne de quatorze jours, la capitulation du groupe d'armées germano-bulgare. L’armistice mettant fin au conflit sur le front d'Orient, signé à Salonique le 29 septembre 1918, ouvre de vastes perspectives. Le haut commandement allemand, qui en est conscient, se décide alors à demander l’armistice sur tous les fronts. L’armistice ne permet pas à Franchet d'Espèrey d'exploiter sa victoire, et son commandement général sur les armées alliées se trouve vidé de son sens concret par l’indépendance de facto des troupes anglaises en Turquie. Après la défaite des Empires Centraux à l’issue de la Première Guerre mondiale et conformément aux ordres de Georges Clémenceau, une partie de l’armée Franchet d'Espèrey n’est pas démobilisée mais envoyée combattre contre les bolcheviks, d’une part dans le Banat aux côtés des Serbes et des Roumains contre la République des conseils de Hongrie, et d’autre part en Crimée et à Odessa pour intervenir aux côtés des Russes blancs dans la guerre civile russe. Si l’intervention en Europe centrale l’été 1919 réussit, en revanche l’intervention en Russie au printemps de la même année, échoue face à la cohésion des bolcheviks et aux mutineries de la mer Noire : beaucoup de marins français sont solidaires des communistes russes. Franchet d’Espèrey réussit à éviter la débandade devant l’offensive de l’Armée rouge dans le sud de l’Ukraine, ce qui permet une évacuation en bon ordre. Il conserve le commandement des armées alliées, qui s'est déplacé en février 1919 de Salonique à Constantinople, jusqu'au 5 juillet 1920. Il reste dans la ville jusqu'en novembre 1920 afin de participer à la réorganisation du pays. Il devient membre du Conseil supérieur de la guerre, poste qu'il conservera jusqu’en 1938. Après la guerre[modifier le code] Maréchal de France et inspecteur général des troupes d’Afrique du Nord[modifier le code] Ces remarquables années de services lui valent, le 19 février 1921, la dignité de maréchal de France, et la dignité de voïvode du Royaume des Serbes, Croates et Slovènes. En 1923, il devient ensuite inspecteur général des troupes d’Afrique du Nord, au moment où l’on veut unifier le dispositif militaire français au Maroc, en Algérie et en Tunisie. Le 14 novembre 1924, il participe à la deuxième mission Gradis transsaharienne. Le 2 novembre 1930, il représente la France à la cérémonie du couronnement de l’empereur d’Éthiopie, Haïlé Sélassié Ier. Il est nommé président de la Société de géographie en 1933, et il est élu membre de l’Académie française le 15 novembre 1934, le même jour que l’homme politique Léon Bérard. Il fonde, en 1935, le Comité des Amitiés Africaines, œuvre d’entraide aux militaires d’Afrique du Nord. D’après le commandant Georges Loustaunau-Lacau, le maréchal Louis Franchet d’Espèrey, en fidélité aux idées de son grand-père François Franchet d'Esperey, aurait financièrement aidé son service de renseignement clandestin (les « réseaux Corvignolles ») ainsi que l’Organisation secrète d'action révolutionnaire nationale (OSARN, dite la « Cagoule »)5,6. Dernières années[modifier le code] Le maréchal Franchet d’Espèrey meurt à 86 ans le 8 juillet 1942 en zone libre, à Saint-Amancet dans le Tarn. Il est tout d’abord inhumé provisoirement en la chapelle no 1, dite des Trois Maries, de la cathédrale Sainte-Cécile d'Albi, en attendant des jours meilleurs. Les honneurs militaires lui sont rendus par le général de Lattre, commandant la 16e région militaire de Montpellier. Son corps est transféré aux Invalides en 1947, lorsqu’il est possible d’organiser des obsèques dues à son rang de maréchal de France7 : les maréchaux de France, depuis 1929, sont inhumés dans la cathédrale Saint-Louis des Invalides, sauf dispositions testamentaires contraires. Son épouse décède en 1967, à 97 ans. Grades[modifier le code] 1876 : sous-lieutenant. 1881 : lieutenant. 1885 : capitaine. 1893 : chef de bataillon. 1899 : lieutenant-colonel. 1903 : colonel. 23 mars 1908 : général de brigade. 23 mars 1912 : général de division. 29 avril 1918 : général de division maintenu exceptionnellement en activité au-delà de la limite d'âge. 30 janvier 1920 : général de division maintenu en activité sans limite d'âge. 19 février 1921 : élevé à la dignité de maréchal de France. Affectations[modifier le code] 1901 : lieutenant-colonel au 132e régiment d'infanterie à Reims 1903 : colonel au 60e régiment d'infanterie à Besançon 23 mars 1908 au 21 septembre 1911 : commandant de la 77e brigade d'infanterie 21 septembre 1911 au 14 août 1912 : commandant de la 28e division d'infanterie et des subdivisions de région d'Annecy, de Vienne, de Chambéry et de Bourgoin 14 août 1912 au 20 novembre 1913 : commandant des troupes d'occupation du Maroc Occidental. 20 novembre 1913 au 3 septembre 1914 : commandant du 1er Corps d'Armée. 3 septembre 1914 au 31 mars 1916 : commandant de la Ve Armée. 31 mars 1916 au 27 décembre 1916 : commandant du Groupe d'Armées de l'Est. 27 décembre 1916 au 10 juin 1918 : commandant du Groupe d'Armées du Nord. 18 juin 1918 au 5 juillet 1920 : commandant en chef des Armées Alliées en Orient. 5 juillet 1920 à 1938 : membre du Conseil Supérieur de la Guerre. Décorations[modifier le code] France Médaille militaire (3 octobre 1918) (Nota : la médaille militaire se porte avant la LH pour les officiers généraux ayant commandé au front, attention selon La Grande Chancellerie aucun texte officiel n'existe et il s'agit d'une simple habitude) ; Grand-croix de la Légion d'honneur (10 juillet 1917)8 Grand officier de la Légion d'honneur (30 décembre 1914) Commandeur de la Légion d'honneur (31 décembre 1912) Officier de la Légion d'honneur (29 décembre 1904) Chevalier de la Légion d'honneur (21 août 1886) Croix de guerre 1914-1918, avec 3 palmes ; Médaille coloniale avec agrafes « Tonkin » et « Maroc » ; Médaille commémorative du Maroc (1909) ; Médaille interalliée de la Victoire ; Médaille commémorative de la guerre 1914-1918 ; Royaume de Belgique Croix de guerre avec 1 palme ; États-Unis Army Distinguished Service Medal ; Royaume d'Italie Grand-croix de l'ordre des Saints-Maurice-et-Lazare ; Maroc Grand-cordon de l'ordre du Ouissam alaouite ; Royaume-Uni Ordre de Saint-Michel et Saint-Georges Grand-croix ; Serbie Ordre de l'Étoile de Karageorge Grand-croix avec épées ; Tunisie Grand-croix de l'Ordre du Nichan Iftikhar. Armoiries[modifier le code] Écartelé d'azur à un pélican dans son aire d'argent, surmonté en chef d'un soleil rayonnant d'or, et d'azur à la croix d'or, cantonnée de quatre lionceaux du mesme, lampassés de gueules. Hommages[modifier le code] À Paris, l'avenue du Maréchal-Franchet-d'Espérey, est ouverte en 1930 et porte son nom dès cette date, soit avant sa mort, ce qui est un fait exceptionnel pour les odonymes9. À Reims, une école, un boulevard, une gare et un arrêt de tramway portent son nom. Des voies à Lorient, Brest, Saint-Étienne, Versailles, Albi, Nancy, Montigny-lès-Metz, Nevers, Dinant, Vichy, Abidjan, Belgrade, Djibouti et Kaolack (Sénégal) portent également son nom. Un timbre-poste à son effigie, dessiné et gravé par Albert Decaris, et d'une valeur de 30F, a été émis par la poste française le 26 mai 1956. Un autre timbre-poste à son effigie avec en arrière-plan sa ville natale de Mostaganem, dessiné par J. Ebstein et gravé par Albert Decaris, d'une valeur de 15 F, a été émis en Algérie française en 1956. Enfin, la promotion 1955-1957 de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr a été baptisée en son honneur. Publications[modifier le code] Ouvrages[modifier le code] Mémoires, 1925. Histoire militaire et navale, volume 2 de Histoire de la Nation française, tome VIII, de Gabriel Hanotaux, Plon, 1927. En collaboration avec le général Charles Mangin. Une œuvre française, l’Algérie (ouvrage collectif), Félix Alcan, 1929. Lire en ligne Bugeaud, collection « Les vies illustres », Hachette, 1938. En ligne. Préfaces[modifier le code] Préface de L'armée d'Afrique, 1830-1930, Commissariat général du Centenaire de l'Algérie, 1931. Lire en ligne. Notes et références[modifier le code] ↑ « https://francearchives.fr/fr/file/ad46ac22be9df6a4d1dae40326de46d8a5cbd19d/FRSHD_PUB_00000355.pdf » ↑ Sa notice biographique sur le site de l’Académie française indique le 3 juillet 1942 comme date de sa mort. ↑ « Notice biographique sur le site de l'Académie française » ↑ Ministère de la guerre, « Annuaire de l'Armée française », Annuaire de l'Armée française, Berger-Levrault,‎ 1903, p. 209Bibliothèque nationale de France. ↑ Philippe Bourdrel, La Cagoule : histoire d'une société secrète du Front populaire à la Ve République, Paris, Éditions Albin Michel, 1992 (1re éd. 1970), 404 p. (ISBN 2-226-06121-5), p. 195-197. ↑ Frédéric Monier, Le complot dans la République: stratégies du secret, de Boulanger à la Cagoule, Editions La Découverte, coll. « Collection "L'espace de l'histoire », 1998 (ISBN 978-2-7071-2871-3) ↑ Où est donc enterré Louis Franchet d’Espèrey, maréchal de France et voïvode de Yougoslavie ?. ↑ Grand-croix de la Légion d'honneur « Cote LH/1024/49 » ↑ Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, éditions de Minuit, p. 107. Bibliographie[modifier le code] Pierre Gosa, Franchet d'Espèrey, un Maréchal Méconnu, Nouvelles éditions latines, 1999. Général Paul Azan, Franchet d'Espèrey, Paris, Flammarion, 1949. Service historique de la Défense, Maréchal Louis Franchet d'Espèrey (1856 - 1942) (Extraits du dossier conservé au Service historique de la Défense / CHA, sous la cote GR 9 YD 534), Vincennes, Ministère des Armées (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]). . Voir aussi[modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Article connexe[modifier le code] Familles subsistantes d'ancienne bourgeoisie française Liens externes[modifier le code] Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes : 1914-1918-Online Britannica Hrvatska Enciklopedija Nationalencyklopedin Proleksis enciklopedija Universalis Notices d'autorité : () (fr) Notice biographique sur le site de l'Académie française (fr) Biographie sur Chemins de mémoire Extraits de son dossier militaire sur le site du Service historique de la Défense Notices d'œuvres du musée de l'Armée en lien avec Franchet d'Espèrey Fauteuil 14 de l’Académie française Précédé par Suivi par Hubert Lyautey Louis Franchet d'Espèrey 1934-1942 Robert d'Harcourt v · m◀ Composition de l'Académie française au jour de son élection (15 novembre 1934) ▶ par numéro de fauteuil 1. Émile Picard 2. Émile Mâle 3. André Chaumeix 4. Louis Bertrand 5. Louis Madelin 6. Pierre Benoit 7. Henri Bergson 8. Alfred Baudrillart 9. Marcel Prévost 10. Léon Bérard 11. Georges Goyau 12. Abel Bonnard 13. Albert Besnard 14. L. Franchet d'Espèrey 15. Henri Lavedan 16. Henri-Robert 17. Georges Lecomte 18. Philippe Pétain 19. Maurice Paléologue 20. Henry Bordeaux 21. André Chevrillon 22. François Mauriac 23. Abel Hermant 24. Édouard Estaunié 25. Maurice Donnay 26. René Doumic 27. Auguste de La Force 28. fauteuil vacant 29. Gabriel Hanotaux 30. G. Lenotre 31. Joseph Bédier 32. Pierre de Nolhac 33. Paul Bourget 34. fauteuil vacant 35. Maxime Weygand 36. fauteuil vacant 37. Maurice de Broglie 38. Paul Valéry 39. Henri de Régnier 40. Jules Cambon par date d’élection 1894 Paul Bourget 1897 Gabriel Hanotaux 1898 Henri Lavedan 1907 Maurice Donnay 1909 René Doumic 1909 Marcel Prévost 1911 Henri de Régnier 1914 Henri Bergson 1918 Alfred Baudrillart 1918 Jules Cambon 1919 Henry Bordeaux 1920 Joseph Bédier 1920 André Chevrillon 1922 Pierre de Nolhac 1922 Georges Goyau 1923 Édouard Estaunié 1923 Henri-Robert 1924 Georges Lecomte 1924 Émile Picard 1924 Albert Besnard 1925 Louis Bertrand 1925 Auguste de La Force 1925 Paul Valéry 1927 Abel Hermant 1927 Émile Mâle 1927 Louis Madelin 1928 Maurice Paléologue 1929 Philippe Pétain 1930 André Chaumeix 1931 Pierre Benoit 1931 Maxime Weygand 1932 Abel Bonnard 1932 G. Lenotre 1933 François Mauriac 1934 Maurice de Broglie 1934 Léon Bérard 1934 Louis Franchet d'Espèrey --- --- --- v · m◀ Composition de l'Académie française au jour de sa mort (8 juillet 1942) ▶ par numéro de fauteuil 1. fauteuil vacant 2. Émile Mâle 3. André Chaumeix 4. fauteuil vacant 5. Louis Madelin 6. Pierre Benoit 7. fauteuil vacant 8. fauteuil vacant 9. fauteuil vacant 10. Léon Bérard 11. Paul Hazard 12. Abel Bonnard 13. Louis Gillet 14. L. Franchet d'Espèrey 15. fauteuil vacant 16. Charles Maurras 17. Georges Lecomte 18. Philippe Pétain 19. Maurice Paléologue 20. Henry Bordeaux 21. André Chevrillon 22. François Mauriac 23. Abel Hermant 24. fauteuil vacant 25. Maurice Donnay 26. André Maurois 27. Auguste de La Force 28. Claude Farrère 29. Gabriel Hanotaux 30. Georges Duhamel 31. Jérôme Tharaud 32. Georges Grente 33. Edmond Jaloux 34. Joseph de Pesquidoux 35. Maxime Weygand 36. fauteuil vacant 37. Maurice de Broglie 38. Paul Valéry 39. Jacques de Lacretelle 40. Lucien Lacaze par date d’élection 1897 Gabriel Hanotaux 1907 Maurice Donnay 1919 Henry Bordeaux 1920 André Chevrillon 1924 Georges Lecomte 1925 Auguste de La Force 1925 Paul Valéry 1927 Abel Hermant 1927 Émile Mâle 1927 Louis Madelin 1928 Maurice Paléologue 1929 Philippe Pétain 1930 André Chaumeix 1931 Pierre Benoit 1931 Maxime Weygand 1932 Abel Bonnard 1933 François Mauriac 1934 Maurice de Broglie 1934 Léon Bérard 1934 Louis Franchet d'Espèrey 1935 Claude Farrère 1935 Louis Gillet 1935 Georges Duhamel 1936 Edmond Jaloux 1936 Joseph de Pesquidoux 1936 Lucien Lacaze 1936 Georges Grente 1936 Jacques de Lacretelle 1938 Charles Maurras 1938 André Maurois 1938 Jérôme Tharaud 1940 Paul Hazard --- --- --- --- --- --- --- --- Portail de la Première Guerre mondiale Portail de l’Académie française Portail de l’Armée française Portail de l’histoire militaire de la Belgique <img alt="" width="1" style="border: none; position: absolute;" height="1" src="https://login.wikimedia.org/wiki/Special:CentralAutoLogin/start?type=1x1&quot;&gt; Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Louis_Franchet_d%27Espèrey&oldid=209206437 ».
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Suite de la lettre du 29 Mars 1918 - Je ne connais pas grand-chose de nouveau à te marquer. Je ne sais pas si je vais pouvoir te faire une longue lettre car chacun est en train de discuter au sujet de la guerre; ça me trouble dans mes écritures
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CLEMENCEAU, Georges – Grandeurs et misères d’une victoire | Litterature audio.com

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Téléchargez gratuitement le livre audio : CLEMENCEAU, Georges – Grandeurs et misères d’une victoire. Format MP3.
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1335/30 mars 1918 : la bataille du bois de Moreuil  (Somme)

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L’ecpad, l’Etablissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense , a publié un nouvel album dans la collection « Images de… » qui aborde cette fois les As français, leurs avions et l’industrie au moment de la Grande Guerre. Des photos à la netteté et à la qualité saisissantes illustrent ces débuts de l’aviation militaire.En cette période de commémorations du(...)
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Le 30 juin 2018, Darney commémorera le centenaire de la fondation de l'Etat Tchécoslovaque. C'est en effet à Darney que l
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Le Quartier latin est en ébullition après l’arrestation du professeur Paul Langevin et l’appel du 18 juin...

Plusieurs initiatives expliquent cette journée.

Le 11 novembre 1940, des étudiants et lycéens, se sont rendus sur la tombe du soldat inconnu pour commémorer l’armistice du 11 novembre 1918 et manifester leur opposition à l’occupation allemande. Un tract apolitique, écrit à la main circule, un appel à manifester : « Tu iras honorer le Soldat Inconnu 17 h 30 »

« Tous les étudiants sont (...)
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Livret pédagogique la Somme dans la 1ère guerre mondiale

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14-18 : les sentiers de l'archéologie

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L’archéologie de la Grande Guerre n’a que trente ans, mais apporte nombre d’éléments que, ni les textes ou l’Histoire, ni les témoignages d’époque ne peuvent fournir.
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11-Novembre. 1914-1918 : la Première Guerre mondiale en images

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PORTFOLIO - Il y a 105 ans, le 11 novembre 1918, l'armistice signé à Rethondes entre l'Allemagne et les alliés mettait un terme au premier grand conflit mondial qui a fait près de 18,6 millions de morts.
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11 novembre. La Première guerre mondiale en synthèse [+ Bibliographie non exhaustive sur la Grande guerre]

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11 Novembre 1918: Signature de l'armistice à Rethondes, marquant la fin des combats...
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Regardez en avant-première “Les Sentinelles de l’oubli”, documentaire palpitant sur la France des monuments aux morts

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Le film de Jérôme Prieur exhume la mémoire de la Grande Guerre et redonne vie à ces symboles rendant hommage aux poilus. Diffusé le 6 novembre sur LCP, il est visible en avant-première sur Télérama.fr.
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Le monument à la gloire des combattants déplacé, où aura lieu la commémoration du 11 novembre à Toulouse ?
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Grande Guerre : centenaire de l’Accord de Beauvais en présence de Geneviève Darrieussecq – Les guerres d'hier au jour le jour

Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’État auprès de la ministre des armées, présidera, le mardi 3 avril 2018, la commémoration internationale du centenaire de l’Accord de Beauvais qui confie le commandement suprême des Armées Alliées au général Ferdinand Foch. C’est à Beauvais que s’est tenue le 3 avril 1918 la conférence interalliée qui a scellé l’issue de…
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Lorsque les lycéens planchent sur la tapisserie emblématique Pieta for World War 1 - Aubusson (23200) - La Montagne

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L’idée de laïcité incarnée par l’une des plus célèbres image religieuse, la Pietà. Un véritable dilemme philosophique qui a alimenté un atelier de deux heures à la Cité de la tapisserie.
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Commémoration de la bataille du bois de Moreuil - France 3 Hauts-de-France

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La commune de Moreuil s’apprête à vivre deux jours de commémorations, en souvenir de la bataille de Moreuil Wood, les vendredi 30 et samedi 31 mars. Il y a 100 ans, cette bataille a été cruciale pour la ville d'Amiens.  
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1918 : un week-end de Pâques sous les bombes à Paris

1918 : un week-end de Pâques sous les bombes à Paris | Autour du Centenaire 14-18 | Scoop.it
LES ARCHIVES DU FIGARO - Le 29 mars 1918, pendant les Vêpres du Vendredi saint, un obus s'abattait sur l'église Saint-Gervais à Paris provoquant la mort de 91 fidèles. Pendant plusieurs mois, les Parisiens vivront ainsi sous la menace des canons allemands.
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28 mars 1918 : l’évacuation d’Amiens – Les guerres d'hier au jour le jour

Le 28 mars 1918, la population amiénoise évacue la ville face à l’offensive allemande. On s'attend au Grand Quartier Général à ce que la ville préfecture de la Somme tombe entre les mains de l'ennemi. Après avoir couché pendant un mois dans les souterrains de la citadelle, creusés en 1870 et qui vont à Doullens,…
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Cinéma : "Le Collier rouge", film hommage au centenaire de la Grande Guerre

Cinéma : "Le Collier rouge", film hommage au centenaire de la Grande Guerre | Autour du Centenaire 14-18 | Scoop.it
Ce mercredi 28 mars, Jean Becker sort un nouveau film. "Le Collier rouge", c'est l'histoire d'une amitié entre un soldat interprété par François Cluzet et son chien. Un filme qui raconte aussi la difficile reconstruction des poilus après la guerre de 1914-1918.
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